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    C'est un petit personnage, au charme mystérieux, que j'apprécie tout particulièrement... On le découvre au couronnement d'une fenêtre de l'Orangerie, bâtiment majestueux que je vous ai montré, sous différents aspects, dans mon article précédent.

     

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    Un personnage qui trouve sa place dans le répertoire ornemental des lieux, fondé sur des thèmes agricoles et finement réalisé par Charles Gallois-Poignant, un des artistes du Louvre de Napoléon III (1808-1873).

     

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    Sous une feuillée constituée de rameaux d'olivier, dans un décor d'épis de blé, il tient un bouquet de fleurs des champs et l'attribut de Cérès/Déméter, la terre nourricière ; du dieu Chronos des premiers âges et des esprits des moissons.

     

    Emblème de mort et de renaissance, d'espoir et de fertilité, la faucille est liée au sang de la terre et revêt la forme du croissant lunaire.

     

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    Dans la mythologie grecque, Gaïa, la Terre Primordiale, façonna une faucille de silex pour castrer son époux Ouranos, le Ciel. Le couple divin avait engendré les Titans, les Titanides, les Cyclopes et les Hécatonchires, redoutables créatures dotées de cent bras et de cinquante têtes. Effrayé par sa progéniture, Ouranos la fit enfermer au fond du Tartare, lieu de désolation, mais Gaïa en prit ombrage. Elle remit la faucille à Chronos, son plus jeune fils, afin qu'il castre son père.

     

     

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    Chronos armé de la faucille, d'après une gemme gravée par Aubin Louis Millin Éleuthérophile de Grandmaison (1759-1818), un nom d'enfer (!), naturaliste, bibliothécaire, professeur émérite d'archéologie à la Bibliothèque Nationale et érudit en de nombreux domaines. Galerie mythologique, 1811.

     

    Le sang et la semence jaillirent, engendrant les Géants, les terrifiantes Erinyes, les Nymphes et la voluptueuse Aphrodite, déesse de l'amour...

     

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    Gaïa, Queen of Earth, illustration de © Ravynne Phelan pour le Tarot des Rêves de Gaïa.

     

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    Visions de Gaïa par © Joséphine Wall.

     

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    Les Erinyes, illustrées en 1941 par © Boris Vallejo, artiste américain d'origine péruvienne. Sensuelles et effrayantes, elles sont au nombre de trois et se nomment Alecto, Mégère et Tisiphoné.

     

    Alecto tourmente les criminels. Mégère sème querelles et mésententes. Tisiphoné, « celle qui punit le meurtre », envoie des maladies comme la peste sur l'Humanité.

    Fréquemment, leurs yeux pleurent du sang. Elles ont d'amples chevelures qui claquent au vent et dans lesquelles se dissimulent des serpents. Elles brandissent des torches, des fouets et guident, dans le ciel de tempête, des hordes d'ombres vengeresses.

     

     

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    Les Titans enchaînés dans le Tartare. Illustration réalisée pour Les Enfers de la Divine Comédie de Dante (1265-1321), en 1857, par Gustave Doré (1832-1883).

     

     

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    La nymphe Galatée et le cyclope Polyphème, descendants d'Ouranos et de Gaïa, fresque romaine de la Maison de la Vieille Chasse à Pompéi, Musée archéologique national de Naples.

     

     

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    Paul Jacques Aimé Baudry (1828-1886), La toilette de Vénus.

     

     

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    Jeune Druidesse récoltant le gui sacré, représentation Vintage.

     

    La faucille est imprégnée d'une puissante charge symbolique et mythologique. L'Encyclopédie des Symboles nous apprend qu'elle « fut l'un des premiers outils du moissonneur dans les civilisations agraires du néolithique ; elle fut tout d'abord réalisée en silex puis devint un objet de culte qui se rapportait au croissant de lune. On désignait fréquemment les épées recourbées du nom de faucilles, par exemple l'arme du dieu Marduk, le dieu protecteur de la ville de Babylone. »

     

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    Paul Sérusier (1864-1927), Jeune bretonne à la faucille, 1889.

