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Le Square Georges Cain
Chers aminautes, les messages que vous m'avez envoyés à l'occasion du quatrième anniversaire de mon blog m'ont fait très plaisir. Merci également pour votre soutien concernant ma santé. Je pense bien fort à vous. Gros bisous.
Loin du tumulte de la ville, au coeur du quartier du Marais, s'ouvre un lieu paisible au charme romantique, jardin muséal où les saisons dansent sur les vestiges de l'histoire de Paris. Mes photos ont été prises à différentes périodes, ce qui permet de découvrir une myriade de couleurs et d'atmosphères.
Au XIIIe siècle, l'espace était occupé par des terrains maraîchers, baptisés couture/culture Sainte-Catherine. Ils étaient la propriété des chanoines de Sainte-Catherine-du-Val-des-Écoliers, protégés par Saint-Louis (1214-1270) et Philippe III dit le Hardi (1245-1285).
Le square Georges Cain fut créé en 1923 à l'emplacement des jardins de l'Hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau, construit en 1688 sur les plans de Pierre Bullet (1639-1716), architecte du Roi et de la Ville, pour le compte de Michel Le Peletier de Souzy (1640-1725), conseiller d’État et Intendant des finances du royaume.
En 1863, les jardins de l'Hôtel furent transformés en Compagnie Générale de la Poste aux Paquets et des Transports Internationaux. L'activité de cette Poste Centrale ou « gare du factage parisien » dura jusqu'en 1913.
En 1989, l'Hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau fut rattaché à l'Hôtel Carnavalet, devenu musée de l’Histoire de Paris mais notre visite concerne le square Georges Cain.
Ouvert au public en 1931, il est attenant au musée Carnavalet et borde la rue Payenne et ses élégants hôtels particuliers. On y admire les sobres façades de l'ancienne orangerie de l'Hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau.
L’orangerie fut construite, à la fin du XVIIe siècle, à l'emplacement de ce qu'on appelait le Petit Arsenal. Rythmée par douze grandes fenêtres symétriques, elle forme un écrin autour des collections archéologiques de la Ville de Paris. On peut y contempler les objets découverts à Bercy en 1991.
Le long d'un chenal de la Seine, ont été retrouvés les vestiges d'un village âgé de 6000 ans: des outils, des figurines, des céramiques, un arc en bois d'if et un ensemble de pirogues monoxyles (taillées dans une seule pièce) de chêne qui ont rejoint les collections permanentes du musée Carnavalet.
Des photos de ces découvertes sont visibles dans mon article intitulé : Le jardin romantique de Bercy.
Le square porte le nom de Georges Cain (1856-1919), peintre, illustrateur, écrivain et conservateur du musée Carnavalet, de 1897 à 1914. Fils du célèbre sculpteur animalier Auguste Cain (1821-1894) et frère du romancier, dramaturge, peintre et graveur Henri Cain (1857-1937), il est l'auteur d'ouvrages consacrés au Paris d'autrefois, comme Les pierres de Paris (1910), Promenades dans Paris, Anciens théâtres de Paris ou encore Guide explicatif du musée Carnavalet (1903).
Cet espace vert est aussi un dépôt lapidaire destiné à abriter des vestiges de monuments disparus, la plupart ayant été détruits par les incendies de la Commune. Ces pièces archéologiques ressuscitent l'histoire mouvementée de Paris.
On découvre ainsi la rosace d'un plafond de l'ancien Hôtel de Ville, des éléments du pavillon central des Tuileries, des chapiteaux, des mascarons et des morceaux de colonnes.
Cette photographie d'Hippolyte-Auguste Collard (prise entre 1871 et 1874 et conservée au musée Carnavalet (Ph 9714), décrit les ruines de l'Hôtel de Ville, érigé par Dominique de Cortone dit Le Boccador (1465-1549).
Le 24 mai 1871, le bâtiment fut dévoré par un incendie allumé sur l'ordre de Jean-Louis Pindy (1840-1917). Les flammes détruisirent une bibliothèque de près de cent mille volumes, une collection unique de cartes et de plans, les registres paroissiaux d'état civil du XVIe siècle à 1860 et une profusion de sculptures, de meubles et de tableaux.
