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Les exèdres des Tuileries
De part et d'autre de la Grande Allée, deux bassins s'étendent sous les arbres, dans une atmosphère apaisante et romantique. Couronnés par un banc semi-circulaire appelé exèdre, ils sont parés de sculptures et bordés par une végétation luxuriante.
Ils furent réalisés après la Révolution, quand le jardin devint « bien national ». La Convention décida la restauration des parties dégradées et la mise en oeuvre d'un programme d'embellissements.
Dans ce contexte, le projet de restructuration du domaine des Tuileries fut confié, en 1794, au peintre Jacques Louis David (1748-1825), également député et grand ordonnateur des fêtes de la Révolution.
Autoportrait de l'artiste, 1794.
Assisté par son beau-frère, l'architecte Auguste Cheval de Saint-Hubert, Louis David devait élaborer un ensemble monumental composé de galeries, de propylées, d'une palestre et des deux exèdres mais le projet fut désavoué après la chute de Robespierre.
Demeurent les fameuses exèdres, insérées dans la végétation et décorées de statues qui proviennent du Château de Marly, dans les Yvelines. Aujourd'hui, ce sont des moulages que nous contemplons, les originaux étant conservés au Musée du Louvre.
Une exèdre est un édicule de pierre semi-circulaire ou rectangulaire qui dessine un banc, parfois décoré de niches et de statues. Dans la Grèce antique, cette structure architecturale était un élément privilégié des lieux publics, des sanctuaires, des agorae et des voies sacrées.
L'exèdre est associée à la conversation et à la philosophie. Espace de réunion où se réunissaient autrefois les poètes et les philosophes, elle offrait des banquettes de pierre décorées de dauphins, de rinceaux et de grandes feuilles d'acanthe. Parfois, on y représentait les donateurs qui les avaient fait ériger.
Dans la Rome antique, elle s'inséra, agrémentée de niches et de statues, dans les façades des monuments publics.
Les exèdres des Tuileries sont l'émanation d'une volonté patriotique se référant aux grandeurs helléniques.
La séduisante Vénus Callipyge de François Barois (1656-1726) règne sur l'exèdre Sud.
On peut admirer au Louvre le marbre originel des années 1683-1686.
Vénus Callipyge soulève son péplos et contemple ses courbes avenantes par dessus son épaule.
D'après l'érudit grec Athénée (IIe-IIIe siècle après J.-C.), il existait un temple dédié à Aphrodite des belles fesses, à Syracuse, en Sicile.
Vénus Callipyge au musée archéologique national de Naples.
Les deux filles d'un fermier demandèrent à un jeune homme qui passait de désigner celle qui avait le plus joli postérieur. Après une observation assidue, il choisit l'aînée et s'éprit de sa beauté. Il retrouva ensuite son jeune frère à la ville et l'encouragea à aller contempler les charmes de la campagne. Le cadet suivit son conseil et fut séduit par la plus jeune soeur. Malgré les réticences de leur père, riche et âgé, les garçons épousèrent leurs sensuelles dulcinées. Elles fondèrent alors, en guise de remerciement, un temple dédié à la déesse aux jolies fesses.
Les rotondités de la Vénus des Tuileries ont été voilées par le sculpteur Jean Thierry (1669-1739) afin de ne pas outrager la pudeur des dames!
D'après le théoricien chrétien Clément d’Alexandrie (vers 150 après J.-C.-vers 220), un culte érotique était dédié à la déesse aux courbes avenantes. Elle traversa les époques et inspira, au XVIIe siècle, un conte en vers au fabuliste Jean de La Fontaine (1621-1695).
Les Contes sont aux adultes ce que les Fables sont aux enfants.
Les Contes et Nouvelles en vers furent écrits entre 1660 et 1693. Bien que frappés par la censure officielle, ils connurent un succès immense et s'imposèrent comme une oeuvre majeure de la culture galante. Les amateurs de littérature libertine apprécieront ces truculentes saynètes et les charmantes illustrations de Jean-Honoré Fragonard (1732-1806).