     

    La faucille, dans l'Antiquité Gréco-Romaine, est l'attribut de Chronos/Saturne « que l'on considérait, à l'époque préhellénique, comme le dieu de la fertilité. Son nom fut plus tard associé à celui du temps personnifié qui porta désormais la faucille ou (plus récemment) la faux comme symbole du temps qui s'écoule impitoyablement. Voilà pourquoi la faucille et la faux devinrent également les symboles de la mort. »

     

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    Pierre-Auguste Renoir (1841-1919), Femme debout à la faucille, 1890.

     

     

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    Dans le Calendrier Républicain illustré, créé par le poète François Fabre d'Églantine (1750-1794), on appelait le dixième jour du mois de Messidor, (du 19 juin au 18 juillet), le jour de la Faucille. Quant au drapeau soviétique, il faut savoir que : « le régime soviétique, après la révolution de 1917, fit figurer une faucille d'or sur son drapeau rouge : symbolisant la paysannerie libérée associée à la classe ouvrière triomphante figurée par le marteau. »

     

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    Textile russe des années 1930.

     

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    Vincent Van Gogh (1853-1890), Le moissonneur à la faucille.

     

    La faucille, au temps de la moisson, coupe les céréales et fait « saigner le blé » mais de cette mort jaillit la vie, représentée par la nourriture et le partage des denrées. La faucille est donc liée à deux énergies essentielles, celle de Thanatos, la Mort et celle d'Éros, le Désir qui attise les Forces de Vie.

     

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    Camille Corot (1796-1875), Moissonneuse tenant sa faucille, 1858.

     

     

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    Jules Octave Triquet (1867-1914), La femme à la faucille.

     

     

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     La jeune druidesse, image vintage issue d'ouvrages folkloriques.

     

    La faucille des Druides, objet puissamment sacré, se fait l'écho de cette symbolique. Druides et Druidesses, gardiens de la connaissance des arts magiques, utilisaient la faucille pour couper les plantes médicinales et sorcières, à l'instar du gui et pour repousser les énergies négatives, les entités malveillantes et les tempêtes. On retrouve ce dernier aspect au Japon où sur le toit de certaines maisons, une faucille est installée afin de protéger les lieux contre les orages, la grêle et la fureur du vent...

     

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    Velléda, célèbre druidesse dont la statue se dresse dans le Jardin du Luxembourg, arbore une faucille à la ceinture. Je ne développe pas l'histoire de cette statue, sculptée par Hippolyte Maindron (1801-1884) et adulée par les artistes représentatifs du Romantisme, car elle fera l'objet d'un article à part...

     

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    Charles Voillemot (1823-1893), Velléda, 1869.

     

    La faucille, comme je l'écrivais plus haut, est aussi l'attribut de Cérès, déesse très ancienne que célébraient les Latins et que les Grecs appelaient Déméter. Je vous donne rendez-vous dans quelques jours sous l'obédience de cette déesse afin d'explorer la riche iconographie qui lui est consacrée.

     

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    Merci de votre fidélité pendant ces chaudes journées d'été, je pense bien à vous, bon courage pour celles et ceux qui souffrent des températures en raison de leur état de santé et pour les victimes des catastrophes climatiques, sur notre terre... Gros bisous !

    Plume

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    Ils se gorgent de soleil, au fil de l'été, les orangers des Tuileries... et leur beauté évoque les splendeurs verdoyantes des parcs et des jardins de nos plus grands châteaux.

     

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    Ils forment une allée parfumée qui se déploie vers l'Orangerie, bâtiment tout en longueur, remarquable d'élégance et de sobriété, qui se dresse face à la Place de la Concorde, à l'extrémité occidentale de la Terrasse du Bord de l'Eau.

     

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    La Terrasse du Bord de l'Eau domine, d'un côté, la Seine et ses quais ombragés et, de l'autre, une série de parterres.

     

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    Côté « Bord de l'Eau », vous apercevez les oriflammes bleus de Paris Plages où nous irons nous promener dans quelques jours.

     

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     La Tour Eiffel se cache derrière les arbres...

     


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    Je vous avais montré l'Orangerie en 2012. C'est fou comme le temps file... Six ans déjà ! Je prends plaisir à publier de nouvelles photos.

