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Le monument à Jules Ferry
Ce monument majestueux, qui rend hommage à Jules Ferry (1832-1893), se love dans l'écrin du jardin des Tuileries, à proximité de la rue de Rivoli et de la place des Pyramides. Il fut érigé à l'initiative de la Ligue de l'Enseignement, fondée en 1866 par Jean Macé (1815-1894).
Dans le but d'exalter les forces vives de la République, les membres de la Ligue organisèrent une souscription auprès des enfants des écoles afin d'honorer « celui avait tant fait pour l'éducation et qui avait été profondément critiqué pour son action coloniale. »
Le monument, inauguré le 20 novembre 1910, fut réalisé par le sculpteur Gustave Michel et l'architecte Charles Blondel.
Jules Ferry se dresse au sommet du monument pour énoncer les lois laïques pendant que Marianne ou l'Instruction soulève le voile de l'Ignorance. Une institutrice, considérée comme l'un des piliers de la Nation, saisit la main d'un jeune garçon. Appuyée sur un globe terrestre, elle tient un livre, en référence au mot fameux de Victor Hugo : « Ceci tuera cela ».
Cette sentence fut prononcée par l’archidiacre Claude Frollo, personnage du roman Notre-Dame de Paris. « Ceci tuera cela » que l'on pourrait aussi traduire par « Le livre va tuer l’édifice », est une allusion directe à l’invention de l’imprimerie (entre 1452 et 1456, bien que les Chinois aient été, au IIIe siècle de notre ère, les précurseurs de cette technique qui s'est imposée comme un événement majeur de l’histoire humaine). La « Bible de Plomb », initiée par Johannes Gutenberg (vers 1400-1468), supplante donc la « Bible de Pierre » qui s'adresse d'une autre manière au regard et à l'esprit. La révolution des mots et du papier accompagne la mise en place d'un rapport nouveau entre le lecteur et sa pensée.
Sur l'autre face du monument, le Génie de la République soutient le drapeau et arbore le rameau de la paix.
Jules Ferry disait souvent qu'il préférait voir les enfants à l'école plutôt qu'au service militaire.
Son portrait, par Félix Nadar (1832-1893).
Jules Ferry naquit à Saint-Dié dans les Vosges, le 5 avril 1832. Après avoir étudié le droit, il s’inscrivit au barreau de Paris mais il préféra s'orienter vers une carrière de journaliste d’opposition. Un article intitulé « Les comptes fantastiques d’Haussmann », qui parut dans le journal « Le Temps », le fit connaître du public.
Sa carrière politique débuta par son élection, en 1869, comme député de la 6ème circonscription de la Seine et s'affirma par son opposition à la déclaration de guerre contre la Prusse.
Après la défaite de Sedan, le 1er septembre 1870, il devint maire de Paris et reçut le surnom de « Ferry la famine » en raison des restrictions alimentaires qu'il dut exiger.
Il quitta la capitale pour Versailles pendant la Commune et fut élu député des Vosges, le 8 février 1871. Violemment opposé aux conservateurs, ses engagements firent de lui « une figure majeure de l'opposition en France, avec Gambetta et Grévy, et le chef de la Gauche Républicaine ».
Nommé, le 4 février 1879 et jusqu’en novembre 1883, ministre de l’Instruction publique et des Beaux Arts, par le président Jules Grévy, il exerça aussi la fonction de président du Conseil et de ministre des affaires étrangères.
Après avoir cristallisé les réactions négatives, notamment dans le camp de la droite et de l'extrême-gauche, sa politique coloniale lui fit essuyer un échec aux élections présidentielles de 1887. Quelques jours après le passage aux urnes, il fut victime d'un attentat au Palais-Bourbon.
Il fut battu aux élections législatives de 1889 mais élu au Sénat en 1891. Il présida la commission des Douanes et la commission de l’Algérie et devint, en 1893, Président du Sénat dès le premier tour, en dépit de relations houleuses avec des membres de la haute assemblée. Une crise cardiaque l'emporta le 17 mars 1893.
