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    Chers amis,


    Je vous souhaite, ainsi qu'à vos proches, une merveilleuse année 2013!


    Une année pétillante et colorée, riche en joies intenses, en délicieuses surprises et en projets réussis!


    Je souffle vers vous mes voeux de santé, d'amour et de prospérité, pour que s'accomplissent vos rêves et que s'adoucissent les peines de 2012...


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    Mettons le cap vers l'avenir, nos désirs en bandoulière et laissons rayonner nos sentiments...


    Je vous embrasse très affectueusement!


    Cendrine


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    Nouvelle année tu fais ta belle

    Avec tes jupons de dentelle

    Qui dansent dans la nuit brodée

    De givre et de bonbons de fée


    Dans tes cheveux le vent des neiges

    Tisse la soie des sortilèges

    Avec tes larmes de rosée

    Tu prends mon coeur dans un baiser


    Nouvelle année aux doux pétales

    Sous les étoiles de cristal

    N'oublie pas les plus démunis

    Les naufragés de cette vie


    Leurs mots brisés leurs yeux fanés

    Au festin de la destinée

    A l'heure des enchantements

    Sème leurs voeux au firmament


    Nouvelle année rose d'hiver

    Éclose au front des arbres verts

    Nourris les corps berce les âmes

    Dans la jeunesse de ta flamme


    Flocons de lune et fleurs sauvages

    Font scintiller le paysage

    Le ciel dans tes rubans d'aurore

    S'enivre aux légendes du Nord


    Au creux de l'âtre familier

    Sur la roue du calendrier

    Dans le grimoire des saisons

    Écris la blanche floraison


    Nouvelle année au sang rebelle

    Je sens tes jupons de dentelle

    Glisser sur la peau des chemins

    Éveillant l'or des lendemains...


                                              Cendrine


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    Que la chance vous accompagne!


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    Et que 2013 prenne le plus doux des visages..


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    Dans le sillage des roses et le sourire des bulles d'or...


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    Cueillons, cueillons les symboles de bonne fortune...


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    Étrennes et Voeux


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    La tradition d'écrire des cartes de voeux, à l'occasion de la nouvelle année, naquit en Angleterre au XIXème siècle. Elle connut un formidable essor grâce à l'apparition du premier timbre-poste, en 1840, et à la mise au point de la chromolithographie ou procédé d'impression en couleurs, par le lithographe Godefroy Engelmann (1788-1839), en 1837.


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    Ces ravissantes cartes connurent un succès retentissant auprès des collectionneurs et se répandirent rapidement dans toute l'Europe.


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    La tradition des voeux se mêle à celle, bien plus ancienne, des étrennes. Dans la Rome antique, on offrait aux personnes aimées de la verveine, pour que leur santé soit rayonnante tout au long de l'année, sous l'obédience de la déesse Strenia.


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    La déesse, par John William Waterhouse (1849-1917)


    D'après Symmachus, un auteur ancien, cette coutume fut introduite sous l’autorité du roi sabin Titus Tatius qui reçut des rameaux de verveine, cueillis dans le bois sacré de Strenia.


    Les premiers présents, constitués de figues très sucrées, de dattes et de miel étaient destinés à apporter du bonheur, de la douceur et de la prospérité à leurs destinataires. Mais au fil du temps, on s'échangea, sous le regard de Janus, le dieu à double visage, des monnaies et des médailles d’argent.


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    Janus le clairvoyant, maître du calendrier, seigneur des croisées de chemins, détenteur des secrets de l'année écoulée et de l'année nouvelle.


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    A l'exception de Tibère et de Claude, les empereurs romains appréciaient de recevoir des étrennes mais, à l'instar d'Auguste, certains en redistribuaient une part conséquente.


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    En France, jusqu'au XVIe siècle, le début de l'année variait suivant les provinces et les diocèses. Sous le règne des Mérovingiens, l’année commençait le 1er mars. Sous le règne de l'empereur Charlemagne, elle débutait le jour de Noël. Dans la France capétienne, elle coïncidait avec les fêtes de Pâques et dans certains endroits, c'était le 25 mars ou le premier avril. (Vous pouvez consulter, à ce propos, mon article sur le Poisson d'Avril.)


