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Le pont des Arts
Ce remarquable ouvrage, tout en courbes et en légèreté, enjambe la Seine entre le Louvre et l'Institut de France, dont la coupole dorée s'élance vers les nuages.
La Passerelle des Arts
Le 15 mars 1801, la construction de cette audacieuse passerelle, premier pont métallique national, fut décidée par un décret de Bonaparte.
Le 28 avril 1801, le projet fut présenté, au Conseil des Ponts et Chaussées, par l'ingénieur Louis-Alexandre de Cessart (1717-1806).
Le 25 juillet 1802, par un arrêté consulaire, la Compagnie des Trois-Ponts, gestionnaire du chantier, reçut l'ordre d'utiliser la fonte, un nouveau matériau plébiscité par l'industrie anglaise. L'ingénieur Jacques Vincent Lacroix de Dillon (1760-1807) réalisa une oeuvre résolument moderne entre le Pont-Neuf et le Pont-Royal.
Neuf arches en fonte soutenaient une plate-forme horizontale réservée aux piétons. Dès son inauguration, le 23 septembre 1803, la Passerelle des Arts devint une promenade à la mode. Le visiteur s'acquittait d'un droit de péage et découvrait le pont, conçu comme un jardin suspendu au-dessus des flots. Des bouquets parfumés, des arbustes verts, des plantes exotiques et des orangers en pots étaient répartis de part et d'autre des balustrades.
Les amoureux et les passants pouvaient jouir de la plaisante atmosphère des lieux, grâce aux bancs, aux échoppes et aux bateleurs qui s'y trouvaient. Un glacier y avait établi ses quartiers. Au fil de la nuit, les rencontres et les discussions s'étiraient, dans un ballet de lanternes...
Il faut toutefois préciser qu'on pouvait éviter de payer « un sou » et passer par le Pont-Neuf.
Le Premier Consul Bonaparte, par Jean-Auguste-Dominique Ingres, 1803.
Malgré les inquiétudes énoncées par les célèbres architectes Percier et Fontaine, Bonaparte imposa le choix d'un pont métallique mais il regretta ensuite l'absence de monumentalité de l'ouvrage et craignit pour sa solidité.
De la Passerelle au Pont des Arts
Après les ponts de Coalbrookdale et de Sunderdale en Angleterre, la Passerelle des Arts apparut comme un symbole de progrès industriel et de modernité. Elle unissait avec élégance les deux rives du fleuve et desservait le Port Saint-Nicolas.
Vue du Quai du Louvre et Port Saint-Nicolas au XVIIIe siècle, par J.-B. Lallemand (Gallica).
Le Port Saint-Nicolas se situait en aval de l'île de la Cité, alors que la plupart des ports de Paris se trouvaient en amont. La raison en était simple, les piles des ponts constituaient des obstacles dangereux pour le passage des bateaux. Le port recevait des denrées alimentaires et le foin destiné aux chevaux de la cavalerie royale. Il reliait la capitale à la ville de Rouen et fut en activité jusqu'en 1905.
Vue du quai Saint-Nicolas au pied de la Grande Galerie du Louvre, vers 1750, par Jean-Baptiste-Nicolas Raguenet (1715-1793).
A partir de 1942, les vestiges du port furent aménagés en une agréable promenade qui offrait une vue imprenable sur la Passerelle des Arts. Mais « la dame de fonte » subit des bombardements qui la fragilisèrent et trois accidents fluviaux majeurs, en 1961, en 1973 et en 1979.
(Cette photographie appartient à la collection de Léonard Pitt,
auteur de Promenades dans le Paris disparu.)Elle avait déjà perdu une arche, en 1852, lors de l'élargissement du Quai de Conti, mais après la collision d'une barge avec une de ses piles, en 1979, elle s'effondra sur près de soixante mètres. Détruite en 1981, elle fut remplacée, entre 1982 et 1984, par une copie en acier. L'architecte urbaniste Louis Gerald Arretche (1905-1991) réalisa la nouvelle passerelle, d'une longueur de 155 mètres, composée de sept arches symétriques en acier, élargies pour favoriser le passage des péniches et des bateaux mouches.
Les passes navigables se situent dans l'alignement de celles du Pont-Neuf.
Alors que le plancher du pont en azobé ou bois de fer, un bois d'Afrique imputrescible, résonne sous les pas, la Galerie du bord de l'eau révèle sa sublime scénographie.
Cette Grande Galerie fut construite, entre 1595 et 1610, sous le règne d'Henri IV, par Louis Métezeau (1560-1615) du côté est, et Jacques II Androuet du Cerceau (1550-1614) du côté ouest. Coupant l'enceinte de Charles V, elle permettait au roi d'accéder aux Tuileries depuis ses appartements du Louvre et se terminait par le Pavillon de Flore.
Le Cardinal de Richelieu y fit installer l'Imprimerie et la Monnaie Royale des Médailles, en 1640, mais elle accueillit surtout, jusqu'en 1806, des boutiques, des logements et des ateliers d'artistes.
De 1697 à 1777, les plans-reliefs ou maquettes des villes fortifiées
du royaume y furent exposés.La Grande Galerie par Hubert Robert, vers 1789.
