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Le Pont du Carrousel
Ce vaste ouvrage, dont l'architecture unit classicisme et modernité, chevauche les eaux changeantes de la Seine, entre le Quai Voltaire et les Guichets du Louvre. Appelé autrefois Pont des Saints Pères, il fut initialement construit dans le prolongement de la rue des Saints Pères, ancienne rue Saint-Pierre, située à la frontière des 6e et 7e arrondissements de Paris.
Vue sur le Quai Voltaire avec la coupole de l'Institut de France, à l'arrière-plan.
La même vue sur ce cliché de 1946, trouvé sur le site de la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine.
Vue sur les majestueux Guichets du Louvre qui feront l'objet de mon prochain article.
Avant la création du Pont du Carrousel, les marchandises et les matériaux ne pouvaient pas franchir la Seine dans « l'espace » contenu entre le Pont-Neuf et le Pont Royal. Quant au Pont des Arts, édifié en 1804 sur l'initiative de Napoléon Ier, il était réservé aux seuls piétons.
Le roi Louis Philippe fut le commanditaire d'un premier pont, voie neuve commerciale élaborée par Antoine-Rémy Polonceau (1778-1847), un ingénieur épris de modernité qui travaillait comme inspecteur divisionnaire aux Ponts et Chaussées. L'ouvrage, baptisé Pont du Carrousel, fut inauguré le 30 octobre 1834.
La tendance de l'époque était aux ponts suspendus mais, entre 1831 et 1834, Polonceau conçut un pont en arc doté d'une audacieuse structure en fonte et en bois. Plusieurs de ses contemporains se déchaînèrent aussitôt contre « l'ingénieuse merveille », critiquant son étrange esthétique et lui reprochant d'être incompatible avec le passage des péniches.
Le Pont du Carrousel, en 1839, dans le Guide pittoresque du Voyageur en France.
Les cercles de fer qui décoraient les rambardes et les arcatures du pont reçurent le sobriquet de « ronds de serviette » et l'ouvrage fut ironiquement appelé « hôtel des courants d'air ».
Le Pont du Carrousel dans le Paris Illustré.
Il fut ouvert à la circulation en 1835 et en 1847, des statues monumentales signées Louis-Messidor Petitot furent installées à chacune de ses extrémités. Ces allégories de la Ville de Paris, de la Seine, de l'Abondance et de l'Industrie constituent le décor de l'ouvrage actuel.
Les quatre anciens piédestaux étaient en fonte, peints à l'imitation de la pierre. Ils accueillaient les bureaux des percepteurs du droit de péage.
Le Pont du Carrousel vu du Pont Royal, vers 1859, sublime épreuve sur papier albuminé de Gustave Le Gray(1820-1884).
La circulation augmentant sous le Second Empire, le Baron Haussmann envisagea de faire élargir l'ouvrage mais le projet fut abandonné à cause du conflit franco-prussien de 1870. En 1883, on remplaça une partie des poutres et des traverses du tablier et en 1906, les éléments en bois disparurent au profit du fer martelé.
En 1896, l'architecte Édouard Bérard (1843-1912) conçut un projet de pont triomphal sur la Seine, face aux Guichets du Carrousel, dans la perspective de l'Exposition Universelle de 1900. Il proposa d'utiliser du ciment armé pour la structure et du plomb et du cuivre pour le décor. Il imagina deux statues monumentales et une proue de navire géante pour symboliser la ville de Paris.
L'esquisse du projet, trouvée sur le site du Musée d'Orsay.
Entre 1935 et 1939, le pont fut entièrement reconstruit, quelques dizaines de mètres en aval, d'après les plans des ingénieurs Henri Lang, Jacques Morane et Henri Malet.
Cette merveille de technicité, constituée de trois arches en béton armé, fut insérée dans un revêtement en pierre de taille pour se fondre dans le décor majestueux du Louvre et des quais de la Seine. Sa longueur est de 168 mètres pour une largeur de 33 mètres.
Pénétrer dans ses profondeurs est un mystérieux voyage, rythmé par les chuchotements de l'eau.
La reconstruction du Pont du Carrousel, 1936, par Jean Texcier(1888-1957).
Ce tableau, conservé au musée Carnavalet, décrit l'importance des travaux effectués et la puissance des infrastructures déployées pour la circonstance. Les berges de la Seine furent réaménagées et les ports du Louvre et des Saints-Pères disparurent au profit d'un mode de vie plus industrialisé.
Quand les Ponts et Chaussées sollicitèrent le sculpteur ferronnier Raymond Subes (1893-1970) pour l'éclairage des lieux, celui-ci se heurta à plusieurs contraintes. A cause de la proximité du Louvre, les lampadaires ne devaient pas paraître trop « modernes » ni s'élever à plus de 13 mètres (la hauteur des toitures du palais). Il fallait aussi que la portée des lumières soit de 20 mètres.
Il conçut alors un ingénieux dispositif composé d'obélisques télescopiques atteignant 12 mètres de hauteur le jour et 22 mètres la nuit. Ils ont été hors service pendant de longues années mais la Ville les a fait restaurer dans le cadre des illuminations liées au passage à l’an 2000.
L'ossature d’acier fut recouverte d’une tôle de cuivre repoussé et le mécanisme originel remplacé par un système de treuil automatisé, permettant à ces insolites pylônes-candélabres de retrouver leur fonction initiale, pour un coût de 6,8 millions de francs...