Controversé pour ses idées colonialistes, Jules Ferry est resté dans les mémoires grâce à ses engagements concernant l'instruction publique et l'enseignement supérieur. Désireux d'ouvrir l'école aux jeunes filles et aux écoliers issus des familles les plus modestes tout en empêchant les congrégations religieuses de prodiguer des formes de savoir dogmatique, il initia des réformes décisives pour l'avènement de la laïcité. Malgré l'avis défavorable d'une partie de l'opinion publique et de certains parlementaires, il parvint à faire voter, entre 1881 et 1884, plusieurs lois concernant la gratuité (juin 1881), l'obligation scolaire, entre 6 et 13 ans, et la laïcité de l'enseignement des jeunes filles et de tous les écoliers (mars 1882). Il s'impliqua aussi dans la fondation d'une École Normale de jeunes filles à Sèvres.
Il justifia son action coloniale par la nécessité d’œuvrer pour l'éducation des peuples et la volonté de porter la lumière de la civilisation française en Europe et partout dans le monde.
Je vous propose maintenant de lire un texte issu du Petit Parisien, journal quotidien du soir publié de 1876 à 1944. Il rapporte les détails de la journée de commémoration de la mémoire de Jules Ferry par les écoliers.
Source de l'image : Gallica.bnf.fr
« La fête des écoles, magistralement organisée par la Ligue française de l'enseignement, a remporté le vif succès qu'elle méritait, et cela malgré la pluie fine qui n'a cessé de tomber sur Paris au cours de cette journée pour laquelle on avait escompté un soleil un peu moins avare de ses rayons.
Il s'agissait, avant tout, de célébrer les noces d'argent de l'école laïque créée en France par le grand républicain Jules Ferry, dont notre collaborateur retraçait, hier, l'œuvre inoubliable. La Ligue de l'enseignement, par une heureuse inspiration, avait tenu à faire coïncider cette belle manifestation avec la pose de la première pierre du monument qui sera élevé à la mémoire du promoteur de l'école républicaine. N'était-il pas naturel qu'à cette occasion, les écoliers d'aujourd'hui, c'est-à-dire les hommes de demain, vinssent apporter un suprême hommage au grand Français qui ne craignit pas, au lendemain des pires désastres, de jeter les bases de l'école laïque, qui devait donner à la France démocratique des générations républicaines.
Dès une heure et demie, les quais de l'Hôtel-de-Ville, des Célestins et Henri-IV présentaient, malgré le mauvais temps, une fiévreuse animation. Les diverses sociétés, précédées de leurs bannières, de leurs fanfares, arrivaient successivement et allaient se réfugier sous les arbres. Les parapluies étaient, hélas de la fête mais, malgré cela, la bonne humeur ne perdait pas ses droits. On s'interpellait de quartier à quartier, d'arrondissement à arrondissement.
Le Tout-Paris scolaire était, en effet, massé là. On y voyait, en outre, nombre de sociétés de secours mutuels, d'associations d'enseignement populaire, de sociétés de préparation militaire, etc.
Le cortège s'organisa avec une discipline parfaite.
Pendant ce temps, dans les salons de l'Hôtel de Ville, il y avait grande réception. Le comité de la Ligue de l'enseignement présentait au conseil municipal les 421 enfants porteurs des listes de souscription au monument en tout deux millions de signatures représentant nombre de francs.
Les écoliers se redressaient avec fierté, serrant précieusement sur leurs poitrines les petits cartons rouges, contenant les desiderata de l'enseignement laïque. Plus d'un rougit lorsque M. André Lefèvre, président du conseil municipal, s'attarda dans les rangs pour tapoter une petite joue couleur de pomme d'api ou faire un compliment sur une mine éveillée.
Les enfants écoutèrent distraitement les discours que l'on prononça, ceux de M. Lefèvre et de M. Dessoye, président de la Ligue de l'Enseignement. Ce qui les préoccupait surtout c'était qu'ils allaient, tout à l'heure, marcher en tête du cortège. Il y avait bien la pluie qui allait abîmer leurs beaux habits du dimanche, mais ils ne paraissaient guère y songer.