Conte tiré d'Athénée
« Du temps des Grecs, deux sœurs disaient avoir
Aussi beau cul que fille de leur sorte;
La question ne fut que de savoir
Quelle des deux dessus l’autre l’emporte:
Pour en juger un expert étant pris,
À la moins jeune il accorde le prix,
Puis l’épousant, lui fait don de son âme;
À son exemple, un sien frère est épris
De la cadette, et la prend pour sa femme;
Tant fut entre eux, à la fin, procédé,
Que par les sœurs un temple fut fondé,
Dessous le nom de Vénus belle-fesse;
Je ne sais pas à quelle intention;
Mais c’eût été le temple de la Grèce
Pour qui j’eusse eu plus de dévotion. »
Quelques siècles plus tard, la Vénus Callipyge refleurit sous la plume de notre Georges Brassens national.
« Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité
Votre dos perd son nom avec si bonne grâce
Qu'on ne peut s'empêcher de lui donner raison
Que ne suis-je, madame, un poète de race
Pour dire à sa louange un immortel blason
En le voyant passer, j'en eus la chair de poule
Enfin, je vins au monde et, depuis, je lui voue
Un culte véritable et, quand je perds aux boules
En embrassant Fanny, je ne pense qu'à vous
Pour obtenir, madame, un galbe de cet ordre
Vous devez torturer les gens de votre entour
Donner aux couturiers bien du fil à retordre
Et vous devez crever votre dame d'atours
C'est le duc de Bordeaux qui s'en va, tête basse
Car il ressemble au mien comme deux gouttes d'eau
S'il ressemblait au vôtre, on dirait, quand il passe
" C'est un joli garçon que le duc de Bordeaux ! "
Ne faites aucun cas des jaloux qui professent
Que vous avez placé votre orgueil un peu bas
Que vous présumez trop, en somme de vos fesses
Et surtout, par faveur, ne vous asseyez pas
Laissez-les raconter qu'en sortant de calèche
La brise a fait voler votre robe et qu'on vit
Écrite dans un cœur transpercé d'une flèche
Cette expression triviale : " A Julot pour la vie "
Laissez-les dire encor qu'à la cour d'Angleterre
Faisant la révérence aux souverains anglois
Vous êtes, patatras ! tombée assise à terre
La loi d'la pesanteur est dur', mais c'est la loi.
Nul ne peut aujourd'hui trépasser sans voir Naples
A l'assaut des chefs-d'œuvre ils veulent tous courir
Mes ambitions à moi sont bien plus raisonnables:
Voir votre académie, madame, et puis mourir.
Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité. »
Vénus Callipyge
Ces illustrations sont d'Alain Bonnefoit, maître en lithographie. Pour les contempler, vous pouvez visiter le beau site de la Galerie-jpm.com.
A l'extrémité opposée du bassin, ces deux statues semblent prendre leur élan. Il s'agit de Daphné poursuivie par Apollon et d'Apollon poursuivant Daphné.
Ce groupe illustre un passage des Métamorphoses d'Ovide. Le dieu du soleil, sculpté par Nicolas Coustou (1658-1733), et la nymphe des bois, réalisée par Guillaume Coustou (1677-1746), ornèrent, vers 1713–1714, un des bassins des Carpes du Parc de Marly. En 1798, on les plaça dans l'exèdre Sud des Tuileries où ils demeurèrent jusqu'en 1940.
Daphné est une nymphe, fille du dieu fleuve Pénée et de la déesse Terre.
Après avoir vaincu le monstrueux serpent Python, Apollon rencontra Cupidon sur le bord du chemin. Il se vanta de sa réussite en raillant les sortilèges du chérubin. Piqué au vif, Cupidon décocha deux flèches, l'une, en or, sur Apollon qui s'éprit de la ravissante Daphné, et l'autre, en plomb, dans le coeur de la nymphe. Elle en éprouva de la répulsion pour les plaisirs charnels mais Apollon la poursuivit de ses assiduités. Épuisée, Daphné sollicita l'aide de son père et le dieu fleuve la métamorphosa en un bosquet de laurier rose (rhododaphné). Apollon la désigna alors comme son arbre sacré.
« (...) Une lourde torpeur envahit ses membres, une mince écorce ceint sa délicate poitrine, ses cheveux poussent en feuillage, ses bras s'allongent en rameaux ; ses pieds, il y a un instant, si rapides sont fixés au sol par de solides racines, la cime d'un arbre occupe sa tête ; de sa beauté, ne demeure que l'éclat.
