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Promenade au Ranelagh Chapitre Un
Je vous invite à explorer, dans le 16e arrondissement de Paris, les allées romantiques d'un jardin ombragé par des arbres centenaires. Dans le prolongement de la chaussée de la Muette, cette parenthèse d'élégance et de verdure « à l'anglaise » abrite un kiosque à musique, un théâtre de Guignol, un ancien manège de chevaux de bois et plusieurs statues et groupes sculptés. Les promeneurs apprécieront une représentation de Jean de la Fontaine, notre fabuliste national, ancien Maître des Eaux et Forêts. (Vous découvrirez son monument dans le second chapitre de cette promenade.)
J'aime beaucoup lire et musarder en ces lieux. Je m'y suis promenée en compagnie de CHRIS dont je vous encourage à connaître (si ce n'est pas déjà le cas) le blog « Au fil des jours et des menus plaisirs ».
Chère Chris, en souvenir de notre flânerie d'amitié, je t'offre avec tendresse ces quelques fleurs, photographiées en mai 2013.
Cet espace bucolique, au plan triangulaire, fut aménagé en 1860, sous la conduite du Préfet Haussmann (1809-1891), par l'ingénieur Jean-Charles Alphand (1817-1891). Il s'étend sur une superficie de plus de 60 000 m2, à l'emplacement du « Petit Ranelagh », lieu très en vogue au XVIIIe siècle.
Sur les pelouses du château de la Muette, rendez-vous de chasse traditionnel des rois de France, un garde de la barrière de Passy nommé Morisan fit établir un « salon de danse avec café, restaurant et spectacle » que fréquentèrent assidûment les dames et les gentilshommes de la Cour.
Il faisait référence à un bal de « grande renommée » instauré à Londres par Lord Ranelagh, un noble irlandais devenu pair d'Angleterre. Ce « personnage » haut en couleurs avait fait installer dans sa propriété de Chelsea une rotonde à musique où se pressaient les membres de la bonne société.
La Rotonde du Ranelagh, 1754, par Giovanni Antonio Canal dit Canaletto (1697-1768).
(Les peintures et les gravures illustrant mon article viennent du site « The Royal Borough of Kensington and Chelsea Library » et de Gallica.bnf.fr).
Dès son ouverture, le 25 juillet 1774, le « Petit Ranelagh » fut apprécié par Marie-Antoinette et son beau-frère le comte d'Artois. Il devint le rendez-vous incontournable des nobles en quête de plaisir.
Extrait du film Marie-Antoinette, réalisé par Sofia Coppola (2006).
Le comte Charles Philippe d'Artois (1757-1836), futur Charles X, était un grand-ami de Marie-Antoinette qui partageait sa passion pour la fête et le jeu. En octobre 1777, naquit le domaine de Bagatelle, merveilleuse « folie » située à la lisière du bois de Boulogne, grâce à un pari lancé entre les deux jeunes gens.
Jusqu'en 1789, le Ranelagh fut le rendez-vous festif de la Cour et de la Ville. Fermé pendant la Révolution, il rouvrit sous le Directoire (1795-1799) et retrouva son immense popularité.
On y rencontrait les Muses de la capitale et parmi elles, trois figures emblématiques de leur époque. On appelait les « Trois Grâces » ou les « Gloires du Ranelagh ». Il s'agissait de Thérésa Tallien, de Juliette Récamier et de Joséphine de Beauharnais.
Les Trois Grâces dansant, 1799, par Antonio Canova (1757-1822).
Portrait de Theresa Tallien en muse de la poésie par Jean-Baptiste Isabey (1767-1855).
Thérésa Cabarrus ou Madame Tallien (1773-1835) fut surnommée « Notre-Dame de Bon Secours » et « Notre-Dame de Thermidor » pour avoir aidé, pendant la Terreur, plusieurs centaines de condamnés à échapper à la guillotine. Emprisonnée, elle incita son amant et futur époux Jean-Lambert Tallien (1767-1820) à provoquer la chute de Robespierre (1758-1794).
Séduisante et cultivée, amie de nombreux artistes, conteuse et comédienne, elle tenait un salon prestigieux et fut l'un des joyaux du Directoire. Elle eut des enfants avec le vicomte et homme politique Paul Barras (1755-1829) et le financier Gabriel-Julien Ouvrard (1770-1846).
Elle arborait des tenues d'une grande sensualité, se parfumait au néroli et lança la mode des perruques blondes bouclées, confectionnées avec les cheveux des guillotinées. Ces perruques firent fureur au Ranelagh.
Muse et mécène, modèle et commanditaire des plus grands peintres, collectionneuse et initiatrice des modes, Juliette Récamier (1777-1844) reçut dans son salon toutes les personnes « importantes » de son temps.
Celle que l'on appelait « la belle des belles » était une étoile dont l'éclat et les connaissances aimantèrent les cercles littéraires et artistiques. Son influence sur les arts, les idées et la culture de son temps fut dominante. Épouse d'un banquier, elle gravita dans les milieux de pouvoir et fut initiée à de nombreux projets de conspiration contre Napoléon Ier qu'elle abhorrait. Elle fut l'amie de la sulfureuse, brillante et « féministe » Madame de Staël et l'égérie des plus grands artistes. Elle vécut avec Chateaubriand une passion flamboyante.
Buste en marbre de Juliette Récamier, 1805-1806, réalisé par Joseph Chinard (1756-1813).
Sa beauté, son charme et son intelligence rayonnèrent sur une foule d'admirateurs et firent des merveilles en Angleterre où elle se rendit en 1802. Elle y reçut un accueil digne d'une tête couronnée.
Son portrait, peint vers 1805 par François Baron Gérard (1770-1837) et surnommé «la Joconde de Carnavalet», est considéré comme l’un des plus beaux tableaux de l'histoire de l'art.
Juliette y apparaît « alanguie » sur une chaise « étrusque », dans un décor rappelant celui d’une salle de bains antique. Elle lança, sous le Directoire, la mode vestimentaire « à la grecque » et joua un rôle de première importance dans la diffusion du goût « Antique » qui allait prévaloir sous l'Empire.
Elle offrit le tableau, en 1808, à un de ses amoureux éconduits, le prince Auguste de Prusse qui lui fit parvenir ces mots enflammés « Pendant des heures entières, je regarde ce portrait enchanteur et je rêve un bonheur qui doit surpasser tout ce que l’imagination peut offrir de plus délicieux ».
Après la mort du prince, en 1843, la toile fut restituée à Juliette. Elle entra en 1860 dans les collections de la ville de Paris.
Juliette Récamier lança la mode de la robe blanche en mousseline de coton importée des Indes, vêtement à la fois luxueux et imprégné de simplicité qui s'inspirait très largement des tuniques gréco-romaines. Il s'agissait d'une révolution vestimentaire car les dames de la Cour arboraient jusque là des robes en soie très larges et colorées, à paniers.
Juliette Récamier en 1800, par Jacques Louis David (1748-1825).
Le blanc était sa couleur fétiche, précieux blanc de mousseline apprécié pour sa fluidité, sa légèreté et sa résistance.
Juliette Récamier par Alexandre-Évariste Fragonard (1780-1850).
Avec un tel vêtement, la femme devient une muse, investie du pouvoir des antiques déesses.
Les robes étaient agrémentées de nombreux ornements, comme les guirlandes de fleurs brodées ton sur ton. Les bras étaient le plus souvent nus ou couverts de manches translucides donnant à la tenue un côté aérien et angélique.
Portrait de Juliette Récamier, 1801, peint sur ivoire par Augustin Jean-Baptiste Jacques (1759-1832).
Portrait de Juliette Récamier, 1807, par Firmin Massot (1766-1849). Conservé au Musée des Beaux-Arts de Lyon. Portraitiste et peintre de genre, Firmin Massot était l'un des principaux représentants de l’École Genevoise de peinture de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle.
Eau-forte gravée en 1802 par Antoine Cardon (1739-1822), d'après une miniature de Richard Cosway (1742-1821), collection privée. (Trouvée sur le site du musée des Beaux-Arts de Lyon.)
Les accessoires étaient très importants pour Juliette Récamier. Elle raffolait des perles dont elle préférait l'éclat à celui des diamants et qui s'accordaient à merveille avec ses tenues. Elle arborait souvent un châle blanc en cachemire ou un voile de coton blanc, d'une finesse extrême, dans le but de camoufler très légèrement, tout en le sublimant, le grain de la peau. Elle portait des gants montants, parfois imprégnés de parfum, des bas en maille de coton, souvent brodés jusqu'aux chevilles, et des souliers en taffetas de soie blanche ou de couleur qui ressemblaient à des chaussons de ballerine.