En 1940, comme tous les stocks de cuivre devaient être répertoriés par l'administration d'Occupation, Raymond Subes dissimula les lampadaires dans les souterrains du pont et poursuivit son travail en secret. Il les restaura après la Libération et les fit installer, en 1946, aux extrémités du monument, sur les plans de l'architecte Gustave Umdenstock.
Depuis plusieurs décennies, la silhouette Art Déco de ces étonnantes vigies crée une animation singulière et colorée dans le paysage.
Les statues qui décoraient l'ancien pont du Carrousel ont été installées aux angles de l'ouvrage moderne. Elles sont l'oeuvre du sculpteur Louis-Messidor Petitot (1794-1862) qui fut l'élève et le collaborateur du maître Pierre Cartellier (1757-1831).
La Ville de Paris, sur la rive gauche, en amont du fleuve.
Gardienne intemporelle des secrets de l'eau, elle arbore, majestueuse, un sceptre et une couronne à créneaux.
Il existe une parenté stylistique entre les allégories du Pont du Carrousel et les statues monumentales des grandes villes de France, sculptées vers 1838, pour la Place de la Concorde. Deux d'entre elles, Lyon et Marseille, sont nées sous le ciseau de Louis Petitot.
La ville de Marseille
La ville de Lyon
La Seine, sur la rive gauche, en aval du fleuve.
Couronnée de palmes et parée de bijoux, elle tient une amphore d'où s'échappe l'eau nourricière, substance vitale de Paris.
L'Abondance, sur la rive droite, en aval de la Seine.
Ses attributs évoquent la prospérité (corne d'abondance, coffret à bijoux) et la prédominance des arts dans la capitale (lyre, couronne...).
Dans la mythologie grecque, la corne d'abondance (cornucopia) ornait le front de la chèvre Amalthée, la nourrice du roi des dieux. Mais d'après certaines légendes, le puissant Hercule ôta une corne au dieu fleuve Achéloos, métamorphosé en taureau et les Nymphes transformèrent cette corne mâle de fécondité en corne d'abondance.
Merci au site de numismatique en ligne sacra-moneta.com pour ces photos de monnaies anciennes.
Conque magique, elle est une source inépuisable de richesse, de nourriture et de bienfaits, attribut de Ploutos, le dieu grec de l'abondance et de la Terre Mère sous ses multiples appellations: Gaïa, Tellus, Épona, Fortuna...
L'Abondance, en contrejour, dans ses atours de nuages...
Et sur cette photo de 1940, signée Noël Le Boyer. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine).
L'Industrie, sur la rive droite, en amont de la Seine. La statue revêt les attributs du dieu Mercure: le caducée dans la main droite et le chapeau ailé ou pétase.
Le caducée n'est pas seulement l'emblème de la médecine, il est aussi celui du commerce et il symbolise la force, l'abondance et la prospérité.
La statue tient dans la main gauche un marteau, symbole de l'Industrie et attribut d'Héphaïstos, le dieu grec du feu et de la forge.
Appelé Vulcain par les Romains, Héphaïstos était le maître du feu souterrain, des volcans et de la métallurgie. Il forgea les armes des dieux de l'Olympe et leur érigea des palais somptueux. Il fabriqua des armures pour les humains et leur enseigna l'art de travailler le métal. Dieu artisan, démiurge et initiateur, il régnait, d'après certaines traditions, sur les Mystères des Cabires, divinités intermédiaires entre les esprits de la terre et du feu.
L'Industrie, photographiée par Charles Marville(1813-1879) en 1852. (The Metropolitan Museum of Art). On aperçoit le petit bureau où l'on devait s'acquitter du droit de péage.
Le programme iconographique du Pont du Carrousel exalte la puissance économique de la ville (Abondance et Industrie) et le caractère public de la réalisation (allégories de la Seine et de Paris) mais le monument se réfère aussi à la grandeur passée.
Les carrousels étaient des spectacles militaires équestres, originaires d'Italie, qui remplacèrent les tournois interdits en France après la disparition tragique d’Henri II.
Le roi, époux de Catherine de Médicis, fut mortellement blessé le 10 juillet 1559, lors d'une joute l'opposant au comte Gabriel de Montgomery.
La Place du Carrousel s'étend à l'ouest du Palais du Louvre. Elle préserve le souvenir du carrousel donné par Louis XIV, les 5, 6 et 7 juin 1662, pour célébrer la naissance du Dauphin.
Le mot «carrousel» fut apporté d’Italie par les armées de Charles VIII. Il dérive du latin carrus sol et de l'italien carozela qui signifie «char du soleil».
Cette huile sur toile, réalisée vers 1670 d'après une gravure d'Israël Silvestre (1621-1691) entra, en 1836, dans les collections du château de Versailles.
Un luxueux ouvrage consacré à cet opéra équestre parut en 1670. Trente sept gravures d’Israël Silvestre et de François Chauveau illustrent les textes de Charles Perrault.
(BNF, Estampes et Photographie, RES PD-10B, Folio 25V-Folio 26.)
Le carrousel des 5, 6 et 7 juin 1662 se déroula dans ce qu'on appelait à l'époque les jardins de la Grande Mademoiselle, devant 15000 personnes installées dans un amphithéâtre en bois. Une tribune monumentale fut dressée devant le pavillon central du palais des Tuileries, destinée à la reine mère Anne d’Autriche, à la reine Marie-Thérèse et aux dames de la cour. Les participants (au nombre de 1299) se divisèrent en cinq quadrilles portant les noms de puissantes nations. Le décorateur Henri de Gissey (1621-1673) réalisa pour l'occasion de nombreux costumes d'apparat.