Monsieur Lefèvre, qu'entouraient M. Armand Bernard, secrétaire général de la préfecture de la Seine, et M. Laurent, secrétaire général de la préfecture de police, fit l'historique des luttes qui aboutirent à la fondation de l'enseignement laïque. Énumérant ensuite les efforts de la Ville de Paris pour seconder l'œuvre entreprise par la Ligue de l'enseignement, il termina ainsi :
« Nous savons que les défiances, les hostilités, les armes rôdent encore autour de l'école laïque. Ses adversaires n'ont pas désarmé. Ils caressent le rêve d'une impossible revanche. La Ligue de l'enseignement, qui fut depuis un quart de siècle la conscience même de la démocratie républicaine. se doit de veiller sur les conquêtes réalisées. Nous les considérons comme indispensables. A vous, messieurs, de les préserver de toute atteinte !»
Le discours de M. Dessoye fut ensuite un hommage à la Ville de Paris et au Conseil Municipal. Enfin, l'on donna le signal du départ. La foule des écoliers et des écolières, dirigés par leurs instituteurs et institutrices, descendit l'escalier du palais municipal et déboucha sur la place de l'Hôtel-de-Ville. Au même moment, le canon de la tour Eiffel fit entendre sa voix de bronze, laquelle semblait déchirer les nuages accumulés sur la ville.
Le cortège se mit alors en marche dans le plus grand ordre, à défaut de silence.
Quatre heures de l'après-midi. La pluie, la maudite pluie, tombe toujours; le canon de la tour Eiffel tonne de plus en plus. On aperçoit le cortège qui s'avance lentement par la rue de Rivoli, vers les Tuileries où va avoir lieu, dans quelques minutes, la pose de !a première pierre du monument élevé, par souscription publique à Jules Ferry.
Le jardin est littéralement envahi par la foule.
Dans la grande tribune, qui peut contenir trois à quatre cents personnes, prennent place un grand nombre de personnalités politiques et de notables de l'enseignement. Nous remarquons, au premier rang, près de MM. Emile Loubet, Antonin Dubost et Mlle Dubost, Mme Jules Ferry et Monsieur Charles Ferry, veuve et frère de Jules Ferry, Mme Charles Floquet le général Dalstein, gouverneur militaire de Paris, Monsieur Lépine, préfet de police, Ferdinand Buisson, ancien président de la ligue de l'enseignement Siegfried, Joseph Reinach et le député Gasquet, directeur de l'enseignement primaire ainsi que les membres des comités de la Ligue de l'enseignement. On y rencontre également Charles Blondel, architecte du monument et Gustave Michel, statuaire, etc.
M. Dessoye, député de Chaumont, président de la Ligue de l'enseignement, préside la cérémonie. II est assisté de Monsieur Émile Loubet, ancien Président de la République et président d'honneur de la ligue, et Antonin Dubost, président du Sénat.
Bientôt il est procédé à la pose de la première pierre du monument.
M. Léon Robinet fait, tout d'abord, signer le procès-verbal de cette cérémonie par ceux qui vont y procéder. Puis M. Dessoye quitte la tribune, suivi des personnages officiels qui l'entourent et se dirige vers l'endroit où sera élevé le monument Jules Ferry.
L'architecte Charles Blondel présente alors la truelle et le ciment à Messieurs Émile Loubet, Dubost et Dessoye.
M. Émile Loubet scelle ensuite à l'aide d'un marteau la première pierre et M. Antonin Dubost, en riant, fait remarquer à M. Loubet qu'il est très compétent en la matière.
C'est forcé, répond l'ancien Président de la République. Pendant sept ans j'ai eu tant d'occasions de m'exercer à cela!
Enfin, M. Dessoye prend la parole. Après avoir retracé rapidement l’œuvre de Jules Ferry il donne rendez-vous aux personnes présentes pour l'inauguration du monument.
Comme M. Dessoye achève de parler, le président du patronage laïque du troisième arrondissement, suivi des membres du patronage, s'avance vers la tribune et s'écrie à haute voix
Nous en avons assez de nous faire mouiller ! Défilons et vive la République ! Le meilleur des discours, en somme !
Un grand concert débuta alors, suivi d'un départ de ballons et la Marseillaise retentit sur cette inoubliable journée !