Chaussure de Juliette Récamier, époque Restauration, en taffetas de soie lilas. (Paris, les Arts Décoratifs, musée de la Mode et du Textile.)
La Chambre ou Portrait de Juliette Récamier, huile sur bois peinte en 1826 par François-Louis Dejuinne (1786-1844).
Joséphine de Beauharnais (1763-1814) était aussi une « muse des modes ».
Portrait de Joséphine, 1805, par Pierre-Paul Prud'hon (1758-1823).
Cette élégante créole, de son vrai nom Marie-Josèphe Rose Tascher de la Pagerie, vit le jour à la Martinique et connut une jeunesse libre et dorée avant d'épouser, en 1779, le chevalier Alexandre de Beauharnais. Deux enfants, Eugène et Hortense, naquirent de cette union.
Six ans plus tard, séparée de son époux, elle vécut à Paris une vie mondaine en dépit de ses difficultés financières. Elle fut emprisonnée sous la Révolution et faillit connaître un sort funeste mais elle fut libérée après que son mari ait été guillotiné. Elle devint la maîtresse du jeune général Bonaparte et l’épousa quelques jours avant le début de la campagne d’Italie.
Elle fut couronnée impératrice en 1804 et cristallisa la haine du clan Bonaparte en raison d'un mode de vie souvent très libre et audacieux.
Elle exerça beaucoup d'influence sur son nouvel époux mais, ne pouvant lui donner un héritier, elle dut consentir au divorce le 15 février 1809.
Joséphine à la Malmaison, 1812, par Firmin Massot. (Musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg).
Mais l'Empereur qui l'aimait toujours lui accorda une somptueuse retraite au château de Malmaison et lui fit verser deux millions chaque année.
Les Trois Grâces par Antonio Canova (1757-1822).
Les amies des « Trois Grâces du Ranelagh » étaient appelées « Merveilleuses ».
Une Merveilleuse sous le Directoire.
Portrait de Juliette Récamier, vers 1799, par Eulalie Morin (1765-1837).
Ces jeunes femmes élégantes et audacieuses suivaient une mode féminine « à l'antique » qui reflétait une plus grande liberté des moeurs et tenait compte des formes et des mouvements du corps. Cette mode permettait de danser et de vaquer à ses occupations avec davantage d'aisance. Les Merveilleuses arboraient des vêtements de couleur claire qui faisaient référence aux tuniques de l'Antiquité. Elles les appelaient tuniques « à la Cérès » et « à la Minerve », robes « à la Flore », « à la Diane » ou « à l'Omphale » ou encore redingotes « à la Galatée ». Leur décolleté était souligné par un ruban. Leurs cheveux étaient bouclés et non poudrés. Elles étaient chaussées de sandales attachées au-dessus de la cheville par des rubans entrecroisés ou des lanières garnies de perles. L'abandon du corset, du panier et des accessoires qui entravaient la liberté du corps se fit en réaction contre la folie sanguinaire de la Révolution.
Sous les vastes allées ombragées du Ranelagh, les Merveilleuses avaient pour habitude de rencontrer les Incroyables ou Muscadins, leurs équivalents masculins, grand amateurs de tenues excentriques et de parfums précieux (musc, muscade...).
Au coeur de cette frénésie des plaisirs, auprès de Juliette Récamier et de Thérésa Tallien, évoluait la délicieuse Fortunée Hamelin (1776-1851).
Fortunée Hamelin en 1798 par Andrea Appiani (1754-1817).
De la Révolution Française au Second Empire, elle séduisit par son intelligence, sa turbulence et sa beauté de nombreuses personnalités artistiques et politiques. Bonaparte, Talleyrand, Chateaubriand, Victor Hugo, entre autres, succombèrent à ses charmes. Ce portrait la fait apparaître plutôt « sage » mais la réalité était bien différente. Elle descendit un jour les Champs-Élysées seins nus et faillit provoquer une émeute. Elle était accompagnée de Madame de Châteaurenard, férue d'occultisme et surnommée Minerve et de l'excentrique Madame de Crény qui avait lancé la mode de chapeaux très originaux et d'énormes noeuds attachés dans la chevelure.
Certaines Merveilleuses se rendirent dans les jardins publics parisiens et notamment au Ranelagh vêtues de robes de gaze si diaphanes qu'on disait qu'elles portaient de « l'air tissu ». Le public fut très divisé sur la question. Si de nombreux messieurs appréciaient particulièrement la situation, des voix s'élevèrent pour dénoncer une atteinte impardonnable aux bonnes moeurs. Les « ultra Merveilleuses » durent alors renoncer à cette mise en scène de leur nudité.
Ces attitudes débridées étaient une manière d'exorciser les violences révolutionnaires. Dans ce contexte « épidermique », les Merveilleuses et les Muscadins qui avaient perdu des membres de leur famille pendant la Terreur éprouvaient le besoin de faire leur deuil de manière théâtrale et « inconvenante ».
Le temps des « Grâces » disparut lorsque les pays européens s'allièrent contre l'Empire de Napoléon et l'occupation de la capitale par les cosaques, après la Bataille de Paris, le 30 mars 1814, eut raison de l'âge d'or du Ranelagh.
Les cosaques pillèrent le Ranelagh afin de récupérer du bois de chauffage. Ces « guerriers indomptables », venus des steppes du sud de la Russie et de l'Ukraine, avaient intégré, dans le dernier quart du XVIIIe siècle, les troupes tsaristes. Leur férocité légendaire était fortement redoutée.
En 1818, le Ranelagh fut reconstruit pour retrouver sa vocation première. On le transforma en bal en 1830 puis on le détruisit en 1848 et le nouveau Ranelagh fut aménagé à partir de 1860.
Le Ranelagh est remarquable par ses grands arbres qui dessinent de majestueuses voûtes de verdure. Certains sont âgés de plus de deux cents ans.
Au fil des saisons, on se régale à contempler les métamorphoses de la lumière dans les feuillages.
Au fil des allées, des statues Belle Époque se dévoilent dans cet écrin romantique de verdure et de fleurs.
Le marbre de Caïn, réalisé en 1871 par le sculpteur nantais Joseph-Michel Caillé (1836-1881).
« Méditation », aux charmes empreints de volupté.
Ce marbre naquit, en 1882, sous le ciseau d'Edme Anthony Paul Noël, dit Tony Noël (1845-1909). Ce sculpteur très prolifique travailla pour le Louvre après la destruction des Tuileries, le Grand Palais, l'Hôtel de Ville de Paris (…) et réalisa de nombreux portraits sculptés (Molière, Le Nôtre, La Boétie, Roméo et Juliette...) ainsi que des monuments commémoratifs.
Un pêcheur ramène dans ses filets la tête d'Orphée.
Démembré par les Bacchantes jalouses de son amour pour la belle Eurydice, Orphée fut jeté dans le fleuve Euros au large de l'île de Lesbos, terre d'ivresse poétique.
Le mouvement imprègne l'oeuvre, datée de 1883 et signée Louis Eugène Longepied (1849-1888).
La lumière nous attire dans un cercle de verdure émaillé de fleurs chatoyantes.
D'après la légende, des chants mystérieux émanent de la tombe d'Orphée et des statues qui le représentent, entre ombre et lumière, aux changements de saison, quand le vent éparpille les nuages et les couleurs de la nuit... On dit aussi que le « souffle d'Orphée » propage les voeux d'amour et fait croître la végétation.
Je clos sur cette évocation poétique le premier chapitre de cette promenade et je vous donne rendez-vous, dans quelques jours, au pied du monument commémoratif à Jean de la Fontaine. Le fabuliste attend au Ranelagh les amoureux des Belles-Lettres et les visiteurs qui ont conservé leur âme d'enfant...
A bientôt donc si vous le désirez...
Bibliographie
CASTELOT André: Napoléon. Paris: Tallandier, 1969.
HERRIOT Édouard: Madame Récamier et ses amis. Paris: Plon-Nourrit, 1909.
JOANNE Adolphe: Paris illustré. Paris: Hachette, 1863.
KJELLBERG Pierre: Le nouveau guide des statues de Paris. Paris: la Bibliothèque des Arts, 1988.
PESSARD Gustave: Nouveau dictionnaire historique de Paris. Paris: Lejay, 1904.
Merci de votre fidélité, gros bisous!