Louis XIV, vêtu en empereur de Rome et paré d'attributs solaires, menant les cavaliers Romains.
Son écu arborait un soleil resplendissant dont l'éclat somptuaire dissipait les ténèbres.
Les Perses furent guidés par Monsieur, frère du Roi.
Monsieur exhibait un bouclier décoré d'une lune et de la devise « Uno sole minor », ce qui signifie «Seul le soleil est plus grand que moi».
Les Turcs, conduits par le prince de Condé.
Le prince arborait un croissant orné de la devise « Crescit ut ascipitur », soit «Il augmente selon qu’il est regardé».
Le duc d’Enghien dirigeant les Indiens.
Le duc portait pour emblème une planète frappée des mots « Magno de lumine lumen », soit: «Lumière qui vient d’une plus grande»…
Le duc de Guise, costumé en Roi d'Amérique.
Les cavaliers s’affrontèrent dans des courses de bagues et de têtes, mêlant jeux de précision et simulacres de combat.
Il s'agissait de saisir une bague, en plein galop, avec la pointe d'une lance et d'atteindre, avec une épée ou une lance, des têtes en papier mâché ou figurées sur une plaque de bois. Ces têtes de turc, de maure ou de Méduse cédaient parfois la place à un faquin, mannequin en paille anthropomorphe. La course de têtes fut remportée par le marquis de Bellefonds, futur Maréchal de France et la course de bagues, par le comte de Sault, héritier de la puissante lignée des Lesdiguières, Pairs de France. Le mot « pair » désignait les vassaux les plus importants du roi de France. Étymologiquement, le mot signifie « égal » du roi.
En cheminant sur les berges du fleuve, je songe à ce ballet équestre, joute de fantaisie d'une ampleur exceptionnelle, qui détermina le choix du nom de l'ouvrage et vit s'affirmer le mythe solaire de Louis XIV.
Autrefois, le Pont du Carrousel était désigné de trois façons par les Parisiens. Ils l'appelaient indifféremment Pont du Louvre, Pont des Saints-Pères et Pont du Carrousel mais en 1905, alors que s'affrontaient les partisans de la laïcité et les inconditionnels de l'église catholique, certains se mobilisèrent contre le nom "Saints-Pères". Le Conseil Municipal prit alors la décision, en 1906, de lui attribuer le patronyme de Pont du Carrousel.
Vue sur le Pont Royal et la Gare d'Orsay, à quelques encablures réelles et imaginaires...
Aimé des promeneurs et des artistes mais moins fréquenté que le Pont des Arts, le Pont du Carrousel offre une gracieuse perspective sur les bords de Seine.
L'eau y affleure avec sérénité mais ses pierres gardent en mémoire le souvenir d'un sinistre évènement. Le 1er mai 1995, trois manifestants issus du cortège du Front National, ont poussé dans la Seine Brahim Bouarram qui s'est noyé à la verticale du pont.
Le principal accusé a été condamné, le 15 mai 1998, à huit ans de prison ferme, par la Cour d'assises de Paris et le 1er mai 2003, le maire de Paris a célébré la mémoire du disparu par la pose d'une plaque commémorative.
Une cérémonie est organisée depuis, chaque année, là où le drame s'est déroulé.
Le Pont du Carrousel dans les Arts
Les ponts de Paris, les quais et les berges de la Seine ont profondément stimulé l'inspiration des artistes. A travers un florilège d'oeuvres et de sensibilités, le Pont du Carrousel dévoile sa silhouette évolutive, ses beautés classiques et contemporaines, et nous invite à voyager au fil du temps.
Chaland chargé de barils devant le Pont du Carrousel, 1841, par François-Marius Granet(1775-1849).
Dans ce paysage hivernal, surgit la silhouette fantomatique du pont qui domine la Seine gelée et se fait absorber par un épais brouillard. L'oeuvre suscite une mystérieuse impression, comme si les structures de la modernité se délitaient irrémédiablement face aux puissances de la Nature.
Le Pont du Carrousel, 1879, par Edmond Yarz (1846-1920).
Plusieurs oeuvres de cet artiste décorent la Salle des Illustres du Capitole de Toulouse, sa ville natale.
Le Pont du Carrousel, 1886, par Vincent Van Gogh(1853-1890).
Le pont fut l'un des thèmes privilégiés de l'artiste, émanation de ses recherches sur les vibrations de l'atmosphère et la poétique des éléments. Force réelle autant que mystique unissant les éléments du paysage, le pont symbolise la communication mais aussi le passage entre les âges de la vie. Cette toile est caractéristique de l'époque où Vincent rejoignit son frère Théo, galeriste à Montmartre et où il enrichit sa vision de l'art par l'exploration des techniques impressionnistes et néo-impressionnistes.
Le Louvre et le Pont du Carrousel, Effet de Nuit, 1890, par Maximilien Luce(1858-1941), peintre néo-impressionniste.
Sa touche est représentative de la technique du pointillisme, développée par Georges Seuratet Paul Signac.Elle consiste à juxtaposer des petites touches de couleurs primaires (rouge, bleu, jaune) et complémentaires (orange, violet, vert). Le regard recrée alors une alchimie subtile entre les couleurs secondaires, les ombres miroitantes et la lumière. L'artiste nous offre ici un spectacle nocturne de pure beauté, à fleur de Seine et de ciel.