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    Le roi Charles IX (1550-1574) décida de résoudre cette « complication » en fixant au premier janvier, dans l'ensemble de la France, le début de l'année civile. Le 9 août 1564, il signa l'édit de Roussillon qui n'entra en vigueur qu'en 1567.


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    Charles IX de France (1550-1574), fils d'Henri II et de Catherine de Médicis. Huile sur bois d'après François Clouet (1515-1572), conservée au musée national du Château de Versailles.

     

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    (Image, la France Pittoresque)


    En 1622, la mesure fut étendue à l'ensemble du monde catholique grâce à l'adoption du calendrier grégorien.


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    A la fin du XIXe siècle, l’engouement pour la figure mythologique complexe du Père Noël modifia la coutume d’offrir des cadeaux le 1er janvier. Le jour des étrennes se confondit alors avec celui de Noël et les cadeaux furent échangés le 25 décembre.


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    Que la fée de l'année, après le baiser sous le gui, exauce vos rêves et vous offre les plus beaux présents pour 2013!


    P.S: J'ai écrit, il y a des années, un article sur la coutume du baiser sous le gui et les traditions de la Saint-Sylvestre mais le reprendre et l'illustrer me demandait beaucoup trop d'énergie en cette fin d'année où j'ai promis de « lever le pied » alors ce sera pour l'année prochaine... Merci à tous ceux qui m'apportent leur soutien et m'écrivent de très gentils petits mots. Je vous embrasse bien fort!


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    Chers amis, nous voici aux portes de l'année nouvelle. Je vous remercie pour vos petits mots gorgés d'affection et pour le plaisir que me procurent vos poésies, vos photographies, vos délicieuses recettes et vos mondes imaginaires...

     

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    Que la magie de Noël rayonne dans vos foyers, présage d'une année remplie de joie, d'amour et de sérénité et que la ronde des saisons vous emporte dans sa féerie!

     

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    Je pense aussi très fort aux êtres aimés qui ne sont plus là et aux personnes seules en cette période de festivités... J'aimerais pouvoir adoucir leur solitude forcée.

     

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    Je vous souhaite, avec ce petit conte imprégné de souvenirs d'enfance, un merveilleux Noël!

     

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    Autrefois, suspendue aux petits bruits de la nuit, je guettais la venue d'un mystérieux personnage...

     

    Les ombres d'or autour de moi frissonnaient doucement et quelque chose de suave emplissait l'air.

     

    Le mannele en robe de chocolat croquant semblait me regarder, fillette féline tapie contre le mur de la salle à manger. Quelques instants encore et mon voeu allait être exaucé, dans le cocon que formait la maison de ma grand-mère. J'allais apercevoir une figure jaillie du fond des âges, mi dieu ancien, mi lutin des bois et vénérable grand-père à la barbe de nuages...

     

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    Je m'étais appliquée à préparer des brioches aux écorces d'agrumes et aux pignons de pin, décorées de cabochons d'angélique, et je retenais mon souffle pour me fondre le plus possible dans le décor. J'avais virevolté toute la journée dans les jupes de maman et de mamie, exploré la maison en quête d'un itinéraire à peine visible, chemin de Faérie que seul emprunterait un être de légende, et dessiné une farandole de voeux et de rêves sur les fenêtres scintillantes de givre.

     

    Comme nous n'avions pas de cheminée, mamie disposait une myriade de bougies sur une table ovale non loin de l'arbre qui m'émerveillait.

     

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    Il exhalait son merveilleux parfum dans la pièce, ensorcelant l'atmosphère avec la chaude résine qui circulait encore dans ses veines et ses aiguilles, sous l'effet de la chaleur ambiante, mêlaient leur senteur balsamique à des effluves d'orange, de mandarine et de cannelle.