Le 10 août 1793, le Louvre devint le Muséum central des Arts. Il fut appelé Musée Napoléon en 1803 et plus communément « Palais des Arts » sous le Premier Empire.
Entre 1861 et 1870, la partie occidentale de la galerie fut démolie puis reconstruite par Hector Lefuel (1810-1880) dans un style imitant celui de Louis Métezeau mais le bâtiment fut élargi pour accueillir la collection de carrosses et de voitures de Napoléon III, favoriser l'installation des appartements d'honneur et la création d'une salle pour la réunion des États.
Les pilastres, les guirlandes, les frontons et les fenêtres qui rythment la façade ont été recréés, dans un style composite, 250 ans après la mise en oeuvre du « Grand Dessein » d'Henri IV.
En tournant le dos à ce décor magnifique, il suffit d'emprunter le Pont des Arts pour rejoindre l'Institut de France sur la rive gauche, Quai de Conti.
La fondation de ce monument « vénérable » appelé Collège Mazarin ou Collège des Quatre-Nations fut réclamée par Mazarin, dans son testament, en 1661, et financée par un legs de quatre millions de livres.
A partir de 1663, l'architecte Louis le Vau (1612-1670) déploya, en bordure de Seine, une somptueuse façade courbe flanquée de deux pavillons décorés de pots-à-feu.
Le bâtiment était destiné à accueillir soixante gentilshommes originaires des quatre provinces récemment annexées à la France, soit l'Alsace, l'Artois, le Roussillon et le Comté de Pignerol en Italie.
La Galerie du bord de l'eau, le Pont-Neuf et le Collège Mazarin en 1689,
par Sébastien Leclerc. (Gallica).En 1670, François d'Orbay (1634-1697) succéda à Le Vau. Il conçut le célèbre dôme circulaire couronné par une élégante lanterne.
En 1805, Napoléon y transféra l'Institut de France et ses cinq académies, dont la plus célèbre demeure l'Académie Française. La coupole, intérieurement de forme elliptique, abrite la salle où se réunissent les Sages.
Les cinq académies sont l'Académie Française, l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, l'Académie des Sciences, l'Académie des Beaux-Arts et l'Académie des Sciences Morales et Politiques.
L'Institut abrite l'extraordinaire Bibliothèque Mazarine et, sous le dôme, la chapelle où trône le Tombeau de Mazarin, sculpté par Antoine Coysevox (1640-1720), Étienne le Hongre (1628-1690) et Jean-Baptiste Tuby (1635-1700).
Le charmant angelot tient les armes du Cardinal: le faisceau de licteur d'or lié d'argent et la hache, sans oublier les trois étoiles d'or qui ornent les reliures des ouvrages de la bibliothèque.
Avant la construction du Collège Mazarin, la tour de Nesle s'élevait à l'emplacement de l'actuelle aile est.
Cette célèbre tour formait l'extrémité de l'enceinte de Philippe-Auguste et marquait l'entrée de Paris pour les bateliers qui remontaient la Seine. Dans l'obscurité, une lanterne, la première de « Lutèce », se balançait au bout d'une potence suspendue tout au sommet.
Sur cette gravure d'Israël Silvestre, on aperçoit la porte et la tour de Nesle au XVIIe siècle. A gauche, se dresse l'Hôtel de Nevers sur lequel fut édifié l'Hôtel des Monnaies. (La gravure vient du site du Musée Carnavalet.)
Sur celle-ci, la tour fait face à la Galerie du bord de l'eau.
En 1832, dans la pièce intitulée La Tour de Nesle, Alexandre Dumas Père ressuscita le personnage de Marguerite de Bourgogne, la « reine sanglante », emprisonnée pour avoir tué ses amants après des nuits passionnées. Le spectre de cette princesse capétienne, belle-fille de Philippe le Bel, fait revivre les « légendes noires » de Paris...
Mais il est temps de revenir vers le pont des Arts car je voudrais évoquer ce qui est devenu un véritable « phénomène » urbain:
Les cadenas d'amour
Que font là tous ces cadenas? Y aurait-il une porte secrète, invisible et truffée de serrures à l'arrière de la balustrade? Le regard aimanté par ces morceaux de métal, je m'approche...
Il semblerait que, depuis l'année 2008, les amoureux de passage aient commencé à accrocher des « cadenas d'amour » ou « lovelocks » aux rambardes du pont. Ils gravent ou marquent au feutre leurs initiales et jettent les clefs dans la Seine ou les dissimulent dans Paris. Cette tradition pourrait être une émanation moderne de rites d'amour médiévaux qui utilisaient des serrures et des clefs.
De mystérieuses disparitions
La majorité des cadenas a été retirée, dans la nuit du 11 au 12 mai 2010, mais les services municipaux de Paris ont toujours démenti en être responsables et le mystère n'a pas encore été résolu.
En juillet 2011, ce sont des pans entiers du grillage qui ont disparu sans attirer l'attention. La municipalité a dû installer de grandes planches de contreplaqué en attendant de fixer de nouveaux parapets ajourés.
Un cadenas à l'effigie de Ganesha, le dieu hindou de la sagesse, de l'intelligence,
de l'illumination, de la richesse ou encore du succès...A côté de ce cadenas ouvragé, on aperçoit des liens de tissu jaune. D'après certaines sources, ils font référence à une tradition en vigueur pendant la première Guerre du Golfe. Les femmes attachaient un morceau de tissu jaune aux grilles d'une fenêtre ou d'un portail en attendant le retour de l'être aimé.