Vers 1903, Pierre Bonnard (1867-1947) nous livre sa vision des lieux dans cette toile intitulée Sur le Pont du Carrousel et conservée au Los Angeles County Museum of Art.
L'artiste adorait saisir le spectacle des espaces urbains et décrire, avec une palette toute en légèreté, la vie de leurs habitants, absorbés dans leurs rêveries ou leurs activités quotidiennes, délicatement sublimées. Son oeuvre, empreinte de recueillement et de spiritualité, est représentative de l'art des Nabis, mouvement anti-académique né vers 1888 et préfigurant les recherches et les codes picturaux de l'Art Nouveau.
En 1907, Edward Hopper (1882-1967) peignit le Pont du Carrousel dans le brouillard. Le « peintre de l'Amérique profonde » fut séduit par ce pont qui exprimait la puissance industrielle de son époque et les angoisses d'un monde en pleine mutation.
De par sa position géographique privilégiée, le pont du Carrousel a « envoûté » de nombreux artistes. Le romancier Henry Miller (1891-1980) adorait y flâner, à l'orée de ses pages d'écriture. Anatole France (1844-1924) appréciait tout particulièrement les statues de Louis Petitot. Le pont apparaît dans une poésie de Rainer Maria Rilke (1875-1926) et dans les Chants de Maldoror du Comte de Lautréamont (1846-1870)...
En 1890, dans cet autoportrait-paysage intitulé Moi-même,le Douanier Rousseau (1844-1910) se représenta, avec son habituelle originalité, devant le pont du Carrousel. Les éléments de la composition (bateau au mât décoré de petits drapeaux, montgolfière, cheminées des bâtiments en arrière-plan, Tour Eiffel que l'on devine en filigrane, couple miniature au bord de l'eau) façonnent un univers empreint de féerie et d'élégante modernité.
La Senna, al mattino, da Pont du Carrousel, une oeuvre de l'artiste contemporain Paolo Frongia.
Le 24 janvier 2012, Juliette Gréco a offert à son public un album intitulé Ça se traverse et c'est beau. Elle y évoque, avec éclectisme et limpidité, les ponts de Paris, le temps qui s'écoule et la Seine au gré de ses métamorphoses. Elle s'est entourée pour l'occasion de nombreux artistes: Marc Lavoine, Mélody Gardot, Abd al Malik, Amélie Nothomb, Philippe Sollers... Cette ode aux cycles de la vie, aux émotions et aux Belles-Lettres sonne comme une croisière musicale, prélude à de fascinantes traversées...
« Rue des Saints-Pères jusqu'à la Seine
Le Pont du Carrousel serait un détour
Rendez-vous Cour Carrée avec mon amour
Dans deux minutes. Il faudrait que j'y coure
Le long du quai Malaquais jusqu'au Pont des Arts
En deux minutes, c'est impossible. Je serai en retard
Juliette est une diva, Juliette n'attendra pas
il manque un pont à Paris. Le Pont Oblique,
Qui relie la Cour Carrée à la rue des Saints-Pères.
Pourquoi Diable aurait-on inventé la Seine,
Si ce n'est pour qu'elle coule sous des ponts ? » (Amélie Nothomb).
Sources et Bibliographie
Corinne DOUCET: Les académies d'art équestre dans la France d'Ancien Régime. 2007.
Henry-Louis DUBLY: Les ponts de Paris. Paris: Veyrier, 1973.
Charles DUPLOMB: Histoire générale des ponts de Paris. Paris, 1911.
R. FILIPPI: Le nouveau pont du Carrousel, à Paris, dans "La Technique des Travaux", mai 1937.
Marc GAILLARD: Quais et Ponts de Paris. Amiens: Martelle Editions, 1996; p. 205.
Jacques LE LONG et Charles M. FEVRET DE FONTETTE: Bibliothèque Historique de la France. 1775.
Bernard MARREY: Les ponts modernes, vingtième siècle. Paris: Picard, 1995; p. 279.
Serge MONTENS: Les plus beaux ponts de France. Paris, Bonneton, 2001; p. 199.
Pylônes d'éclairage du pont du Carrousel à Paris, dans "Ossature métallique", décembre 1949, v. 14.
Tags : pont, carrousel, paris, seine, fut
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Commentaires
75Noctambule échaufféDimanche 3 Mars 2013 à 03:10Je te remercie Plume, c'est une joie de lire tes mots et de savoir que tu as apprécié la promenade. Je te souhaite une belle nuit, gros bisous
Cendrine
Bonsoir Line,
Ces sculptures sont magnifiques, je ne me lasse pas de les regarder dès que je flâne par là-bas...
Merci de ta visite, je te souhaite une excellente soirée.
Bisous
Cendrine
Coucou Cendrine, je passe te faire plein de bisous avant de partir au travail et te souhaite une belle journée. Prends bien soin de toi. Désolée mais je suis un peu speed aujourd'hui...gros bisous!
Un très bel article avec de belles photos et que de recherches,merci pour ce partage
Bonne journée Cendrine
Quand tu traites un sujet tu le traites à fond je suis admirative, tout le temps que cela doit te demander en recherche. Bravo. Tu vois je crois que je préférais le premier pont avec sa structure métallique. Bises
Un grand merci Fraizy! Mais surtout rien ne presse, le plus important est que tu ailles bien. J'espère que c'est le cas...
Je te souhaite une excellente soirée, bisous!
Cendrine
Merci beaucoup Assia, tu me fais très plaisir! Je te souhaite une belle soirée, gros bisous!