     

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    Paré de rubans rouges et de sujets brillants, dodus et délicats comme des bulles de cristal, l'Arbre Vert était un phare dans la nuit guidant le vieux monsieur des neiges vers mes petits souliers qui attendaient sagement son entrée en scène.

     

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    Ma curiosité était à son comble quand un bruit de clochettes, doux, enivrant et étrangement assourdi résonna derrière moi. J'eus la sensation d'être observée et une voix, au creux de mon esprit, me souffla de retourner immédiatement au lit. Le mystère devait être préservé tel une perle dans son écrin.

     

    Je partis en courant vers ma chambre, mes boucles brunes en bataille, mes petons facétieux claquant sur le carrelage du couloir et je m'engouffrai, le coeur battant, sous ma couverture fleurie.

     

    Je fouillai l'oreiller, comme je le fais encore avec une fébrilité toute enfantine, et mes doigts caressèrent quelque chose... Je me redressai pour allumer la lampe de chevet et, dans la clarté rosée, sous le regard bienveillant de mes jouets, je trouvai une boîte que j'ouvris avec une folle excitation. Elle contenait un stylo plume bleu ciel et un carnet orné d'un Pierrot et d'un croissant de lune argenté.

     

    C'était fabuleux. Qui avait déposé là cette surprise au coeur d'une nuit pas comme les autres? Je n'osais croire que...

     

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    Je finis par m'endormir en serrant fort contre moi ces objets magiques...

     

    Le lendemain matin, réveillée par une odeur de gâteau au miel et de tartines grillées, je me dépêchai de rejoindre maman et mamie dans le salon. Des paquets chatoyants, tous plus beaux les uns que les autres, entouraient le pied de l'arbre aux merveilles! La magie avait opéré...

     

    La journée dansa sur elle-même et, quand vint l'heure de me lover dans la toile de Morphée, je glissai sous l'oreiller mon stylo et mon carnet mystérieux. Les histoires que j'allais y écrire caracolaient déjà, à la crête des nuages d'argent. Le Père Noël, seigneur de l'Hiver, chevauchait de vastes plaines enneigées et les lutins allumaient les étoiles une à une. Elles dessinaient une trame envoûteuse, invitant mes désirs et mes rêves à rejoindre le cortège enchanté.

     

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    L'aventure de mon héroïne d'enfance, Flamme Bleue, commençait...

     

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    ARTICLE PROGRAMMÉ

     

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    Avec douceur et poésie, la magie des décors de Noël se dévoile dans le paysage urbain.

     

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    Les sapins se parent d'ornements romantiques et de pépites fleuries.

     

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    Inspiration rêveuse et rose fantaisie...

     

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    Un petit rappel des vitrines des Grands Magasins, avec la suite de mes photos...

     

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    Les coquetteries du boulevard Haussmann.

     

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    Mes pas m'ont ensuite guidée vers le Passage du Havre.

     

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    Il abrite, entre la rue de Caumartin (ancienne rue Sainte-Croix) et la gare Saint-Lazare, un petit centre commercial.

     

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    Il fut créé, en 1845, dans le 9e arrondissement de Paris, par l'architecte Charles-Victor Bartaumieux (1832-1907) et ouvert au public le 7 septembre 1846. On y trouvait des marchands de cannes et de parapluies, des chapeliers, des imprimeurs et des papetiers, des pâtissiers et un quincaillier renommé mais il était surtout réputé pour ses boutiques de jouets. Sa situation privilégiée près de la gare Saint-Lazare attirait, de toute la France, les amateurs de maquettes de bateaux et de trains et favorisait les échanges commerciaux.

     

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    (Image: les trains de Guillaume.)

     

    Le magasin « Au Pélican » était situé autrefois aux numéros 43 et 45. Il regorgeait de poupées, de peluches, de petites voitures, d'avions et de bateaux miniatures. Il proposait de nombreux modèles de trains et une profusion de pièces détachées. On y sélectionnait les meilleures marques et on y fabriquait des éléments très précis, sur demande expresse des clients.