Tags : fut, juliette, pari, recamier, ranelagh
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Commentaires
Pas bavarde ce matin, je suis épuisée par un superbe week-end certes mais très fatigant. Comme nous avions quitté l'ile de france pendant deux mois, il faut voir tous les amis pendant les trois semaines où nous sommes à cergy : invitations a répétition ce qui est très agréable mais on se couche tard, c'est usant. Bisous
J'avais déjà visité ce beau jardin, mais jamais en compagnie des "trois Grâces" et des "Merveilleuses" : merci Cendrine, pour ce parcours historique empli de rêverie et de poésie.
Article vraiment magnifique ! Merci pour cette belle promenade dans l'espace et dans le temps. Passe un bon week-end. Bien amicalement.
Trés interressante cette revue de toutes les galantes de la fin du XVIIIeme siécle. J ai eu une pensée pour Joséphine de Beauharnais qui fut en quelques sortes renvoyée pour faire place à une Femme plus féconde. Je suis en admiration devant le talent de tous ces sculpteurs qui ont reproduit des chef d oeuvre pleins de vérité. Paris réserve bien des trésor pour celui qui sait les découvrir. Mardi, comme tous les mois je dois aller à l Hopital de Strasbourg pour un scanner des poumons et un controle. Je te souhaite une vie plus supportable, si l on ne peut parler de Guérison. Nous sommes deux malades réunis par des maux de la méme famille, bien qu ils ne soient pas si grave chez moi.
Bonne soirée Cendrine
Latil
bonjour Cendrine,que de belles photos,j'espère que tu vas bien,chez nous il fait beau et chaud,je te souhaite un très bon Mercredi,bises
Bonjour notre Douce Fée Cendrine, notre Amie....Une reposante et merveilleuse promenade dans ces allées du jardin de Ranelagh, véritable petit Paradis! La statue d'Antonio Canova représentant "les trois Grâces" reste ma préférée! Une époque où les femmes 'étaient' des femmes.... délicates, gracieuses....fragiles..... mystérieuses Un article riche d'émotion où, si l'on prêtait l'oreille, on entendrait presque la musique de ces kiosques d'antan! J'adore la carte postale ancienne où les nombreux parapluies s'agglutinenent au pied du kiosque! Merci notre Douce Cendrine! Toi, qui malgré ta souffrance nous a envoyé de si délicates pensées! Encore et encore..... malgré notre silence.......notre souffrance....Merci pour cette amitié. On t'envoie des milliers de bisous.... le Vie reprend doucement ces droits! mais la plaie est grande.....! Prend bien soin de Toi, de ta santé.... tu es précieuse Douce Cendrine!
On t'embrasse affectueusement.... à tout bientôt Notre douce Fée!
Bonsoir ma douce Petite fée Cendrine
DFeux jours sans te voir ....snifff
Tu passeras de bons moments avec tes invités
J'espère que tu vas bien, je te souhaite une bonne fête de la musique avec des gros bisous à vous deux
Méline
Ma plume revient avec délectation se promener en ta compagnie sur ce lieu chargé d'histoire où les Belles et beaux Damoiseaux venaient faire " la fête " avec entre autre Marie Antoinette et le conte d'Artois son beau frère et plus tard d'autres promeneurs illustres et enfin toi qui te promène dans ces allées de nos jours...! afin de nous faire partager les fragrances des souvenirs historiques passées....!
A bientôt chère amie du val d'Oise que je connais si bien...!
Gégouska
Bonjour Cendrine, merci de ton commentaire qui m'explique tes ennuis avec internet à cause des travaux.. L'été commence mal, le ciel est gris, la pluie menace de tomber... Nous risquons de ne pas avoir une belle saison... Bon vendredi, gros bisous
je passe te dire bonne journée en ce jour d'été ...avec le chant des oiseaux mais toujours entre les orages et les innondations ...
bisous porte toi bien et a demain ...
douce fin de semaine
Un oiseau s’envole
Un oiseau s’envole,
II rejette les nues comme un voile inutile,
II n’a jamais craint la lumière,
Enfermé dans son vol
II n’a jamais eu d’ombre.Coquilles des moissons brisées par le soleil.
Toutes les feuilles dans les bois disent oui,
Elles ne savent dire que oui,
Toute question, toute réponse
Et la rosée coule au fond de ce oui.Un homme aux yeux légers décrit le ciel d’amour.
Il en rassemble les merveilles
Comme des feuilles dans un bois,
Comme des oiseaux dans leurs ailes
Et des hommes dans le sommeil.Paul Eluard
Bonjour Cendrine,
Tu vas aller voir des concerts pour la Fête de la Musique ? Moi je sais pas, je suis un peu patraque.
Crises de sinusite depuis deux jours, je suis restée dans le noir toute la journée.
Je te souhaite une très bonne journée, prends soin de toi, je t'embrasse bien fort, Véronique
Bonsoir,ma chère Cendrine.
Encore une merveilleuse découverte avec toi.
J'aime te lire,tu as une richesse d'esprit et une délicatesse dans ta plume,lorsque tu narres une partie de notre histoire.
Tes images sont toujours choisies avec subtilité.
Merçi à toi,de m'émerveiller ainsi.
En esperant que tu ne souffres pas trop,je te souhaite une bonne et douce soirée.Aimée
Bonsoir ma douce Petite Fée Cendrine
Elors tu as subi aussi les innondations ?
Toutes mes excuses, ceci est un copié collé
J'ai été absente du blog presque toute la journée et compte tenu de plus de 100 coms, je ne pourrai pas répondre à tous aujourd'hui
Je commenterai ton article demain
Merci de ne pas m'en tenir rigueur
J'espère que tu vas bien
Je te souhaite une bonne soirée avec de gros bisousà vous deux
Méline
bisous et douce soirée ici les orages sont loin le soleil brille après une matinée grise ....
a demain
Bonjour Cendrine, le ciel est nuageux mais le soleil brille un peu de temps en temps... J'attends avec impatience la suite de ton article.. Bon jeudi, gros bisous
Un bien joli billet, baigné par les rayons de soleil qui nous mettent du baume au coeur après cette déferlante d'orages et d'éclairs. Aux premières photos, j'ai cru me retrouver transportée aux Pays Bas parmi les chatoyantes tulipes, mais non, me voici dans ce magifique jardin du Ranelagh. Une promenade dans laquelle tu nous transportes avec ravissement, nous voici en charmante compagnie! Et je te trouve d'ailleurs une douce ressemblance avec la jolie Juliette Récamier...
J'ai lu tes commentaires et je suis désolée d'apprendre les dégâts causés par ces violentes intempéries. Moi non plus je ne me souviens pas avoir déjà connu pareils orages, surtout à cette période de l'année...Beaucoup de foyers se retrouvent dans le désarroi...
Je cours à ma boite mail lire ton message...gros bisous Cendrine et que cette journée te soit douce!
bonjour Cendrine,j'espère que tu vas bien,chez nous il ne fait que pleuvoir et le ciel est sombre,mes roses pourrissent sur le pied,je te souhaite un très bon jeudi,bises
Bonjour Cendrine,
Oui tu a vu, même ici à Paris les rues sont inondées. Du moins dans le 19ème, certaines rues sont impratiquables ! c'est pas normal tout ça, moi je te le dis. Tu fais souvent des hémmoragies, n'y a t'il pas un moyen, au moins pour ça, pour les arrêter ? Comme tu es courageuse mon amie. Ton mari doit te soutenir, ça compte beaucoup.
Moi c'est pas trop ça non plus, mais bon, moi personne ne peut rien pour moi, on ne peut rien faire contre les fous, à part les enfermer. Mais je n'ai pas le pouvoir pour ça, alors je dois supporter.
Je te souhaite un bon jeudi, ne te fatigue pas surtout, pas d'imprudences ... Je t'embrasse bien fort, Véronique
Bonsoir chère Fée Cendrine
Je suis un peu surbooké en ce moment, mais quand j'ai vu un de tes commentaires chez Méline, comme quoi tu avais des hémorragies, je n'ai pas résisté à cliquer sur ton lien et laisser de côté mes impératifs, pour te rendre visite, impuissant que je suis à pouvoir te soigner, mais assez pour venir te soutenir par ces quelques mots d'amitié, ne serais-ce qu'à l'instant même de ma visite une amélioration de ta santé se face ressentir.
J'en ai profité pour revoir toutes ces images flamboyantes au passé évocateur d'une vie pas si arriériée que certains pourraient le penser et je t'imagine bien dans le rôle" mythique" d'une de ces trois grâces...