Et voici ce qui est écrit dans L'Humanité du 21 novembre 1910 :
« L'inauguration officielle du monument élevé par souscription à Jules Ferry a eu lieu hier après-midi et n'a point manqué d'une certaine solennité. Autour de la statue trois tribunes avaient été édifiées. M. Fallières, les présidents du Sénat et de la Chambre, le président dut Conseil, des ministres, de nombreux personnages politiques et les membres de la famille occupaient l'une de ces tribunes. Les deux autres avaient été réservées à des délégations scolaires parmi lesquelles on remarquait tout particulièrement celle des écoles vosgiennes comprenant 250 garçonnets ou fillettes porteurs de brassards tricolores et tenant à la main une branche de sapin nouée d'un ruban aux trois couleurs.
Après la Marseillaise, exécutée par la garde républicaine et écoutée debout par tous les assistants, les élèves-maîtresses de l'école normale d'institutrices de la Seine et les élèves de l'École normale supérieure de Fontenay-aux-Roses ont chanté la Marche troyenne de Berlioz, accompagnée par la musique de la garde républicaine. Les discours commencèrent alors. Au nom de la Ligue de l'enseignement, M. Dessoye prit d'abord la parole.
M. Antonin Dubost, qui lui succéda, retraça toute la vie politique de Jules Ferry. Puis l'Aventurier, qui pensait, d'évidence, beaucoup plus à sa propre carrière qu'à celle de Ferry, prononça une sorte de plaidoyer personnel dans lequel, il eut le toupet de s'apparenter aux grands républicains en s'efforçant, sous couleur de louer l'opportunisme, d'expliquer sa propre, ou plutôt sa malpropre évolution ! Après son maître, M. Maurice Faure évoqua l'œuvre scolaire de Jules Ferry. On entendit les élèves des écoles normales qui chantèrent l'Hymne à la Liberté.
Un homme d'assez haute taille vêtu de noir, coiffé d'un chapeau haut de forme, passa à travers la haie formée par les agents et les municipaux et arriva jusqu'auprès du président du Conseil. Il saisit M. Briand par le col de son pardessus et tenta de le frapper au visage. Le président du Conseil perdit un instant l'équilibre ; son chapeau roula à terre. L'homme fut appréhendé, entraîné par les agents, tandis qu'il recevait maints horions au passage. Le président du Conseil qui n'avait pas été atteint alla prendre sa place dans la voiture présidentielle qui attendait rue de Rivoli.
L'agresseur fut conduit au commissariat du Marché Saint-Honoré, où il fut interrogé par MM. Lépine, Touny, Guichard, Roy, et d'autres personnages solennels. Il déclara se nommer Lacour, être âgé de 30 ans et exercer la profession de menuisier. II avait pu pénétrer aux Tuileries avec une carte d'invitation au nom de Petit. Edmond Lacour, qui est patron menuisier, demeure 3, rue Vezal, au Panthéon. il se borna à dire qu'il se refusait à donner des explications sur son geste et qu'il avait agi suivant sa conscience. Lacour a été envoyé au dépôt dans la soirée. Lacour est, dit-on, connu dans les milieux royalistes comme un actif militant. Il aurait été plusieurs fois arrêté au cours de manifestations politiques. »
Image lelab.europe1.fr
Le mardi 15 mai 2012, c'est devant le monument à Jules Ferry que François Hollande a choisi de prononcer son discours d'inauguration de la fonction présidentielle. Suscitant une vive polémique, il a tenu à préciser : « Je n'ignore rien de ses égarements politiques. Sa défense de la colonisation fut une faute morale et politique. Elle doit à ce titre être condamnée ». Ajoutant : « C'est donc empreint de cette lucidité indispensable que je suis venu saluer le législateur Ferry qui conçut l'école publique, le bâtisseur de cette maison commune qu'est l'école de la République ».
Je souhaite aux écolières, aux écoliers, aux étudiants et aux professeurs et aux parents une excellente rentrée !
Merci pour vos charmants messages et vos pensées d'amitié... Je pense également beaucoup à vous...
Tags : ferry, jules, enseignement, preside, monument
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Commentaires
Bonsoir Cendrine,
J'espère que tu vas bien. Je te souhaite une belle fin de semaine. En Bretagne le soleil brille au zénith. C'est étonnant en ce début d'octobre. L'automne semble lointain. Je t'embrasse bien fort et te souhaite une douce soirée.
