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Les secrets du Pont Neuf
Le samedi 31 mai 1578, Henri III, rongé par le chagrin, posa la première pierre du Pont-Neuf.
En tenue de grand deuil, le roi pleurait la mort de Quélus et de Maugiron, deux de ses favoris tués en duel. Il avait emprunté une barque luxueusement parée pour rejoindre son épouse, Louise de Vaudémont et la reine mère, Catherine de Médicis, qui l'attendaient parmi les dignitaires de la Cour.
Les travaux amorcés ce jour-là, sur la requête de Pierre Lhuillier, le prévôt des marchands, furent interrompus pendant les guerres de religion. Ils reprirent en 1599, sous le règne d'Henri IV, et furent achevés le 8 juillet 1606. Ils donnèrent naissance au plus grand pont de Paris, le plus ancien aussi.
Le Pont-Neuf est constitué de deux ponts indépendants qui se réunissent au niveau d'un terre-plein, formant la pointe de l'île du Palais. Le premier pont se situe sur le grand bras de la Seine et comporte sept arches. L'autre pont, doté de cinq arches, domine le petit bras du fleuve.
Avant la construction du Pont-Neuf, les ponts de la Cité étaient vétustes et encombrés de maisons qui formaient des alignements sombres et monotones. En 1556, il fut question de créer un pont entre le Louvre et l'Hôtel de Nesle (attenant à la célèbre tour du même nom) mais le projet n'aboutit pas avant l'année 1578 où il fallut absolument détourner la circulation qui encombrait les ponts au Change et Notre-Dame.
Conçu par Baptiste Androuet du Cerceau et Pierre des Iles, le Pont-Neuf connut de prestigieux « maîtres maçons » comme Thibault Métezeau, Guillaume Marchand et les Frères Petit.
Il se caractérisa dès le départ par sa modernité: des arches en pierre de taille, une large chaussée, des trottoirs surélevés de plusieurs marches pour assurer la protection des piétons; des demi-lunes, espaces semi-circulaires rythmant l'architecture...
Les flancs du pont sont ornés de 381 mascarons aux expressions grotesques, souvent truculentes et parfois même inquiétantes. Mais ces visages de pierre, qui représentent des satyres, des sylvains et des divinités fluviales, ont un charme bien caractéristique. Les masques originaux ont été attribués à Germain Pilon, l'un des maîtres sculpteurs de la Renaissance française.
Germain Pilon en a probablement réalisé une vingtaine. Les autres ont vu le jour sous les ciseaux de différents sculpteurs. Les musées de Cluny et Carnavalet conservent une partie des mascarons primitifs.
Entre 1853 et 1855, l'architecte Victor Baltard, le créateur des célèbres Halles, installa sur la promenade des candélabres décorés de têtes du dieu Neptune alternant avec des dauphins fantastiques.
Ce répertoire décoratif a été conçu pour s'harmoniser avec l'architecture de la Place Dauphine et de la rue Dauphine, située dans le prolongement du Pont-Neuf.
La Place Dauphine fut nommée ainsi en l'honneur du Dauphin, le futur Louis XIII.
La Place Dauphine
En 1763, le lieutenant général de police, Antoine de Sartine fit installer les premiers réverbères rue Dauphine mais dans le premier quart du XVIIe siècle, c'était autour d'une figure populaire et monarchique que la foule se pressait.
La statue équestre d'Henri IV
Le roi de bronze qui contemple les splendeurs de la Cité eut une histoire bien mouvementée.
En 1604, la reine Marie de Médicis souhaita faire ériger une effigie équestre de son époux à l'endroit où les deux ponts se réunissaient. Le projet fut confié, par l'entremise de son oncle Ferdinand Ier, au sculpteur Jean de Bologne. L'artiste avait créé la statue équestre de Cosme Ier, grand-duc de Toscane et aïeul de Marie.
Après la mort de Jean de Bologne en 1608, la réalisation de la statue fut confiée à Pietro Tacca. Le cheval et son cavalier furent achevés en 1612. Ils quittèrent Florence par la mer mais le navire qui les transportait fit naufrage. Il fallut repêcher les caisses et les faire transporter, par des moyens terrestres et maritimes, jusqu'à Paris. La première pierre du socle fut installée par Louis XIII, le 2 juin 1614.
Du piédestal de la statue, il subsiste au Louvre quatre figures de captifs enchaînés, fondus en 1618 par Francesco Bordoni d'après les modèles de son beau-père, Pierre Francqueville.
La statue ne fut pas épargnée par la Révolution. En 1790, un bureau d'enrôlements volontaires fut installé au pied des marches et en 1792, le cavalier de bronze fut brisé en plusieurs morceaux. Certains furent fondus, d'autres jetés à la Seine. Quelques fragments ont été conservés. Ils se trouvent aujourd'hui au Louvre. En lieu et place d'Henri IV, les Révolutionnaires dressèrent les « Tables des Droits de l'Homme ».
A la Restauration, le Conseil Municipal décida de faire reconstruire le monument. Pour célébrer l'entrée de Louis XVIII à Paris, le 3 mai 1814, une statue en plâtre, réalisée par le sculpteur Henri Roguier, fut installée sur le pont. On lisait sur le socle: « Le retour de Louis fait revivre Henri ».