Hippolyte-Auguste Collard est connu pour avoir effectué, entre 1857 et 1885, des reportages photographiques sur la construction des ponts et des ouvrages d’art parisiens. Pendant la Commune, il immortalisa le souvenir des barricades dressées dans Paris et réalisa une remarquable série de vues des ruines de la capitale après l'embrasement du 24 mai 1871.
Un encadrement de fenêtre issu de l'hôtel de Thou, autrefois situé au numéro 14 de la rue des Poitevins, dans le 6e arrondissement de Paris.
Sur cette photo datant de 1868 et réalisée par Charles Marville (1813-1879), on aperçoit -tout au fond- la porte de l’hôtel de Thou qui abritait le siège de la librairie-imprimerie de Charles-Joseph Panckoucke (1736-1798), célèbre éditeur du XVIIIe siècle. Il accueillait aussi les bureaux de la Gazette de France, du Mercure de France, du Journal de Genève, de l’Encyclopédie Méthodique et plus tard du Moniteur Universel, qui deviendra le Journal officiel de la République Française. (Photo Musée Carnavalet).
Des ornements issus du Palais des Tuileries mais aussi du château de Saint-Germain-en-Laye, comme ces Renommées du XVIIe siècle, ont « survécu » aux affres du temps, dans le square Georges Cain.
Cette photo décrit les restes fantomatiques du Palais des Tuileries avec, en arrière-plan, l’Arc de Triomphe du Carrousel. Inauguré en 1809, il fut construit entre 1806 et 1808 par Charles Percier (1764-1838) et Pierre Fontaine (1762-1853).
Le Palais, né du souhait de Catherine de Médicis (1519-1589), fut incendié pendant la Commune par une trentaine de fédérés sous les ordres d’un garçon boucher du nom de Benot. La dernière résidence des rois de France brûla pendant trois jours.
La décision fut prise de démolir les restes du monument en 1879. Les ruines furent rasées en 1883, les vestiges dispersés dans Paris et le fronton du Palais, orné de trophées, fut installé dans le square Georges Cain.
Voici ce qu'il en reste aujourd'hui, avec l'horloge noircie par le feu. Les armes des rois de France ont disparu.
Dans le Musée Noir (1946), l'auteur surréaliste André Pieyre de Mandiargues (1909-1991) écrit, au sujet du square : « Il s'agit d'une sorte de jardin tzigane ou parfois les séraphins s'exaltent, et parfois les démons, où ne s'ouvrent parfois les grilles que sur un décor silencieux et vide devant lequel s'érige, avec autant de présence que dans un désert roux, la silhouette et les monolithes depuis trente siècles éclatés, l'attente, cette cathédrale morose hantée par le solitaire. »
Entre ombre et lumière, quand on traverse le jardin musée on peut se demander où vont mourir les vieilles pierres, celles qui sont jetées ici-bas après avoir été arrachées à l'ossature des palais et des temples ? Qu'ont-elles gardé de la mémoire des évènements et comment les regardons-nous aujourd'hui ? Avons-nous bien conscience de leur importance et de leur fragilité ? Ne meurent-elles pas plus vite si notre attention leur fait défaut ?
Ainsi, des éléments de sarcophages mérovingiens et des stèles anciennes émergent de l'herbe haute mais leur histoire a été oubliée.
Les secrets qui hantent ces visages se délitent parmi les fleurs...
La provenance de ces oeuvres n'est pas précisée.
Le Temps, qui continue à faire son oeuvre, est personnifié par un vieillard aux ailes déployées, au fond du square, sur le fronton de la façade arrière de l'hôtel Le Peletier de Saint-Fargeau.
«Saturne tenant d’une main sa faux, ayant à ses pieds une horloge de sable et s’appuyant sur une colonne brisée où l’on a tracé les heures pour servir de cadran» domine une façade perpendiculaire à l’Orangerie, bâtiment d’un étage surmonté d’un comble brisé, éclairé par treize fenêtres.