Cette tradition se répète sur le Pont de l'Archevêché, près de Notre-Dame et sur la Passerelle Léopold Sédar Senghor, face au Musée d'Orsay. J'en ai également photographié sur le Pont Alexandre III.
On rencontre, dans cette forêt métallique, des morceaux de plastique noués et des feuilles de papier roulé, attachées à des cordelettes ou à des rubans colorés. Certains cadenas sont couverts de messages d'amour et d'amitié.
D'après certains chroniqueurs, cette « pratique rituelle » serait apparue dans les années 1980 en Europe de l'Est et se serait propagée dans le reste de l'Europe au début du nouveau millénaire. D'autres font référence à un roman italien, J'ai envie de toi de Federico Moccia. Le couple de héros accroche un cadenas marqué de leurs noms (luchetti d'amore) sur un lampadaire du Ponte Milvio, près de Rome, avant de lancer la clef dans le Tibre.
La vogue des « cadenas d'amour » ne cesse de s'étendre, sur le Ponte Vecchio à Florence, à Venise, à Vérone, à Moscou sur les rambardes du Pont Luzhkov...
Au-dessus de l'eau, élément matriciel, les serments se figent et la quête de l'amour éternel se pare de superstition. Les clefs vont rejoindre les profondeurs de l'eau, se mêler à la mort et aux ombres aquatiques, là où le temps suspend sa respiration...
Depuis le Pont des Arts, combien de serments et de clefs ont-ils déjà plongé dans le fleuve?
Une vision des lieux par Edward Hopper, peintre « réaliste » américain, en 1907.
Grâce à ses balustrades ajourées, le Pont des Arts offre une vue exceptionnelle sur la Seine et sert fréquemment de galerie d'exposition à ciel ouvert. Sa silhouette unique séduit le cinéma français et international, inspire les amoureux, les poètes, les peintres, les parfumeurs... Il permet de contempler la magnificence des quais, le Louvre et l'Institut de France et des monuments emblématiques de Paris comme la « tour clocher de l'église Saint-Germain l'Auxerrois. »
Il s'agit en réalité du beffroi néo-gothique de la Mairie du premier arrondissement, attenante à l'église. Ce beffroi, édifié en 1860 par Théodore Ballu, est doté d'un magnifique carillon.
Que vous soyez d'humeur romantique ou dilettante, épris de rêverie ou juste de passage, ne manquez pas, si l'occasion se présente, d'apprécier l'atmosphère si « spéciale » qui émane de ce pont, entre deux mondes et à la croisée de mille sensibilités...
Comme une île perdue
dans un grand cimetière
où tremblent suspendus
des soleils éphémères
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Comme un rêve blessé
qui refuse l'enfer
et se met à danser
dans le sang de l'hiver
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Les bateaux creusent l'onde
en liens imaginaires
sous les berges profondes
aux âmes nourricières
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Je les sens chuchoter
sur le pont des mystères
où nos coeurs mélangés
dévorent la lumière...
Cendrine
Pont des Arts, 27 février 2012...
Sources et Bibliographie
Charles DUPLOMB: Histoire générale des ponts de Paris. 1911.
Théophile LAVALLÉE: Histoire de Paris: depuis le temps des Gaulois jusqu'en 1850.Hetzel, 1852.
Aubin L. MILLIN: Dictionnaire des beaux-arts. 1838.
Gustave PESSARD: Nouveau dictionnaire historique de Paris.Lejay, 1904.
L M TISSERAND: Topographie historique du Vieux Paris. Imprimerie impériale, 1866.
Émission « Sur le Pont des Arts » de Marianne Durand-Lacaze.
Tags : pont, arts, paris, fut, academie
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Commentaires
98Jean SauvalDimanche 3 Mars 2013 à 03:14Un reportage passionnant pour tous ceux qui aiment l'Histoire et les secrets de Paris. Un véritable bonheur de lecture dont vous nous gratifiez une fois de plus. Je ne peux que vous féliciter, chère Plume Fée!
97LiliroseDimanche 3 Mars 2013 à 03:14C'est un régal Cendrine de te lire, d'article en article. Tu m'as totalement conquise. Je t'embrasse. Lili
96zazaDimanche 3 Mars 2013 à 03:14Comme c'est joli tous ces cadenas dont je ne connaissais pas la signification. Tu ne peux pas savoir combien ça parle à mon petit coeur tout seul qui aurait bien besoin d'un petit ruban pour espérer trouver moi aussi l'âme soeur ...
95NessaDimanche 3 Mars 2013 à 03:14Encore une exquise escale... J'aurais aimé voir ce pont-promenade à l'époque où il ressemblait à un "jardin suspendu" au-dessus de l'eau... A part ça, je confirme : les cadenas, c'est moche ! Surtout quand on imagine ces serments se jeter dans le fleuve, brrr !...
94Le Piéton de ParisDimanche 3 Mars 2013 à 03:14Chère Cendrine
Comme à l'accoutumée c'est un magnifique travail que vous avez réalisé !!! Quel dommage que Georges Brassens ne puisse vous lire , lui qui a immortalisé dans sa chanson " Le vent " le pont des Arts !!! Votre blog mériterai amplement de figurer sur le site officiel de Paris !!! Merci pour votre promenade !!!