La statue actuelle fut réalisée par François Lemot (1772-1827). Henri IV se présente en armure, la tête ceinte d'une couronne de laurier. Il brandit un sceptre à fleur de lys et chevauche un puissant destrier. Le piédestal est décoré de deux bas-reliefs historiés. Du côté sud, Henri IV fait entrer des vivres dans Paris assiégé.
Du côté nord, le roi vainqueur proclame la paix sur le seuil de Notre-Dame.
L'érection de la nouvelle statue.
Le 25 août 1818, une foule haletante se pressa sur le Pont-Neuf pour assister à l'inauguration du cavalier de bronze, fondateur de la lignée des Bourbon, par son héritier, le roi Louis XVIII.
L'inauguration, par Hippolyte Lecomte.
En 2004, la statue, érodée par les intempéries, a révélé, au cours de sa restauration, différents objets, contenus dans des boîtes. Les restaurateurs y ont découvert des médailles gravées de l'époque de Louis XVIII, une édition richement ornée de la Henriade de Voltaire, des procès-verbaux, la Charte Constitutionnelle et bien d'autres « secrets » historiques. Certains chroniqueurs ont relaté l'existence d'une petite statue de Napoléon en or dans le bras levé du cavalier ou d'une figurine en bronze dans la patte droite du cheval.
Des pamphlets anti-monarchiques ont aussi été retrouvés dans le ventre du cheval.
En empruntant, derrière la statue, ces escaliers de pierre assez raides, on découvre un lieu plus « intime » qui avance sur l'eau, en direction du Pont des Arts et du Louvre.
Le square du Vert Galant
Un lundi de février, une atmosphère fantomatique... le lieu est déserté mais la promenade est fort agréable.
Jusqu'à la construction du Pont-Neuf, l'île de la Cité s'achevait par le Jardin du Roi (actuelle Place Dauphine). Cette « pointe » fut créée par la réunion de trois îlots: l'île du Patriarche ou île Bussy, l'île de la Gourdaine puis de la Monnaie (un moulin y utilisait l'énergie hydraulique pour battre la Monnaie Royale) et l'île aux Juifs, aux Treilles ou aux Bureau (du nom de Hugues Bureau au XVe siècle).
Une plaque enchâssée dans la pierre du pont « ressuscite » une figure majeure de l'Histoire de France, Jacques de Molay, le dernier grand-maître des Templiers,
Le 11 ou le 18 mars 1314, Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay, le précepteur des Templiers de Normandie, furent brûlés vifs, dans l'île de la Cité, en face du quai des Augustins.
(Gravure d'Auguste Maquet)
Sous l'Empire, Napoléon projeta de construire, à cet emplacement, un obélisque « à la gloire du peuple français ». Les fondations du terre-plein furent alors consolidées, avec de nombreuses pierres provenant de la Bastille, mais le monument ne vit jamais le jour.
Le square fut créé en 1836. Jusqu'en 1879, il abrita un café-concert et fut cédé par l'État, pour un franc symbolique, à la ville de Paris, en 1884.
Le long du petit bras du fleuve, laissons voguer nos regards sur les moirures de l'eau. Les bateaux amarrés sont une invitation au voyage...
Les facétieux mascarons se laissent admirer à loisir.
De grandes oreilles, des cornes, des expressions outrancières, des trognes de fantaisie, ils s'inscrivent dans une longue tradition de têtes décorées venues d'Italie.
Les masques et les visages de pierre sont dotés de vertus magiques depuis l'Antiquité. Ils ont pour vocation de repousser les forces maléfiques et d'attirer la prospérité. Ils se présentent comme les génies du lieu, les divinités protectrices de la cité.
Tiens, c'est moi avec mon « éternelle » écharpe rouge et mon appareil photo!!! J'étais encore en train d'imaginer que les mascarons me racontaient l'histoire du Pont-Neuf...
Ce monde grotesque et fantastique nous invite à traverser le temps pour découvrir l'atmosphère qui régnait autrefois sur le pont. Ce lieu très animé était investi, pendant la journée, par une foule bruyante et pittoresque mais la nuit, toute personne qui tenait à la vie évitait de s'y promener...
Les tire-laine et les coupeurs de bourses évoluaient parmi le « beau monde » et les « petites gens », les vendeurs ambulants et les bretteurs qui allaient s'affronter sur la Place Dauphine toute proche.
Dès que le pont fut terminé, des boutiques portatives s'implantèrent sur les trottoirs ou « banquettes » qui bordaient les demi-lunes. On trouvait des bouquinistes et des marchands d'encre, des merciers, des fruitiers, des confiseurs, des tondeurs de chiens, des cireurs de bottes, des cuisiniers... De gros beignets de pommes, appelés « beignets du Pont-Neuf », étaient particulièrement appréciés.
En 1756, le lieutenant de police ordonna la suppression de ces boutiques mais elles réapparurent, sous le règne de Louis XVI, à l'intérieur des demi-lunes. Elles n'étaient plus en bois mais en pierre. Elles disparurent définitivement en 1855.