La porte-fenêtre centrale est surmontée d’un fronton où une figure de la Vérité fait écho au Temps de la façade principale. Ces deux hauts-reliefs sont attribués à Laurent Magnier (1615-1700), sculpteur dont les oeuvres sont particulièrement représentées à Versailles et aux Tuileries.
Le miroir de la Vérité est orienté vers le vieux Saturne, gardien de la mémoire des lieux.
A la tombée du soir, les visiteurs découvrent une oeuvre d'art contemporaine : Le Rossignol de Heinz. Cette création sonore est emblématique du travail atypique d'Éric Samakh, artiste né en 1959. Grâce à un capteur solaire, un module acoustique « analyse les paramètres climatiques qui influent sur le comportement d'un oiseau, et commande un lecteur de disque compact qui diffuse le chant d'un rossignol philomèle, enregistré au château de Sauvigny en mai 1990. » (Extrait d'une notice parue sur le site du Musée Rodin.)
Erik Samakh est enseignant à l'école supérieure d'Art des Pyrénées et reconnu internationalement pour ses réalisations qui composent une alchimie d'éléments naturels et de technologies modernes. Grâce à des travaux très poussés sur le son, il cherche à établir un dialogue subtil entre l'homme et son environnement. Là où l'image est dominante, il s'emploie à attirer notre attention sur l'importance du son et l'art d'écouter.
Comme vous le constatez, le square Georges Cain est un lieu particulièrement remarquable. En son coeur, se dresse « Île de France », beauté de bronze dont Aristide Maillol (1861-1944) fut le concepteur. Je vous conterai l'histoire de cette statue dans un prochain article.
En attendant de vous retrouver, je vous souhaite plein de belles choses... Tendres pensées !
Tags : paris, cain, hotel, musee, square
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Commentaires
51maplumefeeLundi 23 Avril 2018 à 02:42RépondreCoucou Douce Fée !!! Sourire
Je passe et m'attarde avec zénitude dans ce joli square, profitant allègrement de toutes tes informations tendrement renforcées par tes belles photos... Sourire Ravi
Encore un bien bel Article "à ta sauce", un de ceux qui font voir "la Ville" autrement... Sourire Enchanté
J'espère que ta longue convalescence se poursuit très bien malgré les déceptions parsemées de-ci, de-là ?... En tous cas, continue de prendre grand soin de Toi... Sourire Tendresse
Merci pour "les douces nouvelles" qui saupoudrent ton joli Article... Clin d'oeil
Mille très tendres Bisoudoux Ma Guide Touristique Préférée
***Tincky***
Bonjour Cendrine, j'espère que tu n'as pas eu de crises ces jours ci.. Le soleil est de retour..
BONS BAISERS
bonjour cendrine,
je suis triste de lire que malgré ton opération tu fais encore des crises d'épilepsie, pfffff ça n'a servi à rien alors !
je te trouve bien courageuse tu sais ... que dit le service médical ...
je pense à toi et je croise les doigts pour qu'un jour on trouve enfin de quoi te soulager ... je t'embrasse bien fort, véronique
Bonjour Cendrine, c'est sous la pluie que je viens te déposer mon bonjour matinal...
J'espère que tes problèmes de vue s'améliorent... Bon mercredi, gros bisous
Bonsoir, ma chère petite fée.
Quel bel article et quelles explications des plus intéressantes.
Un sacré recherche, encore, ma belle.
Je reste émerveiller, par toutes ces statues, ces beaux éléments du batiment que tu nous montres.
Ce square Georges Cain, vaut, qu'on s'y arrete, il recelle de tant de trésors.
Merci ma douce petite Fée, de nous faire découvrir Paris, hors des sentiers battus.
Comment vas-tu ma douce ?
Je te fais de gros bisous et malgré, mon silence, je pense a toi.