Jacques
93zazaDimanche 3 Mars 2013 à 03:1492Rose HuanDimanche 3 Mars 2013 à 03:1491HermineDimanche 3 Mars 2013 à 03:1490JeanDimanche 3 Mars 2013 à 03:1489Promeneur75Dimanche 3 Mars 2013 à 03:14Encore un article que je relis avec plaisir en y découvrant des détails qui m'avaient échappé à ma première lecture. Merci de votre savoir et surtout de savoir le raconter.
88petit caribouDimanche 3 Mars 2013 à 03:14Encore un très bel article,avec de belles photos et des explications "savantes" mais claires.Contrairement à tous les lecteurs,j'aurai aimé mettre un cadenas sur ce pont si j'avais eu la certitude qu'il puisse faire renaître un amour passé...Et jeter la clé dans l'eau pour éviter que cet amour disparaisse.C'est si bon de se sentir aimée...
Bisous.Ton Amie.Petit Caribou.
87CasimirDimanche 3 Mars 2013 à 03:14Maginifique article qui présente bien les étapes de construction du bord de seine parisien au fil de l'histoire; Brvao ppour tes recherches. Tu as le truc pour nous divertir , nous ravir et nous apprendre ! Superbe plume la plume fée !
Bonjour, je suis désolée pour tes mains, ce n'est pas facile en effet.
En ce qui me concerne, ce n'est pas opérable et périodiquement je dois supporter ça mais le moral est bon, alors...
Je te souhaite bon courage et t'envoie d'affectueuses pensées. Cendrine
Bonjour Monik, je suis enchantée moi aussi de cette rencontre et très touchée de tes compliments.
Je pense qu'il y a d'innombrables merveilles autour de nous et que les yeux des poètes ne cessent de les contempler. Je garde aussi les liens de tes créations et je vais te placer dans "Mes coups de coeur". Je te souhaite un excellent dimanche. Bises affectueuses. Cendrine
Coucou Jacqueline, merci à toi pour tes nombreuses attentions et gentillesses, cela réchauffe le coeur. Le pain aux abricots a été dévoré, il va falloir en refaire!!! J'espère que tu profites bien de ta journée, tu l'as amplement mérité. Je te souhaite un très agréable dimanche. Gros bisous bien affectueux. Cendrine
Coucou Cendrine,
Merci pour ton très gentil message mon amie, cela me fait vraiment plaisir, et merci encore pour tes chaleureux commentaires à mon égard, j'espère que cette journée de dimanche se passe le mieux du monde pour toi, que tu souffles un petit peu aujourd'hui... ton pain aux abricots est superbe !!! et je suis particulièrement heureuse si vous avez pu vous régaler...
journée tranquille pour moi... télé, lecture, cuisine, blog... un farniente cool et sympa, je reprends la course dès demain... lol.... belle journée pour vous deux, je t'embrasse bien affectueusement,
Jacqueline
Bonjour Cendrine,
ravie de faire connaissance ... Ton blog est superbe... Magnifique voyage... Paris est certainement la plus belle ville au monde... La mienne n'est pas mal, non plus... (sourires)... quand le passé et le présent font bon ménage... Avec plaisir je reviendrai te voir... Je te garde dans mes liens... Bon dimanche !! Bises amicales.
Monik (http://lespoemesdemonik.over-blog.com)(les mots bleus)
et Mokalona (http://mokalona.over-blog.com) (ART_MONIE)
coucou
je vois que tu as aussi des soucis
c'est opérable non
moi avec le clavier ça vas mais pour écrire au stylo du mal
mes mains ce paralyse
c'est pas évident et je te comprend
bonne nuit gros bisous
Coucou aux adorables Caribous! Je vous remercie tous les deux profondément pour vos mots si doux...
Je te comprends pour l'amour, je formule très souvent des voeux pour toi, tu le sais, mais c'est très étrange, quand tu te trouves près des cadenas, cela est étonnamment morbide, comme je l'écrivais. Tu as l'impression que quelque chose va se finir or ce n'est pas du tout le but... Si tu veux, je t'enverrai un joli rituel de printemps qui nous avait fait beaucoup de bien. En tous cas, je suis "amoureuse" des Caribous!!! Et je t'envoie plein de pensées d'amour...
Gros bisous à mon inconditionnelle Amie! Cendrine
En effet, il est passionnant de plonger dans les arcanes de son histoire... Merci de ta visite. Excellente fin de semaine. Cendrine
Tu es adorable Jacqueline et ça me réconforte beaucoup, sois en sûre! Moi aussi je me sens si malheureuse quand une personne qui m'est chère souffre alors j'essaye de la soutenir autant que possible. Le prpblème de ces "fichues douleurs" c'est qu'elles reviennent tout le temps, avec plus ou mois d'intensité, je préfère le moins, LOL! Et parfois, elle sont si violentes que la panique est proche. Il faut essayer de la contrôler sinon c'est pire alors je pense à tout plein de choses positives, à Christophe, à mes amies, à ces petits mots si gentils que je reçois, au délicieux petits plats que j'ai vus sur certains blogs très gourmands, si tu vois ce que je veux dire...