Les mendiants se précipitaient, depuis la Cour des Miracles, sur les portières des carrosses.
Les « arracheurs de dents » du Pont-Neuf étaient célèbres dans tout le royaume mais leur rôle ne se cantonnait pas seulement à « tirer les quenottes ». Habiles bonimenteurs, ils vendaient toutes sortes d'objets, des prestations étranges et des remèdes miracles.
Le Théâtre de Mondor et de Tabarin
Antoine Girard (1584-1626), dit Tabarin, était un célèbre bateleur et comédien de l'époque de Henri IV. Philippe Girard, son frère, interprétait le rôle de Mondor, le maître du valet Tabarin.
Les deux frères exerçaient leurs talents sur les tréteaux de la Place Dauphine et sur le Pont-Neuf.
Vêtu d'un « tabar », un manteau qui s'attachait à la hauteur des manches, d'un pantalon de toile blanche et coiffé d'un feutre imposant, Tabarin haranguait les passants. Il se livrait à des « tabarinades », des dialogues philosophiques au ton très incisif. Il vendait aussi des remèdes contre les brûlures, les crevasses, les maux de dents et des baumes de « charlatan ».
Il prétendait que son chapeau lui avait été offert par le dieu Saturne, à la condition de ne jamais le vendre ou le donner.
Les éditions des farces de Tabarin connurent un franc succès et de nombreuses publications entre 1622 et 1634. Ce théâtre baroque exerça une vive influence sur les oeuvres de Molière et de la Fontaine.
Les marchands d'orviétan (gravure du XVIIe siècle).
L'orviétan était un électuaire conçu en Toscane par un certain Lupi d'Orviéto, d'après une vieille recette attribuée au roi Mithridate. Il était réputé soigner la peste, les morsures d'animaux, les inflammations, les ulcères, neutraliser les poisons et le venin de serpent...
La Pompe de la Samaritaine
En 1608, la pompe de la Samaritaine fut érigée, par l'ingénieur flamand Jean Lintlaer, sur la deuxième arche du pont à partir de la rive droite. Il s'agissait « d'une grande maison à pans de bois, portée sur d'énormes poutres, sous lesquelles tournaient deux immenses roues de moulins. L'édifice avait deux étages, plus un grand toit aigu à deux rangs de lucarnes. » Sa façade était décorée d'un bas-relief en bronze qui figurait le Christ et la Samaritaine. Une magnifique horloge, ornée d'un soleil, d'une lune et d'un Zodiaque, et un carillon de clochettes se situaient au-dessus. Cette « machine » fort ingénieuse alimentait en eau le Louvre et les Tuileries.
Sur cette toile de Nicolas-Jean-Baptiste Raguenet, peinte en 1777, on aperçoit le bâtiment de la Samaritaine reconstruit en 1712, sur les plans de l'architecte Robert de Cotte.
L'ensemble sera malheureusement détruit en 1813.
La Samaritaine, véritable « institution » parisienne, fermée pour travaux depuis plusieurs années, fut fondée en 1869 par Ernest Cognacq et aménagé par son épouse, Marie-Louise Jaÿ, ancienne première vendeuse au rayon « costumes » du Bon Marché. En 1900, naquirent les « Grands Magasins de la Samaritaine ».Ils feront l'objet d'un prochain article...
Le Pont-Neuf avant la construction de la Samaritaine.
(Image trouvée dans l'ouvrage Promenades dans le Paris disparu.)
Je voudrais clore cette promenade en « ressuscitant » quelques expressions d'antan associées au Pont-Neuf.
Un « pont-neuf » était une chanson populaire, satirique et humoristique.
Dans le tumulte constant, on venait « faire sa cour au roi de bronze », c'est à dire se chauffer au soleil, jouir de la lumière et de l'ambiance locale.
« Être solide comme le Pont-Neuf » signifiait être en bonne santé, rempli de vigueur.
« C'est connu comme le Pont-Neuf! »: l'expression se passe de commentaire.
« Chanter un pont-neuf » signifiait dire ou chanter un lieu commun.
Le monde « moderne » a aussi été inspiré par le Pont-Neuf.
Un clin d'oeil... le pont empaqueté dans son intégralité par l'artiste Christo.
Henri IV, transformé en Chevalier Jedi par Jean-Charles de Castelbajac, en 2010.
Le sceptre fleurdelysé est devenu sabre laser...
Le Pont-Neuf impressionne par sa puissance et sa modernité. Il jaillit, dans le paysage urbain, tel une bête moyennâgeuse, mais il résulte d'une vision nouvelle. A l'époque d'Henri IV, son architecture prit en compte la notion « d'espace piétonnier », offrit aux passants une vue dégagée sur le fleuve et brisa l'uniformité à laquelle les parisiens étaient habitués. En rompant avec les « codes » existants, il institua une autre manière de circuler.
Quant à son décor, il n'a cessé de stimuler l'imagination des artistes...
Bibliographie
François BOUCHER: Le Pont-Neuf. Paris: 1925-1926.
Charles Jean LAFOLIE: Mémoires historiques relatifs à la fonte et à l'élévation de la statue équestre de Henri IV. Paris: 1819.