De tout mon coeur, je te souhaite un bon rétablissement
Bisous et douce nuit
Amitié à Christophe qui j'en suis certain te soutient énormément dans ces moments de fragilité
Le Noctamplume
bonjour cendrine
aujourd'hui ce fut une journée très chaude et orageuse
passes une bonne soirée
gros bisous
Bonsoir Cendrine,
Je viens de rentrer, juste avant l'orage. Tu a vu ce qui tombe ? c'est incroyable ! et l'été qui doit arriver, soi-disant, dans 2 jours ! pfff !
Je te souhaite une très bonne soirée, prends soin de toi, amitié, bises, Véronique
Bois de Vincennes :
Bonsoir ma douce petite fée Cendrine
J'adore mes sculptures, c'est un régal
Ici l'orage a grondé, ça m'a gavé, j'espère que je ne vais pas perdre mes massifs de tulipes blanches qui sont toutes si bien fleuries
Bonne soirée ma puce avec de gros bisous à vous deux
Méline
Cette visite au Ranelagh en compagnie des grâces et des merveilleuses est un enchantement, j'adore tes pages d'histoire si vivantes qui rendent le passé présent. Continue de nous transporter dans ces dimensions intemporelles, je t'embrasse fort, et prends soin de toi.
Quel bonheur de te lire et de regarder tes magnifiques tableaux!..U véritable voyage dans le temps et si délicatement présenté!
Je pense très souvent à toi!
j'espère que tu ne souffres pas trop mais avec le temps que nous avons eu cet hiver,difficile j imagine!
Bien amicalement!
françoise
ici aussi l'orage mais ensuite le soleil est revenu et pour le moment pas trop dégats ...
bisous et belle journée
82Shuki
Mercredi 19 Juin 2013 à 16:22
Chère petite Fée, je viens de me perdre dans les allées du Ranelagh, de découvertes en découvertes dans les méandres de l'histoire de notre pays. Merci Cendrine pour cette merveilleuse page illustrée et documentée. Je ne sais rien de tes problèmes de santé mais je devine qu'ils sont conséquents et je suis réellement admirative devant le travail que représente des reportages comme ceux que tu réalisent. Franchement un grand merci à toi, j'apprends énormément à ton contact et j'en suis ravie... Je suis allée visiter le blog de ton amie Chris et me balader dans le parc près de chez elle, ce fut avec grand plaisir... Chère Cendrine, prends bien soin de toi, je t'envoie toute mon amitié avec de gros bisous, et merci pour ta fidélité et tes petits mots gentils, Shuki
coucou cendrine
mon internet fonctionne un peu mieux aujourd'hui et j'en profite pour passer sur ton joli blog
le temps est bien orageux chez-nous aujourd'hui et je n'aime pas du tout les orages
Je te souhaite de passer une bonne fin de journée
gros bisous
janine
coucou cendrine
mon internet fonctionne un peu mieux aujourd'hui et j'en profite pour passer sur ton joli blog
le temps est bien orageux chez-nous aujourd'hui et je n'aime pas du tout les orages
Je te souhaite de passer une bonne fin de journée
gros bisous
janineBonjour,
Je viens de lire votre commentaire à l'instant, et maintenant je comprends pourquoi je n'avais plus de vos nouvelles depuis un certain temps. Je ne sais pas quoi dire pour essayer de vous remonter le moral lorsque je lis l'importance de toutes vos douleurs et surtout le fait qu'apparement vous n'avez aucune solution pour soulager les conséquences de votre pathologie infernale! En lisant les différentes options que les médecins vous ont proposés, je ne sais pas quel solution j'aurais choisi si j'avais été dans cette situation, mais bon la première solution que vous avez évoquez dans votre commentaire est certainement la moins risqué mais elle ne vous débarrassera pas de vos douleurs. Comme vous m'avez expliqué en détail votre pathologie, lorsque je verrais mon médecin je lui montrerais les infos que vous m'avez donné et voir ce qu'il me dira, mais bon à mon avis il sera tout aussi effaré que moi de savoir à quel point vous souffrez physiquement. Dans l'hypothèse ou il aurait déjà entendu parler d'une telle pathologie, il sera peut-être en mesure de donner son avis qui pourrait peut-être vous aider dans votre choix, mais bon je pense que vous devez certainement avoir d'excellents médecins qui s'occupent de vous, car à Paris en général il y a toujours ou du moins souvent les meilleurs professeurs en médecine. Lorsque j'étais enfant dans les années 60 et 70 c'est à Paris que je me faisais opérer pour mon hermaphrodime vrai car à l'époque aucun hopital de province ne traitait ce genre de pathologie rare. Je me plains de ne pas avoir une vie de couple à cause de cette saleté de malformation, mais bon je peux vous dire qu'en lisant votre commentaire je mesure la chance que j'ai d'être né avec un hermaphrodisme vrai comparativement à une pathologie comme la vôtre qui est vraiment un véritable calvaire à supporter. C'est très curieux, mais hier je discutais avec une personne qui me disait qu'il y avait certainement des personnes plus à plaindre que moi au niveau handicap, et aujourd'hui en lisant votre commentaire je constate à quel point c'est vrai. Je ne sais pas si toutes vos correspondantes connaissent votre pathologie, mais bon si c'est le cas je pense qu'elles doivent être tout aussi horrifié en lisant la description que vous faites de toutes vos douleurs. Je ne connais pas toutes les médecines parallèles dont vous parlez dans votre commentaire, mais bon j'ai bien l'impression que vous avez vraiment tout essayé, mais bon soyez prudente car il existe aussi ce que l'on appelle des charlatans il faut être prudent avec les médecines dites...alternatives! J'espère que vous me tiendrez informé de votre santé car bien que je ne vous connaisse pas en vrai je comprends sans trop de difficultés votre situation et je n'imaginais pas que vos souffrances étaient aussi importantes que celles que vous décrivez dans votre commentaire. Je vous souhaite néanmoins une bonne fin de journée, et merci pour votre sincère et fidèle amitié.
merci de ta visite très chère fée....venir te l'écrire : un moment enchanté.....car je regarde à nouveau ton article éclaté....des plus belles couleurs étoilés.....tu es bien la reine des fées....merci
bisessssssssssssss
claude
75Miss MaryMardi 18 Juin 2013 à 13:22Bonjour Cendrine, je suis ravie de te retrouver sur la blogo de l'amitié..... Je revois avec grand plaisir ton magnifique reportage si bien illustré..... Bonne journée ensoleillée sur Paris, bisous à bientôt. "Miss Mary"
Bonjour Chère Cendrine,
Tu as une façon bien à toi de nous faire voyager... Dans le temps et dans des endroits que toi seule connais (c'est l'impression que me laisse chacun de tes articles). Et si cette page d'Histoire n'a échappé à personne, sur ton blog elle resplendit par son élégance et son charme. Tes recherches et ton savoir sont un plaisir. Merci pour ce temps passé, destiné à émerveiller chacun.
Je répondrai à ton mail très prochainement. Je reviens doucement sur les blogs après mon absence.
Douces pensées, et toute mon amitié.
Je t'embrasse,
Cathy.
73Henri de Margaux
Mardi 18 Juin 2013 à 10:35
Bonjour Cendrine,
Très en retard pour mon commentaire, j'en suis désolé, (je ne pense pas avoir eu la news ?) Un petit mot aussi concernant mon billet sur la réforme des retraites, en le relisant j'ai réalisé que j'avais mis une virgule inutile entre gros et fonctionnaire ( il fallait lire "gros fonctionnaires")cela pouvait changer le sens. j'ai dans ma famille de nombreux fonctionnaires. Ce n'est pas bien sur sur cette catégorie qu'il faut s'acharner. j'espère que ton mari et toi me pardonneront cette faute de frappe qui, c'est vrai pouvait prêter à confusion. Bises trés amicales et à trés bientôt j'espère.
Henri.
Bonjour Cendrine, c'est ma fille qui a eu l'idée de photographier les pivoines en fleur.. J'en ai encore deux autres pieds : un rose et un rouge.. Je les prendrai en photo lorsque les fleurs seront ouvertes.. Enplus qu'elles sont belles, elles sont odorantes.. Il a plu cette nuit, mais le soleil est de retour ce matin.. Bon mardi, gros bisous
coucou je passe avec un magnifique soleil et pas d'orage prévu ... je reste pas devant l'ordi ... a demain
Bonjour Cendrine
Le temps est fou et ça rend dingo. Cette année on peut dire que l'on est pas vraiment gâté. Bref depuis quelques mois les
conversations tournent autour de la météo, bâ !