Le mois de Mars est ambigü, ce n'est plus l'hiver, ce n'est pas encore le printemps, il pleut, il y a des giboulées, on a une baisse de régime... J'attends les belles journées remplies de lumière avec impatience et je sens bien que toi aussi!
Je suis sûre que tu va apprendre plein de choses et que même si tu trouves pas directement de prof de mandarin tu vas sacrément bien te débrouiller. Tu es pugnace et fantasque, ce sont deux immenses qualités. Et tu es d'une gentillesse infinie. Je te remercie de penser à moi comme tu le fais. Je te souhaite une excellente fin de semaine et je t'embrasse bien fort. Cendrine
Bonjour Framboise, je suis très heureuse de ta visite et je te remercie profondément d'avoir partagé mon article. C'est vraiment très gentil.
Je n'aime pas non plus ces cadenas qui envahissent tout. J'ai répondu à plusieurs personnes que cela avait un côté morbide quand on se trouve à côté. Dans les rituels médiévaux, on chevillait l'autre à soi-même et ce qui est étrange c'est que les personnes reproduisent cela aujourd'hui. Il y en a des quantités impressionnantes comme tu as pu le voir et j'en ai encore trouvé là où il n'y en avait pas la semaine dernière!!! C'est devenu une véritable coutume mais c'est une invasion de l'espace public et du paysage en même temps.
En tous cas, je te remercie une nouvelle fois pour ta gentillesse et ton enthousiasme. Je te souhaite une excellente fin de semaine. Cendrine
Bonjour Isa-Marie, je suis très touchée de ton message, je vais te répondre avec le fameux "secret" sur ton adresse mail car c'est un peu long... Je te remercie de tout coeur. Bises. Cendrine
Hello chère Cendrine,
De quelle maladie souffres tu ?
C'est souvent lorsqu'on a un problème de santé qu'on réalise combien nous sommes fragiles.
je dis toujours que lorsqu'on a la chance d'être normal et en bonne santé, on a le devoir d'en profiter.
Amitiés d'Isa-Marie
j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ton article, il est si documenté et précis , je l'ai partagé sur twitter et facebook pour en faire profiter un maximum de personnes ..
un seul truc que je n'ai pas aimé , ce sont les cadenas .. c'est vraiment très moche et ca ne veut plus dire grand chose il me semble
Bonjour Cendrine,
Voilà que je viens de recevoir la newslette m'informant de l'article sur le pont des Arts, bravo OB... du grand n'importe quoi !! cela dit, j'ai reçu également un charmant et très gentil message de Christophe, je suis ravie que ma petite carte lui ait plû, je t'envoie la photo par mail de la place royale de la bougie qui fait "ami/ami" avec les grenouilles... lol...
Je vois que tu n'es pas dans une grande forme, encore une nuit dernière très mauvaise avec douleurs continuelles... ce qui me désole dans tout ça c'est que je me sens totalement impuissante pour t'aider et mon caractère est ainsi fait, qu'il me faut toujours essayer d'apporter un peu d'aide à autrui... dans ton cas, c'est impossible et me désole... (un peu compliqué mais j'espère que tu suis mon raisonnement... lol...) et puis je n'aime pas le mois de mars en général, ni vraiment beau, ni vraiment mauvais, les jours encore trop courts et déjà trop longs... c'est compliqué, mais j'ai toujours une baisse de "peps" en mars, sais pas pourquoi... dans ces cas là, je me remets à apprendre... n'importe quoi mais il faut que j'apprenne !! dans le cas présent, je vais essayer d'emmagasiner quelques expressions de Mandarin... l'accent n'y sera pas, pas d'asiatique à Saint Loup... mais bon, je me débrouillerai quand même...
Cela dit, j'espère que cette nuit s'est révélée meilleure que l'autre et que tu as trouvé un sommeil réparateur... essaye de te reposer aujourd'hui mon amie, je pense très fort à toi... je te souhaite une belle journée même si le temps n'est pas au beau fixe....
Je t'embrasse très fort,
Jacqueline
Pas de problème pour la semaine, nous serons deux alors car d'autres personnes ne sont disponibles que le week-end. La dernière fois, nous étions deux blogueuses, ravies de nous retrouver un lundi (mais n'importe quel autre jour ça me va) et de sillonner les rues de Paris avant de savourer un thé et une pâtisserie.
Belle fin de semaine. Cendrine
Ce sera avec plaisir que je vous accompagnerais si vos ballades se passent la semaine, Bon week-end
Coucou Isa-Marie,
Finalement, j'ai bien reçu ton premier commentaire et j'en suis ravie. Je me suis un peu confiée sur mes douleurs de cette nuit, cela n'a rien à voir avec le secret mais ça m'a fait du bien. J'espère que ça ne te mettra pas mal à l'aise...
Quant au secret, promis je vais te le dire, je vais voir si j'accède à ton adresse mail perso à côté de l'adresse de Grelinette dans la liste de commentaires...
J'adore ces trésors que tu déniches et tu le sais!
Bises amicales. Cendrine
Je suis ravie de découvrir tes photos et de recevoir tes visites. Merci à toi. Excellent week-end! Cendrine
Coucou Jacqueline,
Je rêve de ton pain aux abricots, nous allons le préparer ce soir et sois sûre que je te dirai comment nous l'avons trouvé avant qu'il n'en reste plus!!!