     

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    (Paris en images)

     

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    (Agence Roger Viollet)

     

    Ces charmantes boutiques ont hélas disparu mais il est agréable de prendre un thé ou un café sous la verrière de la rotonde.

     

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    En suspension au-dessus de nos têtes, des gouttes géantes capturent nos ombres, nos silhouettes et nos pensées vagabondes. Elles crépitent avec douceur, dans le brouhaha ambiant, et s'embrasent au moindre rai de lumière, comme des fioles sorcières.

     

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    Gouttes d'eau, larmes d'ambre... mon esprit caracole à travers leur douce fantasmagorie.

     

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    Transparences songeuses et modernes vanités...

     

    Dans les tableaux du XVIIe siècle, les bulles, les gouttes et les jeux de reflets traduisaient l'insaisissable. Ils nous invitent, aujourd'hui encore, à méditer sur la fuite du temps car, ne l'oublions pas, l'éphémère mène la danse. Alors savourons, comme autant de plaisirs exquis, les étincelles de bonheur qui brillent à notre portée...

     

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    La rotonde est bordée par un petit jardin, joliment aménagé à l'occasion des fêtes.

     

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    Des rennes et des lutins facétieux nous invitent au Cercle Polaire, près d'une cahute à friandises, où se dévoilent des macarons géants, des cannes de sucre d'orge et des sucettes chatoyantes.

     

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    Un espace charmant que les petits et les grands semblent bien apprécier.

     

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    Une « soucoupe » pistache et chocolat, avant-poste de la planète macaron! Je vous entends rire d'ici mais ne me dites pas que vous n'auriez pas envie de l'explorer...

     

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    La canne de sucre d'orge est l'attribut des bonshommes de neige, des lutins et du Père Noël qui transforma en friandise la crosse de Saint-Nicolas.

     

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    Les origines de cette gourmandise aux couleurs joyeuses sont teintées de mystère. Certaines sources l'associent aux célébrations du solstice d'hiver dans l'Angleterre médiévale. Un mélange de miel et d'orge cuit était offert aux anciens dieux et aux représentants du Petit Peuple pour attirer la prospérité sur les villages.

     

    Pour d'autres, la canne de sucre d'orge serait originaire des États-Unis. Un confiseur l'aurait créée, au XIXe siècle, en hommage au Christ et elle représenterait un J stylisé.

     

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    Nous devons aux Bénédictines de Moret-sur-Loing, en Seine et Marne, la plus célèbre recette de sucre d'orge. La mère supérieure du Prieuré de Notre Dame des Anges, Elisabeth Pidoux, cousine du poète Jean de La Fontaine, lança, en 1638, la fabrication du sucre d'orge: un bâton aux vertus adoucissantes composé d'une décoction d'orge perlé (ou gruau d'orge), et de sucre de canne cristallisé avec du vinaigre.

     

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    (Moret-sur-Loing.fr)

     

    Le sucre d'orge fut à l'origine un « sucre de gorge », destiné à apaiser les gorges endolories. Très prisé des orateurs car il leur donnait la voix claire, ce produit s'imposa rapidement à la cour de Louis XIV où il devint la coqueluche des gourmands. Bossuet, l'évêque de Meaux, en était particulièrement friand.

     

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    (Moret-sur-Loing.fr)

     

    Le monastère fut hélas « balayé » par la Révolution. Après sa disparition en 1792, le secret du sucre d'orge faillit être définitivement perdu mais une religieuse appelée Soeur Félicité revint, quelques temps plus tard, à Moret-sur-Loing pour y terminer sa vie. Elle était la gardienne de la fameuse recette qu'elle transmit à l'une de ses amies. Vers 1853, Monsieur Desmarais, un négociant français en canne à sucre du Brésil put relancer la fabrication des confiseries.

     

    Une congrégation de religieuses bénédictines fit son retour à Moret-sur-Loing et, de 1920 à 1950, les sucres d'orge connurent un regain de popularité. En 1972, après quelques années troublées, la soeur Marie-André transmit le secret à monsieur Jean Rousseau, natif de la petite ville de Seine-et-Marne. La Maison Jean Rousseau exploite toujours la licence des sucres d'orge de Moret-sur-Loing.