Cendrine
Merci beaucoup chère Gut!
Ces anciennes photos viennent, pour un grand nombre, de mes archives collectées lors de mon Doctorat d'Histoire de l'Art et pour le reste, je farfouille en effet, chez les bouquinistes, dans les bases de données des musées et des antiquaires, etc... Les photos actuelles sont les miennes. J'adore faire des photos, c'est une vraie passion. Je n'ai pas de matériel dernier cri, j'arrive à faire de belles photos avec un appareil qui n'est pas tout jeune...
Je te remercie pour ton enthousiasme et je te souhaite une belle nuit. Gros bisous.
Cendrine
Encore un superbe article très instructif comme d'habitude. J'adore ce que tu fais. Je termine mes examens médicaux car j'ai été un peu bousculée ces derniers temps et je fais l'article que j'ai promis sur ton blog. Bises et bonne soirée et très heureuse d'avoir pu te lire.
Un immense merci Timilo! Le compliment m'enchante...
Je te souhaite une excellente soirée
Bisous
Cendrine
bisous Cendrine
je suis revenue m'imprénier de ton atmosphère (jadore les sculptures)
et ce soir je prends mon temps pour bien relire
bisous
Bonjour Cendrine, ton article est superbe et est digne de figurer dans un manuel scolaire ! j'ai adoré ma douce, comme a chaque fois que je te lis ! Prends soin de toi
J'ai reçu ma soeur Alice, ce weekend, l'autre lui étant
resté comme un pur moment de vacances...
Farniente, piscine, papotage... Très belle semaine a toi, Bisous >
Un pont que je connaissais si peu.J ai beaucoup admiré la façon dont certains grands peintres l ont représenté en particulier le douanier Rousseau, comment rester insensible devant la naiveté de sa toile. Je ne connaissais pas le peintre Paolo frongia qui a une maniére bien paticuliére de représenter Paris, on se croirait dans le grand nord. Le grand livre sur la féte donnée a Paris Paris par les grands du monde au temps de Louis XIV est aussi interressant et tellement bien enlumine par des dessins. Les turcs emmenés par le Prince de condé sont fort beaux, ainsi que Monsieur sur son cheval.
Bonne soirée Latil
C'est un très bel article bien complet que j'ai pris plaisir à lire !
Je te souhaite une très belle journée en ce lundi,
Bisous, DoriaCoucou Cendrien,
je prends beaucoup de plaisir de te lire a chaque fois , même si ce sont des coins que je connais et visiter déja mais je les vois différement et les apprecie avec leurs histoire! Bravo pour tout ce travail et merci de nous faire visiter Paris a travers tes belles photos:)Gros bisous
Agréable semaine
Merci beaucoup, Noctambule échauffé! Je vous souhaite de pouvoir trouver un peu de fraîcheur...
Excellente journée
Cendrine
Ta plume est toujours aussi vivante ma Cendrine ! Bel article sur ce beau pont du carroussel ! Je ne sais pas où tu trouves ces anciennes photos de Paris, sur les Quais de Seine dans les bouquinistes ? elles sont intéressantes à voir, mon Dieu quels changements !! Bravo à toi. Gros bisous
Cela devrait aller mieux aujourd'hui. Quoique les 30° étaient présents au lever acomme au coucher. Les douches, heureusement, nous en avons !
Prends bien soin de toi.
Bises
A Paris au mois d'Août ... une bien agréable promenade découverte guidée, comme toujours, par l'amoureuse de ce patrimoine et le poète qui par ses mots fait vibrer l'histoire et notre regard sur ces trésors que tu nous sommes invités à admirer .
Merci Cendrine, bonne semaine et bisous, Plume .
Chère Cendrine, c'est sous ta plume féérique que je découvre l'histoire de cet ouvrage exceptionnel. Je connaisais le Pont du Carrousel mais je ne soupçonnais pas la richesse qui se cachait derrière sa construction. C'est un plaisir de te suivre sur les traces du passé de ce pont. Grâce à ton travail j'ai l'impression d'être une exploratrice en quête de trésors, et c'est le cas. J'aime beaucoup ces photos et gravures d'autrefois, qui, juxtaposées à celles d'aujourd'hui, permettent d'apprécier l'évolution de ce pont au fil du temps. Un merveilleux travail de recherche dont je me délecte une fois de plus.
Merci ma Cendrine, je t'embrasse bien affectueusement, et je pense bien à toi, j'espère que tu le sais. Bisous doux et ensoleillés!
il me tarde ton prochain article,je connais Paris et j'adore tes photos,très bon lundi,belle journée,bises
Merci de nous faire découvrir ce pont de Paris assez méconnu. J'ai lu le début de l'article très intéressant juqu'au rajoût des statues. Je continuerai ma lecture demain. Ma maison est ancienne et il fait toujours bon à l'intérieur même s'il fait chaud dehors mais aujourd'hui je travaille et mon bureau n'est pas climatisé. Bises
Je prends le temps de relire ton article
J'aime beaucoup ,
Tu es CENDRINE la plus jolie et érudite ambassadrice de Paris
Bravo!!!
Douce journée
Bisous
timilo
Bonjour Cendrine,
Encore 22°C cette nuit à Paris, quelle galère !! je ne peux pas dormir, ça fait deux fois que je me lève, bon on verra ça dans une petite heure. J'ai relu ton article, franchement tu fais du bon travail !
Passe une bonne journée, amitiés, Véronique.