Sinon comment vas-tu ? As-tu bien dormi, es-tu prêt pour bien commencer ce mardi ?
Ca fait plaisir de venir te rendre visite et me poser un instant avant de partir vers d'autres cieux. Un bon café ou autre chose ?
J'aime beaucoup tes articles et contempler ton travail d'artiste, d'écrivain, de météorologue, de jardinier(e), de comique, de
scrapeuse(eur), d'astucieux truceur(euse), de poète, de conteur(euse), de journaliste etc etc..., vous avez tous tellement de
qualités.
Allez Lolli arrête de bavarder, la grande aiguille de l'horloge court, tu vas être en retard.
D'accord, d'accord !
Je me sauve, prends soin de toi et bonne journée.
Lolli
J'ai habité longtemps (14 ans) RUEIL MALMAISON et j'ai bien entendu visité le château de la Malmaison, visite guidée très intéressante. Cela m'a permis de m'intéresser à Joséphine de Beauharnais. Je ne sais pas si tu l'as visité ce château. Bisous
Bonsoir chère Cendrine, ma plume vagabonde avec plaisir dans ce si joli parc que tu décris si bien.
Un grand merci pour ce partage. Ma plume repart en te laissant mon amitié
Ma très chère Cendrine,
Comme promis, je viens honorer ton article qui rend un bel hommage, par sa référence historique à une très belle page de notre histoire de France, sous la beauté, le charme, l'élégance, la grâce, mais SURTOUT L'INTELLIGENCE D'ESPRIT FEMININ, d'un Directoire... Une magnifique promenande, une remontée à travers le temps, comme je les aime ! Un parfum envoûtant qui se diffuse à la mémoire du temps ! HOMMAGE ET HONNEUR, à "ces têtes couronnées" de lauriers, admirées par de nombreux érudits, artistes, de l'Epoque ! Et dont "La grâce qui siégeait en leur personne, ne s'arrêtait point uniquement à leur plasticité ! Dont je rends grâce divinement... en mes mots formulés (rires...) Effigies qui furent Muses, Mécènes, inspiratrices à tant d'esprits masculins, en ce temps là...qui les célébrèrent si glorieusement à travers leurs différentes oeuvres artistiques ! Tout comme tu me l'as si gentillement formulée en "pensées exprimées", tu me fais plaisir, d'avoir eu ces pensées pour moi, quand tu as abordée, cette "Muse d'un Directoire" Juliette RECAMIER, et surtout tu ne peux me faire plus grand plaisir, que d'y avoir insérée, ce tableau que j'aime tant et qui lui rend vraiment, tout l'ampleur, la splendeur, de sa grâce, peint par François GERARD, dans la représentation et l'essence même de son ÂME artistique... Ce tableau, mon préféré, comme tu le sais si bien mon amie, puisqu'il figure sous l'un de mes écrits dont je lui consacre un bel hommage et dont tu avais beaucoup apprécié sa lecture...je me souviens de tes mots, où tu disais, que seule une poétesse pouvait lui rendre son élégance, et dont tes mots m'avait beaucoup touché, aussi, tu ne peux savoir combien cet article, m'a beaucoup émue....J'aurais beaucoup aimé vivre à cette époque, où je me reconnais, par la richesse d'un savoir, et l'Amour des Arts... ces allées du jardin de Ranelagh, me font penser à mon Parc de la Pépinière à Nancy (Ville par excellence qui honore aussi les Arts !) parce que j'aime m'y promener, avec son kiosque à musique d'époque, son théâtre de Guignol, et ses statues aussi ! Comme quoi, notre univers se ressemble tant mon amie ! La luxuriance de ton article fait honneur à ce savoir puisé aux arcanes de la mémoire du temps ! Quant à la statue d'Antonio Canova représentant "les trois Grâces", elle a toujours été ma préféré, Canova, ce sculpteur que j'affectionne énormèment ! Qui figure aussi sous des articles postés sur mon blog, notamment pour Tercshipore muse de la Danse ! Je te remercie pour cette richesse et ton talent artistique, ton érudition mon amie, née de cet amour, cette passion pour l'Art, dont nos âmes s'enlacent par leurs affinités et nombreux points communs ! Si j'étais Juliette RECAMIER, je te couronnerais la tête de lauriers d'Or, et tu figurerais parmi les "Grâces de ce Directoire" ! Pour finir, je dirais que j'aime beaucoup la statue "la méditation", tout en charme et voluptés ! Mon amie, permet-moi d'apposer sous ton article si savemment exposé, ce poème, que tu avais tant aimé, et qui pour te rendre un bel hommage, je me dois de te dédier, ici, avec mon profond respect et admiration....MA ROSE D'AMITIE. Prenez soin de vous deux, gros bisous....Corinne (Cronin)
" Grâce d'un Directoire"
Je fus l’une des trois grâces d’un Directoire,
Beauté et charme, en noble mémoire,
Des paysages, aux styles étrusques,
Où intelligence, passions ne s’offusquent…
Vêtue de mes goûts, divines toilettes,
Drapée à l’Antique, muse grecque,
Tel un théâtre et sa mise en scène,
Ma prestance fut digne, d'un mécène...
Sobre, élégante et raffinée,
Ma séduction, fût alors cultivée…
Et dans mon beau salon, improvisé,
Donnait ainsi rendez-vous aux lettrés…
Si ma cour, d’admirateurs me vantait,
Grâce, beauté chaste, j’émerveillais,
Par ma féminité, leur amitié.
Par mon statut, su être respectée…
Des soupirants, de leurs lettres d’amour,
Je consolais par l’honneur, en retour,
Sans faillir, à mon rang, mon image,
Je fus auprès des hommes, un bel hommage…
Et si au sein d’un empire, dans l’ombre,
Fût figure de clé d’opposition,
D’un régime, bien loin de leurs pénombres,
Recevait louanges, en réceptions…
Le culte du talent, témoignage
D’affection, en œuvres d’arts et gages,
De liens liés, en trésors conservés,
Furent à mon doux cœur, immortalisés…
De par mon caractère sentimental,
J’édifiais ainsi style monumental…
Peintres, sculpteurs, en bustes et toiles,
Couronnèrent mon nom, d'effigie d'étoiles…
Mes liens profonds avec madame de Staël,
Mirent en lumière, mon visage de vestale,
Car de sa candeur et sa pureté,
Postérité à ce siècle, fût encensée...
J’ai laissé à ce temps, correspondances,
Admiration, courtisée en fragrances…
Mon empreinte d’amour, artistique,
Où tout ne fut qu’éloges en musique…
"On Tombe d'amour à ses pieds...
et on n'y est enchaîné par le respect."
(Chateaubriand parlant de Mme Récamier).
Corinne (Cronin)
bonjour cendrine
c'est un peu de rêve que je découvre en venant sur ton blog,il est tellement beau et instrutif
passes une bonne fin de journée
gros bisousJe viens de téléphoner à « alsatis »
Le site est toujours en travaux et il n’a pas d’autre information
J’ai eu un peu de débit ce matin ,mais cet après-midi c’est trop lent pour ouvrir certains blogs
je fais de mon mieux pour répondre à vos coms
je vous souhaite une bonne fin de journée
janine
Bonjour Cendrine,
Super orage ce matin sur Paris, chez toi aussi je suppose. Du coup j'ai débranché mon ordi, on ne sait jamais.
J'espère que tu vas bien.
Bon lundi, prends soin de toi. Je t'embrasse bien fort, ton amie Véronique
Bonjour ma douce petite fée Cendrine
Je me lève complètement enfarinée après la fatigue d'hier, plus la santé pour ....Ma journée à Rouen, bien que fatigante, fut un vrai bonheur de voir ces somptueux seigneurs de la mer que je mettrai sur mon blog après le tri de mes photos
Bonne journée ma beauté avec de gros bisous à vous deux
Méline
Bonjour Cendrine, il pleut ce matin, on se croirait en hiver tellement il fait sombre... Il nous faudrait bien un grand homme pour redresser la situation de la France... Bonne journée, gros bisous
J'aime bien les kiosques à musique et les gloriettes dans les parcs
Un air de nostalgie s'en dégage
Bon et doux lundi Cendrine
Bisous
timilo
Coucou Cendrine!
Il y a 2 mois tu étais passée chez moi pour me chipper du chocolat ;-))
, alors à mon tour je viens te demander si je peux bien t'emprunter les chaussons de la danseuse?! lol!