Guy LAMBERT: Les Ponts de Paris. Paris: 1999.
Tags : pont, neuf, fut, statue, pierre
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Commentaires
96NessaDimanche 3 Mars 2013 à 03:1395NessaDimanche 3 Mars 2013 à 03:13Oui, j'ai ouvert ma boîte de réception à 11h01 (c'est le matin ici) et vu ta newsletter envoyée à 11h01 ! (Pour une fois que je ne la reçois pas plusieurs minutes ou heures après l'envoi...) Et je file toujours te lire tout de suite après...
94LiliroseDimanche 3 Mars 2013 à 03:13Je viens encore de passer un merveilleux moment à lire un article de la Plume Fée... Tout y est: documentation soignée et pertinente, sens du détail et du récit, poésie, humour même... Bravo, un immense bravo! Je t'embrasse.
Lilirose
93Promeneur75Dimanche 3 Mars 2013 à 03:13Quel pont ! Merci de nous ramener au 17em siècle de la construction de ce monument en passant par ses mystères... Comme précédemment pour le pont des Arts, où j'ai découvert l'emplacement de la tour de Nesles, voilà que je réalise où fut exécuté J de Molay un bon siècle avant l'édification de ce pont... Les chevaliers du Temple, nous offrent encore un saut dans le temps et un autre mystère. Mystère comme ces objets cachés dans la statue du bon roi Henri... L'imagination galope et souvent ne se rend pas compte combien la réalité est remplie d'étranges secrets où ordres secrets, complots et occultisme font un excellent coktail que 'on appelle communément l'histoire. Histoire de ce pont et de sa faune qui ferait sans doute trembler les petites frappes actuelles. Sans compter la vision offerte de la pompe de la Saint Maritaine. Étonnant moyen d'alimenter le Louvre. ... Formidable travail qui nous éclaire sur ce Paris que l'on croit connaître et que pourtant vous trouver toujours moyen de nous faire découvrir.
92Jean SauvalDimanche 3 Mars 2013 à 03:13Je connais bien le Pont-Neuf et pourtant j'ai appris plusieurs choses et savouré une foule de détails pertinents et poétiques.
Je reste toujours admiratif de votre travail et de votre talent. Félicitations!
91zazaDimanche 3 Mars 2013 à 03:1390Captain AmericaDimanche 3 Mars 2013 à 03:1389OphélineDimanche 3 Mars 2013 à 03:1388Bibi la fourchetteDimanche 3 Mars 2013 à 03:1387Lucille FerryDimanche 3 Mars 2013 à 03:1386Promeneur75Dimanche 3 Mars 2013 à 03:1385Promeneur75Dimanche 3 Mars 2013 à 03:13Il est agréable de revenir encore une fois sur cet article au fil de la seine en appréciant et vos photos et vos textes
84LilyputienneDimanche 3 Mars 2013 à 03:13Bonsoir, quelle jolie découverte. J'aime beaucoup l'histoire de Paris et ta façon de la raconter. Merci.
83fée de la foretDimanche 3 Mars 2013 à 03:13coucou cendrine
moi de plus en plus mal demain je vais voir si mon toubib
est la sinon vendredi
c'est une rechute j'ai eu froid
passe une bonne nuit de gros bisous
82Le Piéton de ParisDimanche 3 Mars 2013 à 03:13Merci pour ce splendide article sur le plus vieux pont de Paris !!! C'es de la " Grande " Cendrine !!! Moi qui aime toujours tout critiquer , avec vous c'est vraiment désolant on ne peut que vous louer et vous féliciter pour votre remarquable travail !!! Jamais rien à redire !!! Vous nous offrez des magnifiques promenades dans ce Paris que nous aimons tant !!! Un grand merci à vous !!!
81AmélianeDimanche 3 Mars 2013 à 03:13Une très belle promenade, merci! Les photos sont magnifiques, c'est superbement écrit. Bon dimanche.
Améliane
Bonsoir Yoshimi, je suis ravie de ta visite et je te remercie pour ton commentaire et tes compliments!
Alors toi aussi tu as une écharpe rouge... Peut-être bien que nous nous sommes croisées sans le savoir. Qui sait, on fera peut-être une promenade ensemble dans quelques temps. Cela m'arrive régulièrement avec des amis blogueurs qui n'habitent pas à Paris mais viennent s'y promener.
Je te souhaite une belle fin de soirée et un excellent début de semaine.
Cendrine
Bonsoir chère fée,
Je te souhaite de guérir bien vite. Je comprends ton impatience. J'espère que ton mal de tête s'en ira dès demain.
Promeneur75 est un de mes lecteurs les plus fidèles. De ce que j'en ai compris, c'est quelqu'un de secret, d'esthète et de très gentil. Il n'a pas de blog et ne laisse pas d'adresse mail mais il vient lire les réponses en ligne.
Je te souhaite une belle soirée et t'espère en meilleure forme.
Gros bisous.