Bonsoir Albiréo,
Je te remercie profondément, tes compliments me vont droit au coeur!
Il m'a fallu trois semaines pour écrire cet article, les recherches et les vérifications ont été ardues. Je suis revenue faire des photos plusieurs fois. J'ai adoré l'écrire mais je suis ravie qu'il soit terminé...
Merci de ta visite, je t'envoie de gros bisous
Cendrine
Bonsoir Gérard,
Je vous remercie chaleureusement, sans faire de jeu de mots en raison de la température!
Ces photos anciennes sont remarquables. J'ai été ravie de les trouver et de les partager dans cet article. Elles ont tant de charme et de poésie...
Bonne nuit, bises
Cendrine
Quelle magnifique promenade, je me demande si tous les ponts de paris ont une telle histoire et je me doute que sous ta plume, oui, certainement !
C'est un bonheur de te lire chère Cendrine !
Un peu avant il y a la maison Sennelier, que j'aime beaucoup !
Amitiés d'Isa-Marie, admirative, aussi...
Cher Claude,
Ce sont tes mots qui me réjouissent et qui m'enchantent! Ils sont de précieux cadeaux d'amitié, je t'en remercie profondément.
Je suis très heureuse que l'histoire de ce pont t'ait ainsi fait plaisir. Je te souhaite une douce soirée, cependant bien chaude, et je t'envoie de gros bisous.
Cendrine
Coucou,
Après une semaine d'absence, je reviens doucement... De belles recettes que je découvre !!! Bisous, PatriciaQuel travail de recherche fabuleux sur l'histoire de ce pont Carrousel, les photos anciennes ont toujours eux pour moi un grand intérêt historique. Celle du pont en 1879 a un air de Paris plage avant l'heure. Bonne soirée.
Coucou Annick,
Je suis ravie que tu sois revenue lire mes écrits. La chaleur est si intense que je n'ai pas trouvé le sommeil avant six heures du matin justement... J'ai bien pensé à toi et à Pépita qui doit avoir si chaud avec sa belle fourrure...
Merci beaucoup de ta visite. J'espère que nous parviendrons à respirer un peu.
Gros bisous
Cendrine
Bonsoir Gérard,
Vous me faites très plaisir, je peux vous l'assurer!
Chaque article me demande beaucoup de travail mais celui-ci a été très ardu. Je dois dire que j'étais ravie de l'avoir terminé, même si j'ai pris beaucoup de plaisir à l'écrire. J'ai repris des photos juste avant le début de la canicule, heureusement!
Je vous remercie de votre visite, c'est toujours une joie de vous retrouver!
Bises
Cendrine
Je te remercie Brigitte! Je suis ravie de ta visite!
Ce pont a vraiment une histoire passionnante. Les anciennes photographies m'ont beaucoup impressionnée.
J'essaye, comme tout le monde, de trouver un peu de fraîcheur mais c'est une denrée plus que rare... Merci de penser à moi.
J'espère que tu vas bien. Gros bisous
Cendrine
Bonsoir Angie,
Je te remercie, c'est très gentil! Quand je regarde ce pont, je me dis qu'il a connu tant de choses... Il m'a inspirée! Merci de ta visite, je te souhaite une bonne soirée.
Gros bisous
Cendrine
passe une douce fin de we
bisous et a demain ... porte toi et que ta semaine commence bien et merci de ta fidélité
Je viens de m'instruire sur les pont de Paris c'est très riche en renseignements
Merci
Bonne fin de journée
Bises
Bonjour Cendrine
ton article est bien complet
comme quoi l'histoire de ces ouvrages imposants se lit avec beaucoup de plaisir
gros bisous d'Angie
Bonjour Cendrine
ton article est bien complet! comme quoi ces ouvrages impressinants ont aussi des histoires que l'on découvre avec plaisir.
gros bisous d'Angie
Merci de nous avoir fait découvrir ce pont parisien injustement méconnu. Votre plus grande réussite c'est de nous donner envie d'aller y voir de plus près .... les statues, l'éclairage ect ..... c'est vraiment "bluffant" de voir la masse d'informations que vous pouvez réunir au sujet d'un "simple pont".
bises
gérard
Dormir ? Oui, de cinq à midi. J'ai fait ma nuit. A trois heures, à la recherche d'un peu de fraîcheur, j'ai nettoyé les plantes du balcon. En vain, pas un souffle.
Et toi, je suppose que tu n'as pas pu beaucoup dormir. Toujours en galère ?
Gros bisous et à bientôt !
Bonjour Cendrine,
Merci pour cet article passionnant ! C'est un bonheur de découvrir Paris en suivant ta plume érudite.
Je suis admirative du travail de recherche, de la mise en page, de tout quoi !
Gros bisous, passe une bonne journée
Albiréo
bonjour Cendrine,c'est superbe toutes ces photos,peut tu me donner le lien de ton blog pour que je puisse le mettre sur ma page d'acceuil,très bon dimanche,bises
coucou cendrine
tes post toujours si bien détailler et expliquer bravo
moi je ne dors plus depuis plusieur semaine trois heure en tout par nuit
je suis crever
la je part chez mon oncle alors que avec cette chaleur j'aimerai rester chez moi mais je lui ait promit que je viendrait alors pas le choix
bon dimanche mon amie gros bisous
les cornes d'abondance..résonne du son de ce documentaire exceptionnellement beau sur ce pont du caroussel et la richesse architecturale de son environnement....plein les yeux et plein la tête..;voilà un excellent moment passé grâce à cette ouvrage documenté par la fée de paris...je suis ravi et conquis...c'est toujours un bonheur que de s'enrichir par tes ouvrages qui chaque fois sont tous plus beaux les uns que les autres....je suis admiratif du travail réalisé par toi...merci...douce journée.....bisessssssssssssssssssssssssss
claudeles gravures des chevaux sont superbes !!!
allez courage demain il fait deja moins chaud
gros bisous
Quel merveilleux article! Tu m'apprends maintes choses sur ta belle ville.