Coucou chère Fée Cendrine
Je m'étais promis, mais j'ai bien cru que je n'y arriverai pas et j'arrive en retard, pour souhaiter un très bon anniversaire à ton gentil et merveilleux mari Christophe
J'espère qu'il me pardonnera, mais je pense qu'avec tous les cadeaux qu'il a eu lui venant de sa tendre épouse, il ne relèvera pas cette bévue de ma part (rire)
Je t'embrasse de tout mon coeur
Toute mon amitié à Christophe
Monique vous fait un gros bisou et souhaite également un bon anniversaire à Christophe
Douce nuit les amoureux, ne faites pas trop de folies, j'ai vu Cupidon traîner sur les nuages de la joie et du bonheur passant au dessus de votre couche
Le Noctamplume
Bonsoir ma Cendrine,
Me voilà enfin, mais hier j'étais de sortie. Hier je suis donc allée à Vincennes, avec mon amie Stéphanie et mes 3 filles, Aline, Yaël et Sarah : Parc Floral le matin, ensuite pique-nique vers 13 h et l'après-midi Bois de Vincennes et lac des Minimes. J'ai pris plus de 800 photos !
Et toi, es tu sortie un peu ?
Je te souhaite une très bonne soirée, prends soin de toi, amitié, bises, Véronique
J'ai bien fait d'attendre le bon moment bien au calme pour lire ton merveilleux billet !
encore un article enrichissant , tout y est si bien détaillé qu'on a l'impression que tu es là à coté de nous à servir de guide !!
c'est épatant tout ce que l'on peut apprendre grâce à toi !
Je n'iame pas la musique mais j'aime les kiosques à musique des jardins parisiens. En promenant mes petites filles, Je m'arrête souvent au parc Georges Brassens à côté du kiosque à musique et j'ai eu parfois la chance d'y voir un orchestre. Bises
Bonjour Cendrine
Une belle journée pour les papas, si tu es dans ce cas, je te souhaite une belle fête avec les personnes que tu aimes.
Si tu es plutôt une maman, mamie, enfin une gentille dame etc, je te souhaite aussi d'être bien entourée par ceux que tu aimes.
J'espère que le soleil va briller et que dans tous les coeurs il y aura
du bonheur.
Je dépose toute mon amitié et mon café pour bien commencer ce dimanche.
Prends soin de tous ceux que tu aimes de loin ou de près.
Lolli
Bonjour Cendrine, j'ai perdu mon papa il y a longtemps... Ma fille ne peut souhaiter la fête à son père car il est décédé il y a bientôt 5 ans...Il ne reste que Jérémy (mon petit-fils) qui n'a plus de papa , lui aussi...mon gendre étant décédé ... Aujourd'hui, sera un jour comme les autres pour nous... Bon dimanche, gros bisous
Toutes ces dames qui ont fait l'histoire
Joliment écrit...
Bon et doux dimanche CENDRINE
Bisous
timilo
coucou cendrine
de bien belle fleurs j'ai l'impression d'avoir le parfum qui arrive chez moi
merci je vais mieux mais je dois faire des controle
pas d'imprudence a faire
mais je suis raisonnable
bon weekend de gros bisous mon amie
49Promeneur75Samedi 15 Juin 2013 à 20:16Plus d'attention et de sérénité pour apprécier à sa juste mesure votre dernier article!
Je réaffirme mon premier commentaire en regrettant que la période de la Révolution comme de l'Empire soient toutes deux des moments pourtant incontournables de notre histoire de France et que le système scolaire s'empresse de parcourir en très peu de temps en insistant sur quelques points essentiels sans doute mais qui retracent que peu la période.
Sans doute la révolution avec la prise de Bastille, la fin de la royauté et après quelques empereurs ( Napoléon le grand et son filleul le petit) nous arrivons à la troisième République.... Voilà ce que je me souviens de cette époque telle que présentée par les manuels d'histoire de mon époque. Et je crains fort qu'actuellement les choses ne se sont pas améliorées !
Bien heureusement que j'ai découvert et approfondi mes connaissances historiques en dehors du circuit scolaire sans quoi me serait manqué l'essentiel. Mais votre vision des choses à travers cet articles est très intéressante. Vous allez plus loin à travers sans doute l'histoire des Arts comme témoin en insistant sur les moeurs et société de cette époque. Merci à vous.
Ci-joint un cosaque justement en tenue de lépoque napoléonienne extrait de http://artcorusse.org/?p=3596
Sans doute ces hommes ont-il effrayé la France et ont fortement contribué à un effort militaire conre l'Empire. En France, outre un vague souvenir de quelques dépradations, massacres (en retour de ce que les troupes de l'Empire ont pu commettre à l'étranger, un juste retour des choses) l'expression la b=plus courante qu'on leur doit c'est "bistro" . Vite vite disait le cosaque assoiffé à un aubergiste français. Gare à qui n'allait pas vite à les servir ... et vite ça se dit justement bistro.
Bonjour ma douce Petite fée Cendrine
J'espère que tu as passé un bon samedi
Toutes mes excuses pour ce copié collé
Ekla a été en panne tout le matin et je pars cette nuit pour Rouen , bien sur, c'est pour voir ''Armada de la Liberté", je rentrerai très tard le soir, je vais attendre de voir tous les voiliers prendre la mer, je ne pourrai répondre aux coms demain mais j'espère vous rapporter de belles photos si tout va bien
Bonne journée mes fidèles amis avec de gros bisous à vous deux
A lundi ma beauté
Méline
Bonjour Chère Fée Cendrine
J’apprends d’entrée quelque chose, je ne savais pas que Jean de la Fontaine avait été Maître des eaux et Forêts.
Je suis allé vérifier, je croyais que c’était la Chris que je connais, mais rien à voir, mais c’est le même genre de blog, par-contre les billets sont sur Marseille et ses alentours, donc ravi de découvrir ce nouveau blog et par la même occasion ton amie.
J’en profite pour me réjouir les yeux en regardant le cadeau de belles fleurs que tu lui as fait.
Une chose est certaine, c’est que ces lieux étaient fort fréquentés du temps des rois de France, j’aime cette ambiance de fête au grand air et si je comprends bien les pelouses du château de la Muette se trouve à proximité de l’espace aménagé par le Préfet Haussmann ?
La Rotonde du Ranelagh est magnifique, ce qui est un peu moins joli c’est de voir ces grandes dames dépenser des fortunes sur les tables de jeux.
Oui effectivement, on perçoit un net changement dans la coiffure quand on admire le portrait de Theresa Tallien et je n’aurai pas pensé que c’était une perruque et encore moins des cheveux de guillotinés, mais où s’arrête la symbolique ?
Quant à la belle de belles on sent une longueur d’avance sur son temps
Une belle histoire que celle de Joséphine, mais Fortunée Hamelin n’a rien à lui envier.
Dommage que les cosaques ont pillés le Ranelagh et mit un terme à cette coutume, nous aurions pu en constater l’évolution, parce que maintenant tu te plais à y regarder la métamorphose de la nature que la charme et la sagesse des statues ramènent à plus de naturel en y insufflant l’inspiration poétique au détriment de celle plus vestimentaire (rire)
Je t’embrasse douce Fée porteuse d’érudition, en espérant que tu te portes bien
Amitié à Christophe
Le Noctamplume
46flipperine
Samedi 15 Juin 2013 à 16:5145paris-a-nuSamedi 15 Juin 2013 à 16:45bonjour Cendrine,
heureux de vous retrouver après 1 mois 1/2 d'absence sans internet. Séjour superbe en Corse avec notamment une randonnée pédestre de 7 jours de Corte à Piana ..... pas facile physiquement mais c'est tellement beau ! Mon fils avait pour mission de publier 3 articles préparés avant mon départ Merci pour vos commentaires que j'adore.
Je retrouve avec grand plaisir votre superbe blog. Je commence par le jardin du Ranelagh.. une découverte pour moi !
Progressivement je vais lire les autres articles parus ces dernières semaines, je m'en régale à l'avance.
gros bisous
gérard de paris-a-nu
bonjour cendrine
merci pour nous avoir fait visiter ce jardin féérique et de nous avoir rappelé otre histoire de france
Ma connexion aujourd’hui fonctionne un peu ,mais elle est encore très lente ,j’en ai ras le bol
Je te souhaite de passer un bon week-end, peut-être le passeras-tu sous le soleil?
janineComme toujours, ton billet et superbe ! J'aime la manière dont tu l'as traité en mêlant les époques, les saisons. Ce jardin serait encore plus beau sans les routes qui le traversent mais on les oublie facilement. Le quartier alentour n'est pas mal non plus et bien que bâti, des jardins prolongent le Ranelagh.J'aime bien Passy aussi. De chez moi, j'y suis e vingt minutes et quand j'ai envie de faire du lèche-vitrines, je m'y rends volontiers. Il y a aussi quelques uns des immeubles de Guimard. Alors quand cela te dit ...