Cendrine
bonjour cendrine
merci pour ta visite
je suis toujours avec ce mal de tête ma sinusite a du mal a guérir
et des vertiges
j'aime pas être comme ça moi qui bouge tout le temps
un bon dimanche
et merci a promeneur 75 d'être passer me voir
mais ne peux me rendre chez lui pas de blog
gros bisous mon amie
des que j'irai mieux je pourrai lire tes articles
Bonjour,
J'arrive par le blog d'Yvon chez toi et je vois par plaisir le blog d'une Parisienne qui aime montrer ses promenades en images.
Les bateaux de l'autre côté de la Seine j'y passe régulièrement. Une longue promenade que je fais partant du Pont Mirabeau passre par le port de Paris et arriver à Bir Hakheim et parfois continuer vers la tour Eiffeil.
Peut etre s'est on déjà croisée un jour
ps : je porte également une écharpe rouge :D
Au plaisir de continuer à découvrir ton blog bien intéressant.
Yoshimide magnifique photo et beaucoup de découverte mérci pour le partage et bien venue sur ma table une 2eme fois bizzzz
Tu me fais très plaisir, Claude! L'histoire du Pont-Neuf est passionnante et très complexe. Je n'ai pas utilisé toute ma documentation... On pourrait écrire un livre entier rien que sur le trajet effectué par la statue équestre d'Henri IV! Un gros livre!!!
Je puise dans les vieux ouvrages auxquels j'avais accès quand j'effectuais mes études. J'ai passé des années en compagnie de ces livres au parfum de vieux cuir et de colle... une mine d'informations et surtout la mémoire de ces oeuvres qui peuplent notre histoire.
J'aime partager ce que j'ai pu collecter et je suis très touchée d'être ainsi encouragée.
Je te remercie profondément.
Passe un excellent week-end! Gros bisous! Cendrine
C'est moi qui te remercie, cela me fait très plaisir. Je te souhaite à mon tour un excellent week-end.
Cendrine
Et bien moi Linda, j'adore la poésie et je suis fascinée par William Blake alors je te remercie de tout coeur.
Il y a quelques années j'ai vu une magnifique exposition sur William Blake, le poète, le peintre et le dessinateur au Petit-Palais. C'était remarquable, étrange, spécial et passionnant. Alors merci pour ce poème.
Ici aussi, le temps est gris et très mélancolique. Il a fait vraiment beau hier et là ce n'est pas très avenant.
Je te souhaite un excellent week-end.
Cendrine
je serai tenté de dire que les secrets du pont neuf n'ont plus de secrets pour moi , et cela grâce à toi...tout est expliqué avec tact et clairvoyance...c'est précis...fortement documenté...et ben je sens que je vais y revenir...car il y a tant à retenir chez toi...que je suis certain que je reviendrai lire en premier pour le plaisir et en second pour mieux assimiler toute cette formidable histoire..;merci encore de procurer ces émotions...bonne journée...gros bisous
claudeRepose-toi bien, ça va vite aller mieux, je l'espère! Gros bisous de bon rétablissement!
Cendrine
Bonsoir, je vous remercie de votre visite, cela me fait très plaisir.
Je vois que vous aimez aussi les anciennes expressions. En ce qui concerne celle que vous mettez en lumière, elle est associée au Petit Châtelet. Je vous cite ce que j'ai écrit dans mon article intitulé: "De la Fontaine Saint-Michel à Notre-Dame de Paris":
"Les droits d'entrée des marchandises devaient être acquittés à l'entrée, sous un profond passage voûté. Sous le règne de Saint-Louis (1214-1270), c'est à cet endroit que naquit l'expression « payer en monnaie de singe ». Si un vendeur de singe se présentait à la porte du Petit-Châtelet, il devait payer quatre deniers. S'il s'agissait d'un jongleur, il faisait danser l'animal devant l'administrateur du péage et pouvait faire entrer ses marchandises gratuitement dans la ville. Il payait donc en monnaie de singe!"
Il aurait été cocasse d'assister à une telle prestation...
Je vous souhaite une agréable fin de semaine. Amicalement.
Cendrine
Bravo pour toutes ces informations intéressantes.
Dans les expressions associées aux ponts de Paris, je ne sais plus lequel, (peut-être le Pont Neuf) il y a "payer en monnaie de singe", les saltimbanques payaient le passage du pont en faisant faire un numéro à leur singe.Bonsoir,
J'espère que ça va aller.
La propolis est sécrétée par les abeilles pour soigner les abeilles malades dans la ruche. Il ne faut pas être allergique aux produits de la ruche. Si ce n'est pas le cas, aucun souci.
Je suis atteinte d'une maladie orpheline extrêmement rare pour laquelle il n'y a aucun remède. Elle occasionne des lésions non soignables du système nerveux, des douleurs ultra violentes, des rages de dents chroniques, des hémorragies des muqueuses... La seule chose que peuvent me prescrire les médecins sont des opiacés en fortes doses contre les douleurs et...rien d'autre car ils sont impuissants.
Pour soutenir mon système immunitaire je prends la fameuse propolis et les granions de cuivre car ça tue les infections. Enormément de gens en prennent mais comme je te l'ai dit, si tu es allergique aux produits de la ruche et notamment au miel, ce n'est pas possible.
Parles-en à ton médecin, j'espère qu'il ne te donnera pas des médicaments avec trop d'effets indésirables. Je suis désolée pour tes problèmes de santé.