Me voici encore plus riche. Ce pont est une bien belle oeuvre; je ne m'imaginais pas datait d'aussi longtemps ni qu'il fut reconstruit autant de fois.
Je lis que tu es encore souffrante! Et cette chaleur n'arrange rien !
Courage ma chère Cendine.
Je t'embnrasse bien affectueusement,
Brigitte
Coucou Cendrine
C'est avec grand plaisir que je visite mes blogs amis , je suis passionné par ton blog , il est si riche et si bien construit , moi qui ne connait guère Paris , grâce à lui je me ballade dans ses rues
J'espère que tu vas bien
A demain
BISOUS
timilo
Levée à 6h ! pour profiter des 20° extérieur. Mêmes températures qu'à Paris évidemment, nous sommes voisines , avec 27° dans l'appartement ! difficile de fermer l'oeil. Pépita tout pareil ! Bon courage pour ce dimanche certainement toujours aussi chaud. Un temps à revenir voir et lire tes articles
Gros bisous
Que de choses encore, j'ai apprises ! ll me faut absolument tes billets pour m'éviter les longues séances en bibliothèque. Je vais être bien prise dans les semaines à venir mais il faut absolument que je dégage du temps pour que l'on se voie.
Bisous
Cher Noctamplume,
Je joue toujours les créatures nocturnes, en version cramoisie par la chaleur et la fièvre!!! Mais du coup, je suis ravie de lire ton article au creux de la nuit et je te remercie pour ce chaleureux message, gorgé de spiritualité, de magie et de finesse.
J'éprouve une attirance particulière pour ce pont qui est beaucoup moins fréquenté que le Pont des Arts et le Pont-Neuf mais dont l'histoire est palpitante...
Très heureuse de ta visite, je te souhaite une excellente nuit et je t'envoie de gros bisous bien affectueux!
Cendrine
Bonsoir chère Cendrine
En espérant qu'à cette heure-ci tu dors comme un bébé, je viens à pas feutrés découvrir ton charmant univers et m'enrichir grâce à tes documentations pertinentes sur le patrimoine immensément riche de notre belle et vieille capitale.
J'adore pénétrer dans son histoire au fil de la magie de tes mots porteurs, à l'image du courant de la Seine qui a transporté et fait naître tant de créations.
Je me suis arrêté à la gardienne intemporelle des secrets de l'eau qui à mes yeux représentent un symbole non négligeable des secrets de la vie et du transport des idées et de la communication entre les hommes.
Ne voulant pas trop fatiguer ma vue, j'aurais pretexte à revenir dans ce cocon d'érudition bercé par la ferveur de tes pensées.
Je t'embrasse bien affectueusement
Amitié
Le Noctamplume
Bonjour Cendrine,
Je connais ce pont je suis passée devant au moins mille fois, mais je ne savais pas tout ça !! Merci pour cet excellent article, quel boulot ça a du te demander !! que de recherches rien que pour nous, crois moi j'apprécie ! je ne regarderais plus ce pont de la même manière grâce à toi !! Un jour j'en ferais moi aussi un article, mais bien sûr pas comme le tien. J'adore les vieilles photos et gravures, c'est super !
Bonne nuit Cendrine, amitiés, Véronique.
Merci beaucoup chère Line,
Les lieux me fascinent et ce pont, désormais beaucoup moins visité que le Pont des Arts et le Pont-Neuf, me semblait justement mériter une mise en lumière. Amoureuse de sa beauté et de ces statues gardiennes qui dominent les rives du fleuve. j'ai été ravie de le présenter à travers mes photos et les photos anciennes qui ne peuvent que nous rendre humbles face à la magie qui en émane.
Gros bisous, je te remercie, bonne nuit
Cendrine
Merci beaucoup Carole, je suis particulièrement touchée par la finesse de ton commentaire.
L'histoire de ce pont est vraiment passionnante. Comme il unit les rives du fleuve, il unit les pans de notre si riche Histoire et nous offre un promontoire sur le paysage, l'art et le temps.
Amitiés ravies
Cendrine
Merci beaucoup, chère Anniclick!
J'ai pensé à toi quand j'ai trouvé la photo, je t'assure! Je te remercie pour ce délicieux message qui me fait très plaisir!
Ce pont a une fabuleuse histoire à raconter. Il m'a passionnée...
J'espère que nous parviendrons à dormir avec cette chaleur!!! Encore 28° à 1h18 du matin!
Comment va la jolie Pépita avec cette température?
Gros bisous affectueux
Cendrine
Merci chère Ana!
Oui, c'est impressionnant quand on songe aux moyens de l'époque mais la volonté des hommes est impressionnante aussi!
Je te souhaite une douce et reposante nuit en dépit de la chaleur.
Gros bisous
Cendrine
Merci beaucoup Jill, j'ai été séduite par l'histoire de ce pont que j'ai voulu conter pas à pas...
Je suis très heureuse de ta visite.
Paris au fil de l'eau est une merveille à explorer.