Ta carte pour Christophe est arrivée à midi. Il a été ravi de cette délicate pensée et a trouvé, tout comme moi, ton "petit" village bien joli! Il te remercie et moi de même!
J'espère que tu arriveras à bien te reposer dimanche et à "buller" si je puis dire ainsi, te connaissant toujours active et virevoltante...
La météo s'est déjà dégradée. Il règne une atmosphère plutôt d'automne que de printemps. J'espère que ça passera vite! Vivement le retour du soleil pour les balades et les photos!!!
Je te souhaite une très belle fin de semaine et je t'envoie de gros bisous d'amitié. Cendrine
Bonsoir Isa-Marie, en effet les "grands esprits" se rencontrent! Pas vrai que nous sommes de grands esprits?! Il a dû y avoir dans l'air un feeling bien particulier.
J'étais en train d'écrire mon article sur le Pont-Neuf (je suis intéressée par les ponts en ce moment...) et brusquement, j'ai eu l'idée d'aller me promener sur ton blog, c'est de la télépathie en effet...
Je te remercie de prendre si gentiment de mes nouvelles. Je suis toujours ennuyée de dire des choses pas forcément agréables à ce sujet. Je m'en sens désolée. Je ne devrais pas, je sais, mon mari et mes ami(e)s me le disent tout le temps mais c'est ainsi. Je ne peux pas répondre que ça va bien alors que non mais je tiens le coup et ma gourmandise invétérée n'est pas atteinte. C'est une "bénédiction" pour moi!
La nuit dernière a été terrible, j'ai cru "mourir" comme à l'accoutumée dans ce genre de crises mêlant épilepsie et douleurs et là je suis sonnée mais la douleur est mesurée. Tant qu'elle reste ainsi, je peux continuer à profiter de ce qui m'entoure et des délicieux petits plats des aminautes!
Je pense aussi aux autres personnes atteintes de "maladies rares" et à toutes celles qui sont "malades" tout court hélas et j'espère que chacune a comme moi la chance de bénéficier d'autant d'affection et de soutien.
Merci d'avoir pris de mes nouvelles et de m'avoir écrit ce joyeux commentaire. Je vais aller explorer les secrets du coffret féerique...
Bises. Cendrine
Coucou Cendrine,
Mon comm de tout à l'heure n'est pas passé je recommence...
Bon alors je serai toute discrète lorsque tu me diras le secret, chuuut !
Et je voulais te dire que j'ai énormément pensé à toi en présentant le livre grimoire sur Grelinette, j'adore cette série, il y en a quelques uns dans le même genre et je ne doute pas qu'ils te plaisent ! Tu vas encore me faire sourire en me disant que je suis tentatrice !
Amitiés d'Isa-Marie
Bonjour, je suis ravie de ta visite et je t'en remercie. Je suis heureuse que tu aies passé un bon moment en lisant l'histoire de ce pont. Souvent, en le traversant j'imagine le vieux Paris...
Je n'aime pas non plus l'idée de "fermer" les sentiments avec un cadenas. Mon mari et moi (il avait fait une plaisanterie en disant que nous devrions ouvrir une boutique de cadenas en bordure de fleuve!) n'en avons pas mis. Des amis blogueurs nous ont demandé si nous l'avions fait et franchement, cela me dérangerait.
En plus, le fait de jeter les clefs dans l'eau a un côté morbide et mortifère. C'est ce que j'ai voulu exprimer à travers mon poème alors je perçois tout à fait ta réflexion.
Merci encore de ce commentaire très intéressant. Je te souhaite une excellente fin de semaine. Bisous. Cendrine
Coucou Cendrine,
En rédigeant la présentation de ce livre j'ai pensé à toi à chaque ligne ! et je voulais venir te titiller pour que tu me dises avec beaucoup de gentillesse que je suis tentatrice ! J'adore !
Mais il fallait aussi que je file faire une course et à mon retour tu l'avais déjà trouvé ! Je suis sure qu'il y a eu un feeling de thélépatie ;-)
Oui je pense qu'il te plaira beaucoup mais que tu seras encore plus charmée par coffert grimoire que j'avais présenté précédemment (enfin moi je le préfère).
Et toi comment vas tu ?
Merci de ton passage chez Grelinette.
Bises d'Isa !
Bonjour Cendrine,
Et bien à lire tes commentaires, je vois que tu as "du pain sur la planche" si je puis dire... si tu as réalisé ce pain au lait aux abricots, dis-moi ce que tu en penses, il est parti si vite ici que je pense en refaire un autre différent mais toujours à base de pain au lait...
J'espère que tu vas pour le mieux en ce vendredi et que tu as passé une nuit reposante, j'ai enfin réussi à envoyer un petit courrier à Christophe pour le remercier.... en ce moment, je suis "surbookée" mais j'aime assez finalement... encore pas mal de travail aujourd'hui et demain, dimanche... j'ai décidé de ne rien faire du tout... lol....
Je vais peut-être allée au salon des blogs culinaires le 10 juin prochain à Bruxelles, si je passe par Paris, je te fais signe, cela va de soi.... je te tiens au courant...