Sache que je t'envoie des pensées positives. Gros bisous.
Cendrine
Merci beaucoup, ce sont des mots très gentils qui me touchent.
Excellente fin de semaine. Amicalement.
Cendrine
coucou rv demain
pour tes remèdes je sait pas si j'ose en prendre
je fait beaucoup d'allergies avec mes maladies
j'en parle a mon toubib
gros bisous
Merci pour cette longue page d'Histoire superbement illustrée.
Bonne fin de semaine, Cendrine.
Amitiés.
Yvon.Rebonsoir, je suis ravie, je ne m'y attendais pas! j'ai dit cela en plaisantant et aussi parce que j'adore les chats et que mon surnom c'est...le chat! Donc, c'est une nouvelle fête à célébrer!!! Je te remercie d'avoir cherché. Merci aussi pour ces magnifiques photos...
Cendrine
Moi aussi je te souhaite une bonne journée de la femme et hélas nous courons souvent...
Merci de ta gentillesse.
Cendrine
C'est fait exprès pour la photo... Enfin, elle n'a pas été prise intentionnellement avec moi dessus mais quand je l'ai vue ça m'a amusée... Quelque part, on me voit sans me voir, ça fait "mystère" et ça trahit ma nature de chat...
Je te remercie, cela me fait très plaisir...
Alors comme ça tu as fait ton artiste contemporaine au potager!!! Je plaisante!
Merci encore de ta visite. Bises chaleureuses.
Cendrine
Merci cher Jacques, et oui j'ai fait ma "diablesse" pour vous empêcher de critiquer!!! Non, je plaisante, vous êtes adorable et je suis sûre qu'il y a des choses à redire. En tous cas, j'ai fait de mon mieux et si cela fait plaisir à mes lecteurs, alors je suis ravie! Comme je suis toujours ravie de retrouver vos si chaleureux commentaires. Un très grand merci!!!
Dommage on te voit de trop loin sur la photo...
J'adore ton reportage comme d'habiture !
Je me souviens très bien du pont empaqueté par Cristo parce qu'à la même période j'avais empaqueté des arbres au potager pour je ne sais plus quelle raison...
Bises d'Isa-Marie chère Cendrine !
Bonsoir Monik, c'est moi qui te remercie, je suis ravie de ta visite. Un "livre d'histoire sur pattes", oui ça me plaît!!!
Je plaisante et je suis enchantée.
Je te souhaite une bonne nuit. Bisous et à bientôt! Cendrine
Bonsoir Cendrine... Merci pour ta visite... Toujours un plaisir... J'ai eu quelques difficultés à venir... mais je suis ravie de te lire... Magnifique article si bien illustré... Tu es "un livre d'histoire " ... ... Merci pour ce partage... Je connais un peu Paris... Mes enfants y vivent... A bientôt... Bisous. Bonne nuit !
Monik /Mokalona
Merci Linda, je suis ravie! Tes mots me touchent beaucoup...
Je suis historienne de l'art et passionnée depuis l'enfance par l'archéologie, l'histoire, la littérature... Je suis un vrai rat de bibliothèque et une "fouine" sur le terrain!
Je te remercie de m'écrire de si gentils compliments. Je te souhaite une belle nuit. Bisous. Cendrine
Bonsoir, fée! J'espère que les choses vont s'arranger et que tu reprendras vite le dessus. Je t'envoie des pensées chaleureuses. Bonne nuit et gros bisous. Cendrine
Bonsoir, ne t'inquiète pas, je t'avais reconnue, j'ai pensé que c'était un deuxième pseudo que tu aimais bien employer. J'espère que tu vas vraiment aller mieux. Bisous. Cendrine
cendrine désolé je suis passeravec le speudo de ma cousine lady fée qui a oublier de l'enlever et j'ai pas fait attention
vue qu'elle est en vacance chez moi on ce sert du même pc
donc moi qui t'avait écrie
bisous
Merci Bruno,
Moi aussi, je préfère les mascarons et je me prends toujours à rêver qu'ils me parlent un jour!!! Avec leurs trognes, ce serait un moment d'anthologie!
Excellente journée.
Cendrine
Coucou Jacqueline,
Ici, le soleil est plus qu'en option et ça pèse sur le moral!!! C'est la purée de pois depuis plus d'une semaine, zut! On a besoin de lumière...je sais que tu me comprends!!!
Je suis désolée pour ton armoire et pour les vicissitudes de la fin de semaine. J'espère que tu pourras te reposer vraiment dans quelques jours...
Je te remercie de ces bouquets d'attentions que tu m'offres. Chacune de tes douces pensées m'est un grand soutien. Ce n'est pas la forme en ce moment, je retrouve mes symptômes chroniques et une inflammation de toutes les muqueuses de la bouche et du cou... Il faut attendre que ça passe mais la douleur est là elle aussi... Patience! Il y a heureusement beaucoup d'amour autour de moi pour m'aider à supporter tout ça...
Je te remercie encore et te souhaite une belle fin de journée. Bon courage pour tout ce que tu as à faire. Gros bisous affectueux.