     

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    Sous le Second Empire, se développa le sucre d'orge de Vichy. Cette spécialité, fort appréciée par l'empereur Napoléon III, était à la mode dans les stations thermales. Il s'agit de petits bonbons ronds, en sucre cuit, aromatisés aux fruits et enveloppés de cellophane. Ils étaient réputés soigner les laryngites et rendre la voix claire aux orateurs.

     

    Pour la petite histoire, les fameuses pastilles de Vichy, à la forme octogonale si caractéristique, sont nées en 1825, à l'initiative du chimiste Jean-Pierre-Joseph Darcet (1777-1844). Elles sont riches en principes actifs issus des sels de l'eau thermale de Vichy.

     

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    Le monde des friandises nous réserve une foule de surprises et réjouit tout autant nos papilles que nos esprits.

     

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    Monde d'intense douceur dont les lutins préservent les secrets...

     

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    Je craque pour leurs petits souliers...

     

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    Totalement irrésistibles ces bouchées de chocolat artisanal...

     

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    Ma promenade se termine avec ces charmants découpages qui ont fait palpiter mon âme d'enfant...

     

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    Et réveillé, dans l'écrin de leur délicate palette, l'esprit des légendes hivernales.

     

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    Je ne peux que vous conseiller de visiter le site de leur créatrice: Hélène Druvert.

     

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    Une poésie fine, suave, intemporelle imprègne ses réalisations.

     

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    Entre gourmandises et petits plaisirs décoratifs, je vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année et je vous embrasse bien fort!

     

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    Chers amis, je vous souhaite un beau mois de décembre et je vous remercie pour vos nombreux petits mots et vos messages de soutien.


    Mon état de santé ne me permet plus de continuer à écrire aussi assidûment et de gérer mon blog comme je le voudrais. Malgré mon enthousiasme et le plaisir que j'éprouve à partager le fruit de mes recherches, je dois me reposer, autant que faire se peut, avant que lésions inflammatoires, névralgies chroniques et hémorragies ne prennent l'ascendant sur l'énergie qu'il me reste.


    Sachez que je pense bien fort à vous. Je viendrai vous voir chaque fois que je le pourrai et, dès que j'en serai capable, j'écrirai de nouveaux articles.


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    Je vous embrasse et je vous souhaite d'excellentes fêtes de fin d'année.


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    Avec cette fleur de prospérité, de bonheur et d'amitié...


    Cendrine


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    Mais avant de vous quitter, je veux vous offrir quelques zestes de magie hivernale...


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    Magie des voeux qui vont chevaucher les nuages jusqu'à la demeure du Père Noël, dans les flamboyantes nacres du Cercle Polaire...


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    Magie des vitrines de Noël...


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    Vitrines des grands magasins du boulevard Haussmann qui attirent, depuis des décennies, les passants de tous âges...


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    « Inspirations Parisiennes » glamour des vitrines du Printemps.


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    Un rouge souverain pour une robe au charme exquis. Félicitations aux petites mains qui ont apprêté ces princesses miniatures pour un bal très parisien!


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    (Image Ykone.com)


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    Soixante quatorze poupées évoluent dans des tableaux « Haute Couture », réminiscences du Théâtre de la Mode, tournée internationale de mannequins miniatures qui fut organisée, entre 1945 et 1946, par les maisons parisiennes, rudement éprouvées par la Seconde Guerre Mondiale.


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    Robert Ricci, le fils de la couturière Nina Ricci, eut l’idée de présenter des petites poupées pour économiser les frais de tissu et faciliter le transport des collections. De célèbres joailliers, comme Cartier et Van Cleef and Arpels, réalisèrent pour l'occasion des accessoires miniatures et, après une tournée en Europe, le Théâtre de la Mode traversa l’Atlantique pour être présenté à New York. Il est exposé aujourd'hui au Maryhill Museum of Art.