Controversé et loué, un homme qu'il faut savoir juger à sa juste valeur, et dont les qualités sont évidentes, le reste oublions-le et avançons! C'est une originaire de Guadeloupe et de Martinique qui le dit!
coucou
je passe + tard car le véto est venu pour Picasso inflammation aux pattes , du a son age il ne fait plus ses griffes et c'est un soucis , anesthésie , j'avais peur qu'il se réveille pas mais il va bien, se sera antibiotique pendant 10 jours ...
mais comme a dit le véto "il est solide" ...
je suis soulagée
bisous
a demain
Bonjour Cendrine,
Une pensée amicale pour te souhaiter une douce journée et une agréable fin de semaine. J'espère que tu vas bien. En Bretagne nous avons un soleil qui brille au zénith. Les températures ont chuté si bien que l'on commence à sentir la douceur de l'automne arriver. Je t'embrasse bien amicalement.
Bonjour Cendrine, les petits nuages de ce matin ont disparus et le soleil brille à nouveau.... Il fait 20°...
Bon jeudi, gros bisous
Bonjour Cendrine, merci de ton passage sur mon blog, j'espère que ta santé s'améliore..
Bon mercredi, gros bisous
Coucou ma Cendrine, comme tu aimes ma formule magique, je te l'offre... Cela adoucira ta journée. J'espère que ta santé ça va ?
J'admire ton beau partage sur Jules Ferry.
Mercredi et rien ne change, je bois mon café en ta compagnie.
J'espère que tu as bien dormi. La journée s'annonce belle par
chez moi.
J'espère que tout va bien aller pour toi. Quoi de neuf sinon ?
Bonne journée et prends soin de toi. Je t'offre mon sourire
avant de refermer la porte de ton joli univers.
Lollibonsoir cendrine,
merci pour ton gentil commentaire. tu sais que je suis toujours heureuse d'avoir de tes nouvelles.
passe une bonne soirée, je t'embrasse, véronique
ma seconde fille, yael à deauville :
Bonsoir,
Cela fait un certain temps que je ne suis pas passé sur votre blog afin de prendre de vos nouvelles. J'espère que vous allez mieux et qu'avec le temps l'opération chirurgicale que vous avez subie a permit de vous soulager au moins un peu de cette saleté de maladie orpheline. De mon côté j'ai comme d'habitude des problèmes de santé, mais bon franchement j'aurais honte de me plaindre compte-tenu de l’importance de vos soucis de santé à vous. Je ne vous oublie pas bien qu'il est vrai que je ne passe pas souvent sur votre blog. Je vous souhaite une bonne fin de soirée.
Bonjour cendrine
merci beaucoup de m''avoir donné de tes nouvelles
une belle journée ensoleillée mais qui restera fraîche pour la saison
Je te souhaite de passer une bonne fin de journée
je t'embrasse
janinebonsoir cendrine,
un petit bonsoir de la parisienne. j'espère que tu vas mieux. passe une bonne soirée, prends soin de toi, je t'embrasse véronique
ma fille aline cet été à deauville, elle n'aime pas se mettre en maillot de bain, car elle attrape des coups de soleil avec sa peau blanche.
Bonjour Cendrine, un petit coucou pour t'envoyer un rayon de soleil du midi..
Bon lundi, gros bisous
Coucou ma Cendrine, ça me fait plaisir de te voir par chez moi, merci.
Merci aussi pour cette belle visite à Jules Ferry et toutes tes explications sur le sujet.
Le week end est fini et j'espère que tu en as bien profité.
On commence une nouvelle semaine dans la bonne humeur.
Pour moi un bon café en ta compagnie. Il fait assez frais et le jour
maintenant tarde un peu à se lever, se sont les prémisses de l'automne.
Ainsi va la vie, et même si je n’affectionne pas vraiment cette saison, je
trouve que ses couleurs réchauffent le coeur.
Je te souhaite un doux lundi et avec le sourire, quoi qu'il arrive.
Prends soin de toi.
lolliBonsoir, ma petite fée.
Quel superbe monument.
J'adore, tous ces détails que tu prends en photos et surtout, toutes ces explications, et histoires, que tu vas chercher, pour nous les relater.
Cet article est aussi passionnant que tous les autres.
Je te souhaite une bonne soirée.