Gros bisous à tous deux !
Coucou chère Cendrine,
Quelle merveilleuse (c'est le cas de le dire !) promenade tu nous offres ici... J'adore toujours découvrir Paris sous ta plume car j'apprends plein de choses...
Et j'ai hate de lire la suite avec la statue de Jean de La Fontaine, j'avais immédiatement pensé à toi lorsque je l'ai vue l'année dernière...
A très bientôt
Amitiés d'Isa-Marie
là on arrive en saison de tourisme les billets de train sont cher ... mais si jamais je trouve une promo je te dirais
bisous et bon we ici le ciel bien noir ce matin ... un orage arrive
Bonjour Cendrine, une deuxième lecture est indispensable pour lire tout ce que tu as mis comme renseigenements ... Il y a de très belles photos et de belles peintures... Le soleil brille ce matin.. Bonne journée, gros bisous
Sous votre plume à nouveau, que voilà une très intéressante découverte d'un coin de Paris et bien plus intéressante encore de ces pages de l'Histoire de France - dont certaines un peu marginales à mon sens, avec les "amours" des people de l'époque, fussent-ils Chateaubriand ou Hugo ! - , que vous tournez pour nous, Cendrine.
M'a toutefois extrêmement choqué, car évoquant de bien tristes gestes des temps nazis, cette mode de porter des perruques "confectionnées avec les cheveux des guillotinées" : de l'extrême noirceur humaine dans autant de blanc et de frivolités féminines, voilà un fait historique peu glorieux que j'ignorais complètement ...
Je m'interroge sur ces trois grâces qui déjà ont modulé ma poésie mille fois
http://lapoesiedetimilo.blog50.com/archive/2013/04/30/mes-trois-graces.html
Bon et doux samedi CENDRINE
Bisous
timilo
Oh Cendrine quel bel article... à la fois instructif et fort bien illustré... il y a l'histoire, il y a l'art (des portraits superbes, j'aime particulièrement ceux consacrés à Madame Récamier) et le plaisir des yeux pour cette promenade au Ranelagh.. Paris regorge de merveilles...
Merci à toi pour ce beau périple. Bises
36Tina LSamedi 15 Juin 2013 à 02:04Ces belles dames nous enchantent avec leurs portraits, elles prennent vie dans tes mots. Juliette Récamier est une beauté magnétique, ses yeux,s abouche, sa silhouette ont dû faire tourner les têtes, ça ne m'étonne pas. Merveilleux article ma Cendrine comme toujours,on n'est jamais déçu en venant te voir.
KISSOUS ma belle. Je pense à toi.TINA.
35NessaVendredi 14 Juin 2013 à 21:33Bonsoir,Cendrine ! Ton blog est un verger en fleurs !C'est très beau! Comment tu vas,ma chère amie?J'ai hâte d'avoir de tes nouvelles. Bisous. Tahar
Bonsoir ma douce petite fée Cendrine
Être accueillie avec des fleurs c'est magnifique
Je suis rentrée un peu fatiguée de l'hopital de Lille pour des exams de la gorge
Mais je passe te souhaiter une bonne soirée avec de gros bisous à vous deux
Méline
Bonjour Cendrine,
Une belle époque où la Femme était féminine et élégante, certains diront un peu trop, soit, il faut un juste milieu, je déplore que de nos jours l'on puisse aller à dans certains lieux sans s'habiller, sans pour ccela tomber dans l'excès.
J'ai toujours été admirative devant les portraits de Mme Récamier, cette femme était d'une grande beauté et d'une parfaite élégance, de même que Joséphine de Beauharnais .... quant à Mme Tallien, comment pouvait-elle porter une perruque confectionnée avec les cheveux de femmes guillotinées, elle ne fut pas la seule, mais je sais que je n'aurais pas pu ... c'était une autre époque !
Je ne connais pas ce parc, mes pas m'ayant conduits le plus souvent au jardin du Luxembourg, au parc Monceau et aux Buttes Chaumont.
Très belle soirée à toi.
Bisous.
Prima
hoo belle la lys et tes anciennes gravures aussi! les dames y sont si élégantes! l'elegance disparait de nos jours! elles sont gracieuses!
tes articles me font connaitre et aimer Paris ...alors que d'étre allée deux fois a Montmartre m'avait découragée de cette ville ... faudra que j'essaie d'y retourner mais avec toi comme guide ....
mon passage en cette soirée qui est encore pleine de soleil ... le ciel est bleu sans un seul nuage! j'espère que le we sera aussi comme ça !
bisous et a demain
- Paul VERLAINE (1844-1896)
Le ciel est par-dessus le toit
Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.
La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?Cendrine, ma chère Amie,
«Il faut cultiver notre jardin», nous a enseigné Voltaire. Depuis des siècles, l'homme s'y emploie.
À la fois omniprésents et éphémères, sauvages et soumis, les jardins sont vite devenus une source d'agrément, voire de réflexion et d'expression artistique.
À l'heure où les zones construites ne cessent de s'étendre au détriment de la nature, remontons les siècles pour relire la riche histoire des jardins et comprendre l'amour que nous portons à ces coins de terre qui demandent tant de soins.
Intermédiaire entre la Terre et le ciel, symbole de la fertilité, le jardin est un lieu béni dédié au repos et au bonheur .Celui-ci est décidément une oeuvre d'art !Il y a des mots que le vent te souffle, des phrases subtiles, des résonances multiples qui te viennent d’avant . Il y a des mots qui te passent par la peau lorsque tu caresses une feuille. Il y a ce chant que te murmure la terre, ce chant universel qui te relie à l’infini ...Ton savoir est d'une rare élégance .***MERCI*** de nous le transmettre .Merveilleuse Fée que tu es .
Je t'embrasse de tout coeur .Bien affectueusement .Véronique.
p.s. Il me semble que le domaine de Bagatelle fut construit bien avant 1977
bonjour, de très belles photos de ce jardin que je ne connais pas! quant à Juliette Récamier, elle était très belle,elle fut le grand amour de Châteaubriand; je te souhaite une bonne soirée bisous
je suis en admiration devant tes photos. Quel temps passé pour réaliser un tel article. Je te souhaite un bon week-end, gros bisous, Patricia
je suis sans mots pour décrire la beauté de ton article, comme d'habitude je vais revenir encore pour relire ce bel article avec plus de temps car lui le merite.
Bon week end Cendrine et gros isous de la Catalogne.
Rosa
Bonjour Cendrine
En flânant chez toi j'ai perdu la notion du temps et quand j'ai relevé le nez et bien il s'était écoulé plus d'une heure. Rire!
Bon ce n'est pas bien grave..Car j'ai encore découvert de belles fleurs et je descèle veaucoup de tomantisme dans ces lieux et dans la manière où tu nous les présente.
C'est toujours avec ravissement que je me plonge au coeur de tes articles....Mêê si j'en oublie tout ce qui m'entoure...
Bisous et belle journée
EvaJoe
PS: Je suis allée voir le blog de ton amie Chris et là aussi on se laisse déborder par les émotions...
Merci à toi de nous l'avoir suggéré.
Eva
Bonjour Cendrine, quelle magnifique balade je viens de faire
, je connais ce jardin car j'ai habite dans le 16eme plusieurs annees 
et je dois te dire qu'il etait mon petit coin de verdure car il n'y a pas beaucoup de vert dans cet arrondissement a part Parc le gazon du Parc des Princes
..Bien sur, chacun fait comme il lui plait. J'adore ces portraits de belles femmes romantiques..en robe de gaze ou de mousseline, quelle volupte. Les tulipes sont magnifiques. Ton amie a eu beaucoup de chance de faire cette balade avec toi! Gros bisous Cendrine et bonne soiree. Sylvieveinard MR CHRIS.....une balade aussi belle , tendre, romantique, fleurie....tout y est pour le bonheur et la poésie....le romantisme y est bien vivant...avec toi à ses côtés....les instants devaient êtres enchantés.....
avec toi il ya la note culturelle....tu es une fée à la lumière éternelle....chaque épisode est un moment de magie....pour rayonner et faire battre le coeur avec les trois grâces : belles....charmeuse fée....plume....à l'encre d'or....merci.........;j'espére que tu sois bien..........bisesssssssssss
claude
Bonjour Cendrine,
Quelle magnifique balade, que de merveilles ♥ ces fleurs sont sublimes, ces statues et tous ces portraits, quel romantisme et toujours autant de recherches, bravo et merci
Douce journée & gros bisous
Quelle magnifique accompagnatrice tu ferais!