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    Sous la griffe de Dior, les vitrines du Printemps célèbrent la magie des lieux emblématiques de la capitale, dans une atmosphère rêveuse et enneigée... Un bal masqué, une patinoire sous la Tour Eiffel, un jardin d'hiver, le Café de la Gare, les toits de Paris, une fête foraine, un voyage en ballon... les élégantes sont mises en scène, avec humour et poésie, dans des saynètes aux couleurs chatoyantes.


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    Du rouge passion à foison...


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    Des tenues vaporeuses...


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    Des gourmandises hypnotiques!


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    Du romantisme et du mystère...


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    La belle et la bête...


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    Des ornements enchantés...


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    Une licorne des neiges dans un palais de bulles de cristal...


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    Des muses écarlates sur un lit de poudreuse...


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    Quintessence de féminité...


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    Et secrets élixirs...


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    Rêve de princesse en figure de proue...


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    Aux Galeries Lafayette, nous découvrons « Le Bal du Siècle », un ensemble de douze vitrines imaginées par Louis Vuitton pour célébrer le centenaire de la coupole du grand magasin. Elles se présentent comme une ode au voyage et sont peuplées de majorettes et d'animaux exotiques qui arborent de célèbres produits de la marque.


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    Hormis les jolis visages de ces poupées, cet étalage de luxe n'est pas ma tasse de thé...


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    Mon âme d'enfant s'est sentie désorientée de ne pas retrouver l'imaginaire de Noël... Elle n'a pas été la seule!


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    Des animaux exotiques et polaires composent un singulier bestiaire. Ils jouent le rôle d'ambassadeurs pour ce florilège de créations très onéreuses...


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    La Quatrième Dimension de Noël!!!


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    Il était une fois un ours blanc métamorphosé en fashion victim...


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    La douceur et le charme d'un bal en tenue baroque...


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    Des amoureux déjà prêts pour la Saint-Sylvestre...


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    Pas facile de capturer l'image entre deux jeux de reflets mais je m'amuse de cette « incertitude » artistique...



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    Le carrosse de Cendrillon, luxuriante citrouille aux spires d'or qui envoûte l'imagination des petits et des grands...



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    En cette fin d'année 2012, les princesses et les héroïnes de contes de fées sont à l'honneur. Cendrillon, Blanche-Neige, Belle, Aurore, Raiponce ont investi les vitrines de la rue de la Chaussée d'Antin.


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    L'horloge de Cendrillon marque les douze coups de minuit... comme en suspension dans l'atmosphère...


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    Petite fouineuse


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    Blanche-Neige et Simplet dans la forêt enchantée.


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    Belle au bal des mystères et des métamorphoses.


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    Aurore dans ses somptueux atours... Dommage qu'à l'instar de Belle et de Raiponce elle ait perdu la tête...


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    Raiponce et la légende des cheveux d'or...


    Arrêtons-nous un instant, sous la coupole centenaire des Galeries Lafayette, pour contempler un arbre de Noël paré comme un vaisseau de lumière.


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    Au-dessus d'un lustre monumental, composé de 5000 étoiles en cristal facetté, ce sapin de 21 mètres de hauteur semble surgir, tout scintillant, des forêts de l'Ancien Monde. Aux aiguilles de cet arbre royal s'agrippent de superbes cristaux, créations de Swarovski, la « maison au cygne ».


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    Grâce à de subtils jeux de lumière, les couleurs de ces cent vingts ornements varient du blanc au bleu, en passant par le jaune, le rouge et le violet.


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    Au faîte du géant, pulse un bijou féerique...


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    Une étoile des glaces qui aimante le plus petit frisson de lumière...


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    La mise en scène fait des étincelles mais attention, tout ce qui brille n'est pas or! La magie des fêtes réside dans notre capacité à nous émerveiller des petits riens, des ornements de bric et de broc que la vie nous offre... Je me retire des splendeurs de ce théâtre en vous souhaitant, à nouveau, un très beau mois de décembre.


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    Je vous embrasse bien fort!


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    Plume4

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    51 commentaires



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