De bien gros bisous a toi et a ton petit homme.
Aimée
PS : Merci beaucoup pour cette belle carte de Pars, que j'ai eu pendant mes vacances.
Un personnage qui m'a toujours troublée : si généreux et en même temps si terrifiant. Mais il était à l'image de son époque, qui enfanta le "progrès", la guerre de masses et les colonies.
Bonjour Cendrine,
Ainsi vos promenades nocturnes vous ont menée jusqu'à mon album vénitien et je m'en réjouis.Je suis un peu " en rade" de ces temps-ci, je vais devoir me secouer un peu et reprendre mes publications.J'espère que vous retrouverez votre chemin jusque " ma Venise"Bien amicalement,
Danielle
Bonjour cendrine
mon coucou du week-end
9° seulement ce matin et cet après-midi pas plus de 17°,j’ai remis une petite laine
Je te souhaite de passer un bon week-end et à lundi
je t'embrasseBonjour Cendrine, merci pour toutes tes photos qui nous montrent tous les détails de la statue...
Bon samedi, gros bisous
Vive la rentrée
J'espère que tu vas bien Cendrine...
Je suis content de voir que ton blog reprend vie...
Personnellement je n'ose plus me plaindre de ma connexion internet, j'attends avec impatience la fin des travaux ... J'espère que ce ne sera plus long
Pour le moment je partage la connexion de mon smartphone mais qui est hélas très limitée
Bon et doux Weekend
Bisous
timilo
Bonjour Cendrine,
Ton article est superbe et rend hommage à Jules Ferry qui avait des idées sages en matière d'éducation nationale. Merci pour ce partage Cendrine. Bisous et douce fin de journée. J'espère que tu vas bien ma douce.
Heureuse de te lire ma Plume Fée et ton article est fort passionnant. J'ai à Amiens mon avenue Jules Ferry, un lycée aussi ...
Un grand homme et un article bien approprié pour la rentrée.
Je m'éloigne un peu de mon ordi en ce moment, un besoin après toutes ces années passées devant mon écran. La vraie vie m'attire.
Prends bien soin de toi ma Cendrine, je ne t'oublie pas et t'envoie mes pensées positives.
Gros bisous
Bonjour Cendrine, magnifique article sur Jules Ferry fondateur de l'école publique...
Bonne journée, bons baisers
Bonjour, Cendrine,
Très ravi de te retrouver et de visiter ton charmant blog tout en couleurs. ( Aujourd'hui,les illustrations sont en noir et blanc mais belles quand même)-sourire-...
J'espère que tu es rétablie, ma chère amie et que tu as passé de bonnes vacances. Bonne rentrée sociale et je te souhaite une meilleure santé.
Portes-toi bien. Mes amitiés à ton mari.
Bisous,
Tahar
Une bio fort intéressante ... Les parisiens ne sont pas indignés de voir une si belle sculpture d'un homme aux idées colonialistes , à mais c'est vrai qu'il est à l'origine de l'école laïque , alors on pardonne on passe l'éponge , on condamne mais on est emprunt de lucidité ...
ça me fait bien marrer tous ces discours qui disent tout et leur contraire.
Tu as encore fait un superbe article Cendrine, chapeau bas !
j'espère que tout va pour le mieux pour toi , je suis super heureuse de voir que tu as repris la route de ton blog pour notre plus grand plaisir
gros bisous
Tous les Enseignants, fussent-ils Belges, connaissent évidemment Jules Ferry, mais pas nécessairement ce monument en hommage à son action en faveur de l'école laïque. Très bonne idée, chère Cendrine, de nous l'avoir ainsi détaillé, et d'y avoir ajouté une intéressante biographie, sans celer des convictions moins glorieuses ...
toujours de belles découvertes et articles très complet chez toi!
hier la journée a commencé avec un ciel gris et un TGV en retard de + 1h ...ça vaut la peine de payer un tarif pour train rapide ...
pas mal de controle de la police allemande dans le train , et je vous ferais partager mes photos de cette journée ce we ...
visite de la cathédrale mais aussi d'une autre église moins connue mais très belle ....
suis rentrée tard , et j'ai appris ce matin un décès ...
c'est la vie avec ses fins et ces petits coins de bonheurs, de souvenirs ....
bisous et douce journée
La sculpture est vraiment magnifique, tout y est !