Cendrine
Merci Timilo, Paris nous offre une infinité de monuments à découvrir et à redécouvrir, des voies secrètes et une histoire digne d'un roman d'aventures... Je suis ravie d'avoir pu communiquer ma passion!
Je te souhaite une belle journée. Bisous.
Cendrine
Bonjour Cendrine,
Voilà le soleil revenu mais il reste très pâlot... cela dit, je viens de déménager toute mon armoire de chambre à coucher... elle n'a plus de fond... demain matin, j'ai un employé qui vient réparer.... puis ensuite, direction Luxeuil, pour garder le chien-chien de l'amie Hélène... cela ne me réjouit pas vraiment, mais cette fois-ci, elle n'a personne pour garder son compagnon à quatre pattes... lol... je t'écrirai depuis son PC mais reviendrai aussi chez moi, ne serait-ce que pour trier et ranger l'armoire rénovée... lol... encore beaucoup de boulot en cette fin de semaine.... j'espère qu'en ce qui te concerne, le repos est possible et que tes nuits sont un peu plus clémentes que ces semaines passées....
Il est possible (j'ai déjà dû te le dire d'ailleurs... lol) que je fasse une petite visite à Danièle début juin, auquel cas.... je te fais signe....
Je te souhaite une très belle journée mon amie, gros bisous
Jacqueline
Je ne connais pas très bien Paris , du coup j'ai apprécié ton article
Joliment documenté
Douce journée ,CENDRINE
Bisous
timilo
Comme tu l'as constaté, j'adore ce pont et conter son histoire était important pour moi... Je te remercie de tout coeur.
Je te souhaite une belle nuit. Gros bisous.
Cendrine
Je te remercie, Doria, tes propos me touchent profondément. Je te souhaite à mon tour une belle soirée de mardi. Bisous. Cendrine
Bonsoir Ladyfée, les températures ont rechuté et les microbes reprennent de la vigueur. Je suis désolée, j'espère que tu iras bien vite mieux.
Tes créations illuminent le quotidien...
Passe une bonne nuit. Gros bisous. Cendrine
coucou Cendrine
j'allais mieux
mais comme je doit sortir et j'ai eu a nouveau froid rebelotte
mon rhume est la a nouveau
et pire
merci pour mes créas
tu es gentille
je suis contente que tu aime
bonne nuit mon amie gros bisous
Tu es très calée en histoire sur Paris. C'est un pont que je prend souvent mais j'étais loin de me douter de son histoire.
Je te souhaite une très belle soirée en ce mardi,
Bisous, DoriaUn bel article détaillé qui m'a beaucoup intéressé.
Ce pont est une merveille. Quelle architecture!!!!
Je te souhaite une très belle soirée Cendrine. Gros bisous
Brigitte
Chacun de vos commentaires me procure une grande joie... Le plaisir d'être lue et de partager des connaissances et des émotions poétiques. Je suis ravie de votre allusion à Victor Baltard et à Lupi d'Orviéto.
Il y a des années, au cours d'un voyage d'Histoire de l'Art avec mon université, nous avons découvert Orviéto et notre professeur nous a emmenés dans une très vieille maison où se trouvaient des fioles et des boîtes à onguents, c'était passionnant. Merci, Gérard, pour vos visites et votre gentillesse. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Cendrine
Merci Linda! heureusement que ce pont n'a pas été livré aux ravages du temps. C'est tellement dommage quand on détruit des monuments de notre histoire.
J'ai imprimé ta recette d'encre, merci! Caresses à Picasso et un grand merci à toi.
Excellente soirée. Bises. Cendrine
Merci beaucoup, tu me ravis avec des mots si gentils... Je te souhaite une excellente soirée. Gros bisous. Cendrine
Comme j'aime Paris et encore plus avec toi!
Bisous pleine de reconnaissance pour tes promenades qui me font tant réver!!
Désormais pour les lecteurs avisés de ce blog le Pont Neuf n'a plus de secret.
Parmi une mine d'informations deux ont particulièrement retenu mon attention: j'ai été surpris de retrouver Victor Baltard (que je fréquente pas mal ces temps-ci) associé à ce pont; puis grâce à vous j'ai découvert Lupi d'Orvieto et l'orviétan. Lors de la visite de sa ville natale Orvieto (il y a quelques temps) je dois avouer que ce personnage m'avait complétement echappé !!!
merci
gérard
Toi aussi chère amie, que ta journée soit douce... Quel beau sourire a ton personnage, c'est magnifique! Gros bisous. Cendrine
Bonjour Jacqueline, je suis très émue en lisant ton commentaire, il me fait particulièrement plaisir... J'ai toujours aimé ce pont, profondément, et je me suis passionnée pour son histoire. Je suis ravie que tu m'emmènes dans ce ballet de souvenirs intimes.
Un immense merci pour ton enthousiasme et ta générosité. Je te souhaite un bon séjour chez ton amie Hélène. Passe une excellente journée. Je t'embrasse bien affectueusement. Cendrine
Une plongée dans les souvenirs... Je suis contente de les raviver avec mon article. J'aurais bien voulu les voir ces jolies robes, moi aussi étant petite fille. Belle journée à toi! Cendrine
La journée c'était quelque chose, mais la nuit... Heureusement on peut passer sur ce pont et l'admirer aujourd'hui sans risquer grand chose. Il faut quand même avoir le regard aiguisé car, tu l'as fait remarquer, les voitures sont partout et ça, ça m'énerve!!!