Je te souhaite une excellente journée, encore un peu de soleil ici mais la météo annonce du mauvais temps pour le weekd-end, alors profite si tu le peux de cette journée pour aller faire une petite promenade....
Je t'embrasse bien affectueusement,
Jacqueline
Merci Martine Eglantine, ta visite me réjouit. C'est une grande joie pour moi. Je te souhaite une belle soirée. Amitiés. Cendrine
Coucou Jacqueline,
Ton message me réjouit et me réconforte! J'ai trop "crisé" avec OB ces derniers jours. Ce matin Christophe m'a "sorti" le nez de mes écrits et des problèmes de blog, direction Paris pour une belle balade le long de la Seine. Il y avait de la brume, cela a donné des photos un peu spectrales et mélancoliques. Je lui a fait découvrir la statue de l'Hôtel-Dieu, il a beaucoup aimé le personnage!
Je te remercie infiniment pour ton enthousiasme concernant mon article. Je suis très touchée... J'ai fait beaucoup de recherches pour trouver les gravures et les tableaux. Je ne voulais pas faire quelque chose de trop long ou rébarbatif. J'ai essayé d'équilibrer entre connaissances et promenade poétique.
J'adore la poésie, j'ai toujours écrit des poèmes et de temps en temps j'aime en insérer dans mes articles. J'adorerais lire tes poèmes, j'en serais enchantée... Tu m'allèches avec ce recueil personnel!!!
Je te souhaite une très belle soirée et je t'embrasse bien fort.
Cendrine
Bonsoir Patricia,
Je suis très touchée par tes mots qui représentent pour moi un vif encouragement et une douce récompense. J'aimerais beaucoup en effet que des "instances officielles" reconnaissent mon travail. Cela arrivera peut-être. Mais je suis de toute façon ravie car mes aminautes sont formidables. Je suis très émue par autant de gentillesse et de fidélité.
Le problème par rapport aux cadenas c'est qu'on ne sait pas où ça va s'arrêter. J'en ai encore trouvé ce matin à un autre endroit et franchement ça gâche le paysage. Je comprends le lien avec ce qui est ancien et traditionnel mais comme je le dis à travers mon poème, cela m'évoque la mort, avec l'eau qui coule en dessous... Et c'est une appropriation forcée de l'espace urbain.
Je te remercie à mon tour et je te souhaite une excellente soirée. Bises. Cendrine
Je te souhaite le meilleur rétablissement possible et j'espère que les effets de cette méchante grippe vont s'en aller au plus vite. Repose-toi autant que possible et profite bien du soleil. A Paris, aujourd'hui c'était le brouillard qui régnait. Il y avait une étrange ambiance et surtout beaucoup d'humidité. J'espère n'avoir rien attrapé...
Merci beaucoup de ta visite. Je t'embrasse bien fort. Cendrine
Merci beaucoup Doria! Tes cakes à la farine complète m'intéressent énormément. C'est un tel plaisir d'en préparer soi-même et le goût est si différent des cakes industriels... En plus, on fait plaisir aux personnes qui nous entourent.
Je te souhaite une belle soirée de jeudi. Bisous. Cendrine
Merci Patchouka, je suis ravie de ta visite! La quantité de cadenas est impressionnante en effet et j'en ai encore trouvé ce matin, accrochés aux grilles qui dominent le Pont-Neuf. Certains cadenas sont gravés finement. Il va y en avoir de plus en plus. Mon mari a suggéré que nous ouvrions une petite boutique de cadenas!!! Belle soirée. Bises. Cendrine
Voilà, j'en ai trop dit ou plutôt pas assez!!! je te le dirais volontiers, en secret!!! Il y a une petite chose cachée dans une très vieille fente de mur dans une église de Paris. Des toiles d'araignée protègent la "chose" en question. Qui sait, il y aura peut-être un archéologue, dans le futur, qui la trouvera?!
Je trouverai bien le moyen de te le dire...
Gros bisous. Cendrine
merci pour ce superbe article ! et cette superbe ballade !
c'est impressionnant tout ces cadenas !
bizzzz
Je suis ravie que mon cake t'ai plu ! J'en fais de différents tous les 3 jours à la maison. En ce moment, j'utilise de la farine complète. Ils vont arriver peu à peu sur mon blog.
Très bonne après-midi en ce jeudi,
Bisous, DoriaEh bien voilà, maintenant je me demande quel est le truc caché et comment peut-il y être toujours... Et pourquoi nous n'avons pas ous aussi caché un truc...
Tu m'en diras plus ? hein dis ?
Bisouxxx d'isa-Marie
bonjour cendrine
malgré ma grippe j'essaie de répondre tant que je tient debout
un beau soleil qui nous réchauffe le coeur et ça fait un bien fou au moral bon jeudi de gros bisous mon amie
COucou Cendrine,
Magnique et très beau reportage. C'est vrai que la Ville de Paris devrait consulter ton blog et t'honorer d' l'excellent travail que tu réalise.
J'aime ce joli pont des arts qui, après une belle ballade dans les cours du Louvre, nous mène sur la rive gauche...
Dommage tous ces cadenas, c'est moche !!! à mon goût !!!
Je te remercie pour tes commentaires toujours chaleureux et qui me touchent beaucoup.