     

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    A la Belle-Époque, l'Allée des Orangers formait une promenade particulièrement prisée. Bordée de grands marronniers, elle constituait une galerie d'exposition à ciel ouvert pour les Parisiennes qui y déployaient leurs accessoires de mode. Les jeunes gens s'y donnaient rendez-vous sous les frondaisons parfumées. Ils venaient y « sourire à des amours écloses l'hiver; sous les lustres, et maintenant épanouies au sein de la verdure, sous les brises embaumées du Printemps. » Edmond Texier: Tableau de Paris, 1852-1853.

     

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    Aujourd'hui, les délicats orangers qui s'y épanouissent sont des réminiscences de ceux qui ont peuplé, pendant des siècles, l'allée centrale du jardin.

     

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    L'Orangerie fut érigée à partir de 1853, sur les plans de Firmin Bourgeois, pour accueillir les orangers des Tuileries, entreposés jusque là dans une galerie du Louvre. Ludovico Visconti (1791-1853), architecte de l'empereur Napoléon III, termina la construction de ce grand vaisseau de pierre.

     

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     Partie tournée vers la Place de la Concorde.

     

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     Partie regardant vers le jardin des Tuileries.

     

    Les lignes classiques du bâtiment s'harmonisent avec celles des grands Hôtels de la Place de la Concorde (l'Hôtel de Crillon et l'Hôtel de la Marine).

     

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     Vue datant de septembre 2017 Les orangers n'étaient pas encore rentrés.

     

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    Une orangerie est traditionnellement un bâtiment clos, doté de vastes fenêtres tournées vers le Sud. Il y règne une température agréable et bien régulée. Les agrumes en bacs ou en pots et les végétaux fragiles, comme les palmiers, y sont protégés contre le gel.

     

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    Les grandes fenêtres que j'évoquais et...

     

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    ...deux statues d'Auguste Rodin (1840-1917), en l'occurrence Méditation ou La Voix Intérieure et L'Ombre ou Adam (au premier plan) que je présenterai dans un article à part, avec Ève et bien sûr, le célèbre Baiser...

     

    Pour le moment, ne nous éloignons pas de notre sujet : orangers et Orangerie...

     

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    La mode des orangeries date de la Renaissance et vient d'Italie. Les orangers étaient gardés, à l'abri des intempéries, dans des « limonaiae ».

     

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    La statue que l'on aperçoit au fond de l'image est la Reclining Figure d'Henry Moore (1898-1986), une œuvre mystérieuse datant de 1951 et qui a des rapports avec l'art maya. J'ai aussi un article en préparation à son sujet mais... revenons à l'Orangerie... sourires ! (Je résiste à mon penchant pour la digression, vous voyez... wink2)

     

    Pendant la IIIe République, l'Orangerie des Tuileries fut transformée en salle de concert et en lieu d'exposition pour du matériel industriel et horticole, des objets artisanaux et des chiens de race. Elle accueillit, pendant la Première Guerre Mondiale, des soldats mobilisés et servit de dépôt d'armement.

     

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    Elle fut attribuée, en 1921, à l'administration des Beaux-Arts et destinée, comme son pendant, le Jeu de Paume, à devenir une annexe du Musée du Luxembourg. Mais Georges Clémenceau (1841-1929) proposa à Claude Monet (1840-1926) d'y installer Les Nymphéas et, le 17 mai 1927, le Musée de l'Orangerie ouvrit ses portes.

     

     

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    A l'est et à l'ouest, les portes monumentales sont surmontées de frontons qui décrivent des sujets agricoles, sculptés par Gallois-Poignant, un des artistes du Louvre de Napoléon III (1808-1873).

     

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    Lions, cornes d'abondance, gerbes de blé, feuilles d'acanthe, faucilles, faux et divers instruments...

     

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    Ce lieu magnifique n'abrite plus aujourd'hui les orangers que nous contemplons dans le jardin. Ceux-ci passent l'hiver dans l'Orangerie de Meudon. Ils s'épanouissent aux Tuileries pendant les beaux jours.

     

     

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    Outre une promenade aromatique dans ce jardin que j'aime tant, je ne saurais trop vous conseiller, si vous en avez la possibilité, de visiter le musée de l'Orangerie et sa sélection raffinée de peintures impressionnistes et post-impressionnistes. Deux immenses salles ovales forment un écrin privilégié pour les célèbres Nymphéas.

     

    J'en avais parlé en Juin 2012...