C'est pour cela que j'adore Paris-Plage car c'est le paradis (entre autres) de ceux qui veulent admirer en toute tranquillité les sculptures magnifiques des ponts de Paris. Plusieurs photos de mascarons du Pont-Neuf (j'en ai d'autres pour de prochains articles) ont été réalisées pendant Paris-Plage, sinon, je n'aurais pas eu accès à certaines parties du pont.
Espérons que des mesures seront vraiment prises un jour...
Merci beaucoup de ta visite. Excellente journée. Cendrine
Bonjour Cendrine,
Sais-tu que le Pont Neuf est l'histoire de mon enfance ?? et oui, je l'ai traversé des milliers de fois avec mes parents pour rejoindre la Samaritaine... nous habitions rive gauche... lol... et voilà que tu décortiques fabuleusement et merveilleusement bien l'histoire de ce pont !!! un tout grand bravo pour tant de recherches et de superbes photos mon amie, la rédaction de ton article est vraiment fabuleuse et superbement documentée... une approche véritablement grandiose pour qui ne connaît pas ces siècles passés... (dont moi d'ailleurs qui ne faisait que survoler l'histoire de France et qui, grâce à toi, approndis enfin les grands mystères historiques....) merci à toi Cendrine pour cette perfection littéraire !!
Je te souhaite une excellente et très belle journée... je t'embrasse bien affectueusement,
Jacqueline
PS : dès jeudi, je serai, pour une semaine, chez mon amie Hélène, à 9 km de chez moi pour garder son petit chien... elle sera chez sa fille... je t'écrirai donc depuis chez elle....
Merci beaucoup Gut, c'est un grand plaisir pour moi... Je suis en effet passionnée d'histoire et d'histoire de l'art et si tu me voyais quand j'écris mes articles, tu sourirais... Des livres et des carnets à profusion, de grandes feuilles car j'écris d'abord tout à la main (il est impossible de faire quelque chose de cohérent si tu ne procèdes pas ainsi), mes cartes et gravures étalées devant moi... Je fais mon rat de bibliothèque avant d'être "fouine" dans les rues de Paris.
Moi aussi j'en ai acheté des choses à la Samaritaine (!) et j'adorais aller y boire un petit thé en regardant la rue et la Seine. Ce lieu mérite qu'on lui consacre un article à part entière. C'est ce que je ferai dans quelques temps.
Je te remercie pour ton si gentil commentaire et je te souhaite une excellente journée. Gros bisous. Cendrine
Je viens de prendre connaissance de ton super article encore une fois très riche en détails. Tu dois être une passionnée d'histoire pour faire autant de recherches sur l'ancien Paris ! J'apprends beaucoup de choses et aussi je prends de temps à autre un bain de nostalgie. La samaritaine me rappelle les promenades avec ma maman lorsque j'étais enfant. Elle en a acheté des choses là-bas !! Merci tout plein pour tout ça Cendrine. Un moment bien enrichissant !!! Gros bisous
à te lire , il ne nous manque plus que les odeurs ... lol .. j'imagine effectivement la cour des miracles que cela devait être . grâce à tes illustrations on se rend mieux compte de l'endroit .. Par contre bémol , y'a toujours des voitures partout partout, meme sous ce pont ? c'est bien dommage que cela soit autorisé
Je l'aime bien ce pont. Quand j'étais petite fille j'aimais le traverser en bus pour aller à la Samaritaine où ma grand mère m'achetait de jolies robes. Bonne journée.
Un merci inconditionnel Promeneur75! Je sais combien vous aimez l'Histoire et je me réjouis de vous faire plaisir. A très bientôt! Cendrine
Je vous remercie infiniment, monsieur Sauval. Vos visites et vos compliments me réjouissent. Cendrine
Tu me fais très plaisir Lilirose. Je ne sais que dire de plus face à de tels compliments... Je t'embrasse aussi de tout coeur.
Cendrine
Je suis impressionnée, nous aurions voulu le faire exprès... J'espère que tu n'auras pas la newsletter en plusieurs exemplaires!!! En tous cas, je te "kisse" en plusieurs exemplaires...
Et bien, sitôt mis en ligne sitôt lu, je suis impressionnée!!! Il se passait effectivement beaucoup de choses... Je t'embrasse
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Une question à vous qui connaissez si bien Paris et son histoire.
A quoi doit-on l'expression "Etre habillé comme Henri IV sur le Pont-Neuf" ?
Merci pour toute suggestion plus ou moins plausible
José
Être habillé comme Henri IV sur le Pont-Neuf... apparemment il ne s'agit pas d'une expression « courante » et d'après une aminaute belge, dans de vieux almanachs, cela signifierait se sentir mal à l'aise dans ses vêtements, être coincé aux entournures... Comme si on était bloqué dans le marbre ou le bronze...
Cela semble plausible...
Bonnes fêtes à vous !