J'espère que nous parviendrons à dormir avec cette chaleur...
Gros bisous volcaniques!!!
Cendrine
Cher Promeneur75,
Votre fidélité m'honore et me réjouit! Ce pont a une si riche histoire... J'ai beaucoup aimé écrire cet article et pourtant les recherches ont été moins évidentes que pour d'autres reportages mais si le résultat vous a plu j'en suis ravie!
Je vous remercie et vous souhaite, de tout coeur, une excellente nuit...
Cendrine
Bonsoir,
Merci pour votre commentaire que je viens de lire à l'instant. Je me demande comment vous arrivez à gérer une telle pathologie car ça m'a l'air d'une extrême complexité et en tout cas plus pénible que mes problèmes liés aux anti-coagulants, car à condition de surveillé de façon régulière le taux d'inr et ne pas tomber ou se blesser, ça peut aller, il n'y a pas d'effets secondaire lié au médicament Préviscan, mais bon il faut éviter de manger du choux par exemple car ça peut modifier l'équilibre du dosage de l'inr. Pour répondre à votre question au sujet des bas de contention, eh bien lorsqu'il fait très chaud et que je fais du vélo ou de la marche je transpire davantage et c'est quelque peu désagréable, mais bon j'ai retenu la leçon, car il y a quelques années lorsque ma phlébologue m'avait prescrit les bas de contention je ne les mettais pratiquement jamais et j'ai senti ma douleur lorsque j'ai eu une thrombose enfin je devrais dire trois car j'en ai eu trois en tout et je peux vous dire que ça fait très très mal et que ça peut être fatal, car lorsqu'un caillot se forme il peut aller se loger dans les poumons ou au coeur et c'est l'etouffement et la mort ce qui a failli m'arriver lors de ma première thrombose que je me suis diagnostiquer moi-même et heureusement que mon médecin qui connaît mon sérieux m'a cru sinon c'était fichu car lorsque j'ai passé le doppler le caillot était rendu au niveau de l'aine et s'il était monté plus haut je vous laisse deviner ce qui me serait arrivé! Je pense que sur Paris il doit faire très chaud car ma correspondante Véronique d'après ce qu'elle m'a dit dans un de ces commentaires n'a pas voulu sortir hier pour aller faire des photos tellement il faisait chaud sur la Capitale et en plus elle a des soucis respiratoire donc elle a eu raison de ne pas prendre de risques. Bon i lest pratiquement une heure du matin je ne vais pas tarder à aller me coucher bien que je regarde des rediffusions de l'émission de Laurent Ruquier en ce moment à la télévision, mais bon je vais prendre un somnifère comme je le fais de temps en temps afin de récupérer un peu de sommeil du fait que je me couche tard. Je vous souhaite une bonne nuit ainsi qu'une bonne journée de demain, et merci pour votre fidélité à mon blog.
Chère Cendrine
tout d'abord je te croyais en vacances mais en lisant je vois que tu es déjà revenue,
visiter la Capitale en ta compagnie doit valoir une foule d'anecdotes et tu aimes cette ville donc tu ferais un bon guide, tes photos et tes documents sont à ton image , parlant et agréable, tu connais tous les secrets de cette grande et magnifique Capitale.
Tu aimes l'art ......... et la beauté , là nous avons des points communs
ton article est complet, une mine d'informations
bon dimanche
bisous et bonne soirée
Bonsoir Cendrine, tu ne fais pas les choses à moitié quand tu publies un article... c'est bien ! J'ai eu la joie de faire du bateau/mouche sur la Seine il y a quelques 4, 5 ans en arrière... J'ai beaucoup apprécier découvrir ainsi Paris ! Merci à toi également... Je te souhaite la bonne nuit et le bon dimanche Cendrine, ici il fait très chaud... pas facile pour trouver le sommeil.... Je t'embrasse, jill
Merci, Cendrine, pour cet article en tous points remarquable ! En retraçant l'histoire de ce pont tu nous présentes en fait une histoire des moeurs, un fragment d'histoire de France.
Souvent, en te lisant, je regrette de ne pas me rendre plus souvent à Paris. Mais tes photos splendides rafraîchissent un peu ma mémoire défaillante.
Amitiés
Quel ouvrage exceptionnel.... Quand on pense qu'à l'époque il n'y avait pas tant de matériel pour faciliter le gros oeuvre.... Bonne soirée ma Cendrine, bises....
Voilà qui est mille fois plus passionnant que la télé ou un livre ! j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre la belle aventure de ce magnifique pont. Je ne savais évidemment rien de tout cela !
J'aime les photos d'"avant" (mais çà tu le sais !), c'est du travail de recherche, mais c'est très intéressant de comparer.
Merci beaucoup Cendrine, mais je reviendrai relire ton article. Je vais devenir savante grâce à toi
Gros bisous extrêmement chaud, 31° encore à cette heure !!!
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Quel exposé ! Encore une fois je veins d'apprendre des choses grâce à vous . Je connaissais le pont du Carrousel et en en ignorant cependant tout de l'histoire. Merci donc de cet éclairage sur ce manège extraordinaire du roi soleil . Et merci aussi sur un plan contemporain de révéler la fonction de ces immenses piliers de part et d'autre du pont . Savoir qu'il s'agit là de lampadaires ... et qui plus est télescopiques ... Étonnant . Tout autant surprenant et émouvant que cette merveilleuse photo du 19 em siècle .
Encore et toujours fidèlement votre lecteur .