     

    Les Trésors de l'Orangerie Chapitre Deux

     

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    Avec de belles pensées ensoleillées, merci de votre fidélité et gros bisous...

    Plume

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    Vue sur le pavillon de Flore et les statues du Grand Carré...

     

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    Mais que regarde l'enfant au poisson du groupe sculpté La Loire et le Loiret, de Corneille Van Cleve (1645-1732) ?

     

    Le ciel d'été où s'imprègnent des couleurs intenses et poétiques et de grands arbres gorgés d'une précieuse énergie verte...

     

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    Ce bleu et ce vert m'ont fascinée...

     

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    Les effets de « matière » aussi...

     

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    Petit clin d’œil à mon ami le platane dont j'ai montré les charmes sur La Chimère écarlate dans l'article Un Platane Vénérable aux Tuileries.

     

    Voici d'autres photos de ce magnifique géant !

     

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    Les branches serpents et l'esthétique de la « mue » que j'aime tant !

     

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    Je déambule, en pleine rêverie. Il fait très chaud. Les visiteurs avancent lentement et à certains endroits, le bleu du ciel est en métamorphose. Le jardin est un terrain de jeu pour les pensées qui papillonnent.

     

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     Vers l'obélisque de la Concorde, majestueuse aiguille au pyramidion doré, par exemple...

     

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    Pomone la belle, déesse des fruits, regarde également le ciel et veille sur la géographie des lieux. J'ai aimé la photographier de dos. Je prépare un article sur elle et son parèdre Vertumne, dieu des vergers, pour la rentrée. J'ai gardé pour cette occasion les vues de son ravissant visage.

     

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    Une respiration d'ombre et de lumière envahit le jardin. J'aime plonger dans cet entre-deux...

     

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    Petite variante entre les deux photos, l’œil... Mystérieuse perle d'obsidienne, d'onyx ou de jais...

     

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    Un peu partout, le vert est souverain ! Telle une abeille, je butine...

     

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    et je fais une jolie rencontre...

     

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    Scénographie de ciel où fondent les nuages, cette poésie de l'instant m'enveloppe...

     

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    J'aime aussi beaucoup les lampadaires du jardin. Certains datent de la Belle-Époque, d'autres ont été conçus pour ressembler à des modèles anciens.

     

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    La chaleur s'amplifie, je finis par trouver de l'eau jaillissante...

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    Cette vasque de marbre se situe au centre d'un bassin rond qui borde le Grand Carré, un espace rempli de statues que je vous montrerai dans de prochains articles. Avant cela, je vous donne rendez-vous, dans quelques jours, pour une promenade aromatique dans une autre partie du jardin...

     

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    Avec mes pensées d'amitié, merci de votre fidélité !

    Plume

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    Albert Lynch (1851-1912), Un moment de sérénité.

    Ce portraitiste émérite reçut la médaille d'or de la Peinture lors de l'Exposition Universelle de Paris, en 1900.

     

    Chers aminautes, plusieurs d'entre vous sont partis se reposer, retrouver des personnes aimées, profiter des charmes de l'été. Je vous souhaite de délicieux moments, de la douceur de vivre et pour celles et ceux qui ne sont pas en vacances, j'espère aussi un agréable été...

     

    Lire et rêver dans un jardin ou sur le sable, un lieu serein et confortable... Se ressourcer, prendre le temps, laisser venir à soi les savoureux petits bonheurs... N'est-ce-pas là un beau programme ?

     

    Je continuerai à publier, à un rythme buissonnier, au gré de l'été... En attendant, je vous invite à lire ou à relire un article écrit l'été dernier :

     

    Rêveries artistiques en bord de mer

     

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    John William Godward (1861-1922), peintre anglais néoclassique et d'inspiration préraphaélite. Nérissa, 1906.

     

    Je vous invite aussi à « déguster » des « Mots de Fées » sur mon deuxième blog : La Chimère écarlate... D'ailleurs, merci à ceux qui m'ont déjà laissé un gentil petit mot.

     

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    Féerie par Bente Schlick, illustrateur allemand né en 1986

     

    Pour les aminautes que je ne « reverrai » qu'à la rentrée, de gros bisous d'amitié et pour les autres aussi !

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    Fée et petits animaux, par Judy Mastrangelo...

    Plume

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