Aimée
bonsoir cendrine,
un petit bonsoir de la parisienne... j'espère que tu vas chaque jour un peu mieux ... passe une bonne soirée, bises, véronique
Très intéressante visite de ce square pas tellement connu. Grâce à cet article tes lecteurs seront curieux de le découvrir par eux-mêmes ....à commencer par ton serviteur !!!
gros bisous
Bonjour C'est un très beau square!! Il y a de beaux édifices! BisousBonsoir,
je passe sur votre blog afin de faire un petit coucou et prendre de vos nouvelles. Vraiment chouette ce jardin que vous avez photographié! Je vous souhaite une bonne fin de soirée ainsi qu'une bonne nuit, je ne vous oublie pas et cela même si je ne passe pas souvent sur votre blog.
Bonjour Cendrine, un petit coucou pour te rappeler de reculer d'une heure tes pendules..
Bon samedi, gros bisous
Bonjour Cendrine, un petit coucou pour te souhaiter de passer un agréable jeudi..
GROS BISOUS
Coucou Cendrine,
Merci pour ce magnifique billet que tu nous offres, il a du te prendre un temps fou !
Prends bien soin de toi
Je te fais de gros bisous & te souhaite une douce semaine
super joli post ma gentille Cendrine, j'espère que tu vas de plus en plus meilleur, je suis ravie de te lire a nouveau.
Je te souhaité une bonne journée et un bel automne à Pais
gros bisous de ton amie catalane
Rosa
Merci pour cette splendide visite. Je crois, moi aussi, que les lieux ne vivent que de nos regards, et tes regards partagés sur ce blog les font vivre superbement, avec toute leur charge d'histoire et d'humanité.
20Promeneur75Mardi 20 Octobre 2015 à 19:52Bonsoir PlumeFée . Ma lecture est un peu tardive et je tiens à vous manifester ma joie de vous retrouver et le plaisir de cette découverte d'un jardin public un peu secret contenant de nombreux témoignages du passé d'une ville ancrée dans l'histoire. Merci donc encore pour votre article. Bien à vous
bonsoir cendrine,
un petit coucou pour te souhaiter une très bonne soirée. prends soin de toi, grosses bises, véronique
Je suis vraiment heureuse chère Cendrine, d'avoir de tes nouvelles au travers de ce superbe reportage relatant des moments de l'histoire de Paris... Il se dégage de ce jardin-musée une impression de mélancolie,... les vestiges d'édifices prestigieux anéantis par la main de l'homme gisent dans cet espace comme autant de témoins d'un lointain passé souvent tragique... Je ressens souvent cette sensation dans de tels endroits et je pense que nous devons exercer notre devoir de mémoire à l'égard de ces pierres, éléments d'architecture ou sculptures afin de respecter ceux qui les ont bâtis ou ceux qui les ont admirés peut-être... Merci à toi de te pencher ainsi avec attention sur l'histoire de notre capitale et surtout de nous faire partager ton savoir et tes recherches... Reçois toute ma gratitude à ce sujet...Prends bien soin de toi chère Plumefée, comme chaque fois, je te souhaite une grande amélioration de ton état de santé et t'embrasse très affectueusement, bonne soirée, Shuki
C'est un grand bonheur que d'ouvrir cette nouvelle page. Tu es toujours aussi talentueuse pour nous montrer un Paris tellement inconnu par beaucoup, surtout par moi ! je l'avoue et j'en apprends beaucoup grâce à toi.
Un square magnifique qui contient mille trésors. Tu sais si bien les commenter, nous raconter leur histoire, nous les photographier.
Merci beaucoup ma Cendrine pour ce très bel article et j'attends l'histoire de cette jolie dame avec impatience.
Gros gros bisous et mes tendres pensées.
Annick
Bonjour cendrine
je suis toujours en admiration devant tes articles et j'aime en partculier cette rue pavée
5° ce matin mais avec un peu de soleil cet après midi
Je ne serai pas beaucoup présente sur mon blog cette semaine faute de temps à lui consacrer
Je te souhaite de passer une agréable fin de journée
je t'embrasseBonjour Cendrine,
Un billet de toi est toujours un pur bonheur. Tu sais si bien nous faire partager tes recherches, avec toi on apprend toujours quelque chose les photos sont magnifiques et les explications parfaitement claires un immense plaisir de lecture.
Espérant que ta santé continue à s'améliorer, je t'embrasse très amicalement
Henri.