Merci pour ces longues explications très intéressantes sur Jules Ferry.
Ce qui me plait chez Toi, c'est que l'on apprend tjrs quelque chose
gros bisous et bon jeudi
Lili
Bonjour Cendrine,
Merci pour cet élogieux compliment laissé sur ""ma Résilience ""
Quel plaisir de lire votre article ..Je me disais en lisant " Tiens c'est vrai, j'avais oublié ça ! ""
La mémoire de notre histoire vit au travers de ceux qui n'oublient pas..........
Bonne journée Cendrine.
8AlbiréoJeudi 3 Septembre 2015 à 07:37Coucou Cendrine,
Que voilà un bel article pour la rentrée ! Merci pour ce partage instructif. En ces temps où le fait religieux tend parfois vers le fanatisme, il est bon de rappeler les valeurs égalitaires de la laïcité...
Je t'embrasse, prends bien soin de toi. Au vu des commentaires, il semble que les interventions que tu as subies n'aient pas abouti au résultat escompté... J'espère que les progrés de la recherche te permettront bientôt d'accéder à un meilleur confort de vie.
Merci encore pour cette page si instructive.
Bisous
A.
Bonjour ma chère Cendrine,
quel plaisir de te retrouver en meilleure santé je l'espère. Merci pour ce bel article.
gros bisous
Imposante et belle cette statue. Bel hommage à Jules Ferry en ce moment de rentrée scolaire. J'aime bien la photo ancienne du petit parisien. Merci pour ce beau partage. Bisous et beau mois de septembre. Bises
Bonsoir Cendrine
Cet article vient à point nommé! J'ai encore appris beaucoup de choses ce soir. C'était très intéressant!
J'ai bien reçu ton message et je suis vraiment triste d'apprendre que ça n'a pas été!
Toutes ces souffrances pour rien! Mais que faut-il donc faire pour te soulager un peu?
N'y a-il vraiment aucun espoir?
Et ailleurs qu'en France?
Je t'embrasse bien fort Cendrine.
Combien de fois je l'ai prise en photo cette statue de Jules Ferry. Un sujet qui tombe bien en cette période de rentrée des classes. Pauvre Jules Ferry il doit se retourner dans sa tombe. Il fait pas bon d'être professeur aujourd'hui.
Merci pour cet excellent article.
Prends soin de toi Cendrine, VéroniqueMa petite Cendrine,
Merci pour ce bel article qui est franchement très intéressant, surtout en période de rentrée scolaire. De te lire m'a changé de mes paperasses et courriers pour régler la succession. Il faut bien que quelqu'un s'en occupe !
Je suis seule ce soir, pour la première fois dans cette grande maison pleine de vide, mais, néanmoins remplie de souvenirs, pas très gais pour les derniers jours, mais en remontant dans le temps et dans ma mémoire, tellement joyeux. Une page se tourne ma belle amie.
Poux-Ronchon est reparti ce matin avec les deux matous et le gros Farouk. J'ai gardé avec moi la petite chienne de maman, et après les R.V. chez le banquier et le notaire vendredi prochain, je pense rentrer en Ille et Vilaine lundi ou mardi prochain.
Je reviendrai avec ma dernière Ellen pour une quinzaine de jours, afin de faire du tri dans la maison.
Mais tu le sais comme moi, la vie continue malgré tout, et il faut rebondir pour mieux appréhender l'avenir. Ainsi va la vie.
Je t'embrasse affectueusement ma Cendrine.
2Promeneur75Mercredi 2 Septembre 2015 à 21:04Bonsoir Cendrine, très bel article au moment de la rentrée scolaire, je connais monsieur Ferry de nom mais pas toute sa vie.... voilà qui est chose faite... merci à toi, je te souhaite un bon mois de septembre, reste d'été et début d'automne, je t'embrasse, jill
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soir Cendrine
j espère que tout va bien ainsi ta Famille Amitiés pour elle merci pour ce bel article que tu nous partage et photographies les statues et fleurs et tes écrits je te souhaite une excellente soirée et bonne fin semaine profite bien surtout je t embrasse mais je ne sais quand je repasserai à bientôt Danielle