Je te souhaite une excellente journée
Bises,
PatriciaCoucou Cendrine,
Et bien non, je n'avais pas reçu ta news pour cet article et comme je cours partout en ce moment... je n'ai pas toujours le temps de venir sur les blogs, de plus il est évident qu'OB est totalement inapte pour l'instant, c'est vraiment très désagréable je te l'accorde, quoiqu'il en soit je me ré-inscrits à ta newsletter... nous verrons bien...
Le pont des Arts !!! que de souvenirs pour moi, un merveilleux pont que j'aime tout particulièrement tout comme les alentours fabuleux que ton article nous présente merveilleusement, bien sûr l'histoire est moins connue en ce qui me concerne et c'est ainsi que j'ai pu apprendre énormément de choses en lisant ton texte, un tout grand merci à toi pour tant de culture historique et photographique... un fabuleux parcours qui ne peut qu'inviter le promeneur à rêver en suivant le chemin que tu nous as tracé...
Excellent et émouvant poème mon amie... je ne savais pas que tu aimais ainsi la poésie, j'ai tout un recueil également de poèmes perso mais voilà bien longtemps que je n'en ai plus écrits... dommage peut être, grâce à toi, je vais peut-être m'y remettre... lol...
Je te souhaite une excellente et très belle journée, je t'embrasse bien affectueusement,
Jacqueline
Merci Patricia, la balade est très agréable en effet. Je te souhaite une excellent soirée. Bisous. Cendrine
Une belle visite. Merci pour cette promenade. Je te souhaite une excellente fin de semaine, Bisous, Patricia
Cher Jacques, vous me faites très plaisir! J'espérais trouver un équilibre entre poésie et connaissances, à priori c'est réussi! Je vous remercie de tout coeur. J'aurais été terriblement flattée d'être "lue" par Monsieur Brassens! Je vous adresse mes plus amicales pensées. Cendrine
Chouettes les cadenas, je viens d'aller voir ton article. Cette tradition se répand partout. Il n'y aura bientôt plus de place!
Coucou Isa-Marie,
Non, je n'en ai pas ajouté mais nous avons accompli un rituel amoureux, il y a des années, et caché quelque chose à un endroit bien particulier de Paris... Et de temps à autre, nous revenons voir si ça y est toujours. La réponse est oui!
Par contre, des bisous sur le Pont des Arts nous en ajoutons à foison!!!
Bises. Cendrine
Coucou Nessa, je te retrouve avec bonheur. Moi aussi j'aurais aimé contempler ce "jardin suspendu" au-dessus de la Seine. Dire qu'il y avait même un glacier!!! Quant aux cadenas, où vont-ils s'arrêter?!!! Gros bisous. Cendrine
Vous me faites très plaisir Gérard! Et j'adore l'image des deux jambes de bois... Je crois que je suis de plus en plus "amoureuse" de Paris à chaque article. Je vous adresse mes meilleurs sentiments. Cendrine
Je te remercie et si tu es disponible, je serais ravie de me promener avec toi. Je vais régulièrement avec des amis blogueurs. Belle journée et merci de ta visite. Cendrine
Splendide reportage sur ce pont mythique et ses alentours. La ville de Paris devrait vous honorée pour l'excellente "publicité" que vous faites à la ville lumière !! En découvrant un article pareil : Il faudrait avoir deux jambes de bois pour ne pas .... avoir envie de s'y promener.
Et plus un délicieux poême ... cerise sur le gâteau.
gérard
Un article bien documenté. J'aime bien passé sur le pont des arts pour cette multitude de cadenas. Excellente journée.
Chère Zaza, je suis très heureuse de ta visite et j'espère profondément que ton "petit coeur" trouvera son écho et tout le bonheur qui va avec! Je te le souhaite intensément! Je t'embrasse... Cendrine
C'est moi qui te remercie Brigitte. C'est en effet une tradition très particulière mais il semble qu'elle soit de plus en plus ancrée dans le paysage urbain. Je te souhaite une belle nuit. Gros bisous! Cendrine
Je suis ravie de ta visite, Claude, et très heureuse d'avoir pu partager cette promenade avec toi. J'aime tant ces monuments dont l'histoire est si riche... Je te remercie du fond du coeur, je suis très touchée. Bien amicalement et très belle soirée. Cendrine
Je ne connaissais pas ce pont. Une drôle de tradition;)
Bonne nuit et merci pour ce nouvel article très enrichissant.
Gros bisous,
Brigitte
il y a déjà pas mal d'années que je ne suis pas retourné à paris..;et je viens de m'y balader à nouveau et de la plus belle maniére qui soit...car en plus du plaisir des yeux j'ai appris beaucoup sur tous ces ponts et monuments que je connais mais dont certains je ne connaissais pas l'historique...c'est merveilleusement conté...poétique incrustée....je suis admiratif..de ce que j'ai vu , lu appris....suis conquis..;bravissimo...un grand merci...
amicalement
claudeParis regorge de merveilleux ponts avec des histoires très différentes et souvent extraordinaires. Je connais ce pont avec les cadenas.
Très bonne soirée en ce lundi,
Bisous, Doria
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Un bel article de plus qui fleurit sur votre blog. Un bon moment de lecture avec une touche de poésie.