Tu as trouvé de superbes photos d'époque pour illustrer ton remarquable sujet !
j'ai lu avec grand intérêt comme toujours et ta façon de parler de ces pierres abandonnées à la mousse et aux herbes m'a attristée
quel triste sort en effet après avoir été sur les plus beaux frontons
Si seulement les pierres pouvaient parler
j'ai partagé partout partout ,par contre il semblerait que tu n'ais pas compte hellocoton ?
biisous et merci infiniment pour ces superbes billets
Comme toujours, j'ai suivi, avec intérêt, cette visite et ai appris beaucoup de choses. J'espère que tu vas bien, que les travaux ne t'empêchent plus de circuler et qu'on pourra se voir, un jour prochain. Gros bisous
Bonjour Cendrine, c'est avec plaisir que je viens de lire et regarder ton article, c'est très intéressant...
Il me faudra plusieurs jours pour voir tous les chapitres...
Bonne journée, gros bisous
D'un paisible square se situant dans le Marais, vos connaissances et votre talent, chère Cendrine, nous emmènent aux Tuileries, en passant par l'Hôtel de ville de Paris : quel régal de vous lire, quel plaisir de voyager en votre compagnie.
Merci d'ainsi nous instruire en nous ravissant ...
Bonjour Cendrine ,
je suis très heureuse de te retrouver
Merci à toi pour l'histoire de ce square , comme à l'accoutumée tu sais nous montrer avec des documents exceptionnels le coté un peu caché de ces squares que nous ne regardons plus vraiment
Bonne journée à toi
Et prends bien soin de toi
Bises
Un tour dans le grand Paris et ...sans frais ! (sourire)...
Merci, ma chère amie pour ce voyage. Très content d'avoir de tes nouvelles.
Portes-toi bien.
Bisous.
Tahar
8AlbiréoMardi 20 Octobre 2015 à 07:58Bonjour Cendrine,
Ravie de te retrouver à travers ce remarquable article. Tes balades parisiennes sont toujours d'un grand intêret, magnifiquement mises en valeur par tes mots délicats. Merci pour ce beau voyage.
J'espère que tu vas mieux, je t'embrasse bien fort.
Reportage très complet comme à chaque fois. Mais ce que j'aime par dessus tout c'est ta photo de la statue immortelle au milieu des roses qui ne vivront que l'espace d'un matin. Une très belle image au propre comme au figuré. Bisous Cendrine. Je suis à Cergy en ce moment mais repart bientôt dans ma Vendée d'adoption. Bises
c'est un vrai plaisir Cendrine, de voir que tu a repris les écrits sur ton blog avec l'interprétation spéciale que tu fais des éléments pour que notre mémoire à tous les garde à l'abri de l'oubli.
je t'embrasse, un bon repos pour toi
a bientôt
Angie
Un admirable billet, un grand merci de partager tes photos et tes recherches. On apprend toujours des merveilles chez Toi.
La Dame de Maillol est magnifique et j'adore la couleur des roses en dessous
Bonne semaine
Prends soin de toi et plein de gros bisous
Lili
Un lieu que je découvre grâce à toi et je suis née à Paris ! Va falloir que j'y aille, tout ce qui se rapporte au palais des Tuileries m'intéresse. Merci beaucoup pour ce partage.
Et toi comment vas tu ? Toujours tes migraines ? Je te souhaite une très bonne soirée, bises Véronique.Magnifique reportage, fantastique ! J'aime tout particulièrement les photos anciennes et tes explications. Les photos sont également magnifique, notamment cette dame parmi les roses. Bises et bonne soirée. ZAZA
Bonsoir Cendrine, j'ai eu l'occasion d'aller trois, quatre fois à Paris et on revient souvent sur les mêmes lieux... merci à toi pour le billet du soir, ah Paris... amicales pensées de la part de jill, bises
C'est un remarquable reportage avec de superbes photos!
J'ose espérer que tu vas un peu mieux chère Cendrine. Tu ne donnes pas de tes nouvelles comme tu le fais parfois en début d'article!
Je t'embrasse bien fort.
Brigitte
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