Je ne me lasse pas de ton talent de narratrice!
Superbes photos comme toujours. J'aimerais tout comme toi flâner en cet endroit si romantique.
Merci pour tes gentils commentaires remplis de chaleur et d'amitié.
Je te dis à très bientôt, je pars en vacances.
Gros bisous
J'ai déjà entendu parler de cet endroit qui est en effet magnifique ! Je croisv que la prochaine fois que je retournerai chrez Chris fin juillet, je lui demanderai qu'elle m'emmène là-bas ! Merci Cendrine pour tes jolies photos et pour toutes tes explications !
TRès belle journée et grosses bises !
Cathy
17Miss MaryVendredi 14 Juin 2013 à 10:56Bonjour Cendrine, merci pour ta petite visite d'amitié...... Tu as encore fait un travail remarquable, je connais cet endroit magnifique, et ton reportage si bien illustré, m'a vraiment donné envie d'y retourner, j'aime tellement me balader, à Paris et en Province, il y a des merveilles à découvrir, je trouve ! bon week-end ensoleillé, gros bisous à bientôt. "Miss Mary"
J'aime tes articles, Cendrine, surtout ceux-là. Du grand romantisme mais pas toujours quand on regarde certaines statues !!! Jolies fleurs. Incroyable cette rontonde, très haute, pour la danse !!! grandioses constructions.
J'ai aimé les "Trois Grâces" comme elles sont belles. Ma mère nous surnommait ainsi, nous ses trois filles. Nous étions justement réunies hier. Ma soeur aînée a 79 ans, mais elle trottait aussi bien que ses deux petites soeurs. J'ai 14 ans de moins, la guerre, tout çà ...
Je reviendrai comme je fais toujours
Merci pour tes gentils messages chez moi. Hier je suis rentrée trop tard de Rouen pour faire mon article, j'y travaille aujourd'hui, malgré le temps j'ai tout de même des photos ...
Bonne journée ma Fée Cendrine, je pense bien à toi.
Gros bisous
Annick
J'y étais, il y a peu, quand je suis allée à l'expo de Marie Laurencin. Je ne l'ai pas vu aussi fleuri mais je 'n'ai fait que passer. Le quartier est bien agréable aussi.
Tu viens quand à Paris avec Christophe ?
Bisous ensoleillés
Un grand merci pour ce partage très intéressant et joliment agrémenté de magnifiques photos
Tu as du passer un temps fou pour réaliser ce billet
Passe une excellente fin de semaine
bisous bisous
lili
13ALBIREO1Vendredi 14 Juin 2013 à 09:47Bonjour Cendrine,
Merci pour cette échappée dans l'histoire avec ces belles jeunes femmes. Tu es un guide exceptionnel !
Gros bisous, à bientôt
Albiréo
Bonjour Cendrine
Je crois que la pluie s'installe à nouveau, peut-être la mousson lol !
Nous sommes vendredi et me voilà avec 3 jours pour me reposer youpi !
Donc si le temps persiste dans ce sens je vais hiberner, ben quoi, c'est une idée comme une autre non ?
Alors je viens de vérifier les com d'hier et je m'apperçois que certains n'ont pas trouvé ce j'ai oublié hier... roooo, tout le monde ne suit pas, bon sauf toi peut-être qui es venu me le dire lol !
C'était le café !!!!
Une petite devinette musicale :
****
Toi, petit que tes parents
Ont laissé seul sur la terre
Petit oiseau sans lumière, sans printemps
Dans ta veste de drap blanc
Il fait froid comme en Bohême
T'as le cœur comme en carême
****
Je te souhaite un doux vendredi entre les gouttes d'eau.
Un petit café ou ce que tu veux et je me rendors hi hi !
Prends soin de tous ceux que tu aimes et surtout de toi.
Lolli
Ah Cendrine meilleur guide on ne peut pour découvrir ou redécouvrir ta ville.... eh oui on oublie mais d'autres y ont vécu avant nous.... Merci à toi, bon W-E... je serai absente deux jours... détente dans Bruxelles, ville du fils cadet ! Bises de jill
Bonjour Cendrine, je suis émerveillée par ton article avec tous les détails que tu as trouvés... Demain, je reviendrai pour lire avec plus d'attention les passages sur ces belles dames qui fréquentaient ce parc magnifique... Le ciel est nuageux et soleil fait quelques apparitions ... Bonne journée, gros bisous
Que c'est beau et intéressant chez toi !!!
Je me régale à chaque fois en venant te lire !!
Merci à toi
Bises Cendrine
Bonjour Cendrine .Ton article est une merveille .
Que d'informations de toutes sortes à propos et "autour" de ce jardin et du quartier du Ranelagh !
Cela demande un temps fou de rassembler autant de documentation et aussi de l'écrire ; j'en sais quelque chose ; je pense te l'avoir déjà écrit.
C'est un jardin et un quartier que je ne connais pas du tout ( de visu ) et je suis comblée par ton article et tes photos : des fleurs , de l'histoire , et un but de plus lorsque je ferai une escapade parisienne : pas tous les jours , j'habite en Belgique .
De tout coeur , bravo et merci !
Je te souhaite un bon weekend . Bisous.
Francine Clio.
Bonjour chère Cendrine, quel plaisir de venir chaque jour visiter ton charmant blog avec ses articles si bien documentés félicitations; je te souhaite une agréable fin de semaine gros bisous
Un tel lieu ne pourrait que m'inspirer il y a tellement de plantes d'arbres de fleurs , il est tellement rempli d'histoire qu'on doit se sentir bien...et personnellement je m'y sentirais bien.
Souvent dans des endroits comme ça ,si marqués par les hommes , j'ai l'impression quand je ferme les yeux de voir revivre ce monde -là.... une impression ou une réalité.
Joliment traité ce sujet , bravo
Douce journée CENDRINE
Bisous
timilo
Bonjour petite Cendrine . C'est un beau et grand billet , comment fait tu . Ces fleurs du Printemps dernier sont belles. Mon jardin commence a étre ravagé par la pluie . Ce matin le Soleil ce pointe en Sologne . Je n'ai pas trot chaud et j'ai remis le chauffage . J'espére que tu vas bien . Ce matin ce n'ai pas la forme pour moi trot d'humidité . Je te souhaite ma douce Cendrine un bon week end
Je te fait mille bisous doux
Bonjour Cendrine, un très beau jardin que tu nous présentes aujourd'hui avec de très belles statues notamment celle de Caïn. Dire que ma fille habitait tout près de ce jardin quand elle était étudiante en médecine à Paris dans un tout petit studio et que je n'ai jamais visité ce jardin. Je n'aimais pas ce quartier de Paris trop huppé entre Auteuil et Passy, elle non plus d'ailleurs, elle disait qu'il était sans vie.
Bisous Cendrine et bon week-end.
3Tina LVendredi 14 Juin 2013 à 02:25Tellement belles ces dames,moi qui aime ces robes fines et blanches je suis aux anges, un travail de couturière éméritte.Bravo pour l'article que tu as fait, c'est magnifique ma belle!! Je ne sais pas si mon message est passé, j'ai refait celui-là. Je reviens lire demain ton article,il y a plein de belles choses à voir.Bon vendredi,kissous de TINA.
2Tina LVendredi 14 Juin 2013 à 02:22Un article magnifique que je vais revenir lire demain car il mérite plusieurs lectures,c'est un travail très conséquent ma petite Plume fée.
Juliette Récamier est une sacrée beautée,ça ne m'étonne pas que les messieurs aient craqué comme on dit aujourd'hui. ça devait être quelque chose ces femmes en toute petite tenue dans la rue, pas pudibondes en tous cas. Je ne connais pas ce jardin du Ranelagh,tu me donnes envie d'y aler faire un tour quand je pourrais, l'endroit est magnifique.Merci pour les fleurs aussi. je cueille une rose pour toi. Kissous de TINA.
1promeneur75Vendredi 14 Juin 2013 à 02:10Qui ne connaît pas la révolution française, un peu ou beaucoup l'Empire ? Mais ces personnages beaucoup moins. Etonnantes jeune femmes (et jeunes hommes) pour une époque aussi mouvementée de notre histoire de France ! Merci à travers votre article de leur rendre hommage.
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Douce soirée ma jolie Cendrine, plein d'affectueuses pensées, et de doux bisous!