Phébus, cependant, brûle de la même passion, la main droite posée sur le tronc, il sent encore, sous la nouvelle écorce, battre le cœur ; entourant de ses bras les rameaux - qui étaient les membres de Daphné - il étouffe le bois de baisers ; mais les baisers du dieu, le bois les refuse. Alors le dieu lui dit : " Puisque tu ne peux être ma femme, tu seras, du moins, mon arbre " ; laurier, tu pareras toujours ma chevelure, ma cithare, mon carquois ; (...) Péan avait fini de parler; alors le laurier inclina ses jeunes rameaux et on le vit agiter sa cime comme une tête. » (Péan est une épiclèse, c'est à dire une épithète associée à Apollon. )
Apollon au Louvre.
Au fil des siècles, le mythe d'Apollon et Daphné a profondément inspiré les artistes.
Un manuscrit du XVe siècle...
Apollon et Daphné, 1470-1480, par Antonio del Pollaiuolo (1429/33-1498). Ce tableau est conservé à la National Gallery de Londres.
Daphné en argent ciselé, surmontée par une ramure de corail. Cet ornement de table fut réalisé, vers 1550, par Wenzel Jamnitzer (1507/08-1585), un célèbre orfèvre de Nuremberg.
Il décrit le moment où s'opère la métamorphose de Daphné. L'oeuvre élégante et influencée par la statuaire antique révèle aussi le goût des artistes de la Renaissance pour l’exotisme et les univers marins.
Daphné repose sur un socle décoré de têtes d’anges et de mufles de lion d'où émergent des fragments de roches métamorphiques. Un certain mystère entoure cette pièce d'argenterie. Était-elle un luxueux centre de table associé aux armoiries d'un prince germanique, un ustensile médiéval appelé « languier » où l’on suspendait des « langues de serpent », dents de requin fossilisées utilisées pour détecter le poison, ou une « merveille », (mirabilia) recherchée par des collectionneurs?
Pêché en grande profondeur en Méditerranée, le corail rouge était réputé pour ses vertus prophylactiques. On le considérait comme une espèce étrange qui oscillait entre végétal et minéral. Très apprécié pour sa beauté, il était fréquemment utilisé dans les arts à la Renaissance.
On retrouve Apollon et Daphné sur cette vignette de François Chauveau (1613-1676), extraite de la traduction des Métamorphoses d'Ovide (43 avant J.-C.-17) par Isaac de Benserade (1613-1691). L'ouvrage intitulé « Métamorphoses d'Ovide en rondeaux, imprimés et enrichis de figures » parut en 1676 à Paris, sous les presses de l'Imprimerie Royale.
A Versailles, Apollon et Daphné, d'Antoine Coypel (1661-1722) se laissent admirer parmi les joyaux du Salon de Mercure.
Apollon et Daphné, 1622-1625, par Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin(1598-1680).
Cette oeuvre baroque fut commandée par le Cardinal Borghèse en 1622. Le mouvement suscité par les lignes foisonnantes et les corps en déséquilibre aspire le regard.
Apollon rattrape Daphné au moment où débute la métamorphose. La nymphe lève les bras. L'écorce l'enveloppe jusqu'aux hanches et son corps dessine une arabesque souple et passionnée. Son sang devient sève et sa peau, ses doigts, sa chevelure se changent en feuilles ondoyantes. Simultanément, une expression d'effroi se lit sur son visage. Apollon saisit sa taille d'une main mais il ne peut la faire revenir à son humanité.
Cet éventail du XVIIIe siècle, conservé au Musée des Arts Décoratifs de Bordeaux, nous offre, par ses couleurs précieuses et son dessin raffiné, sa vision plus apaisée du mythe d'Apollon et Daphné.
Le Département des Arts Graphiques au Louvre conserve cette jolie miniature signée Jean-Honoré Fragonard (1732-1806).
Au musée Calvet à Avignon, on peut admirer ce tableau de l'école romaine du XVIIIe siècle, attribué à Pietro Bianchi (1694-1740) et très apprécié des historiens d'art pour la qualité de ses couleurs.
Ce bas-relief provient de l'ancienne Folie de la Bouëxière, autrefois située dans le 18e arrondissement de Paris. Réalisé par Sébastien-Nicolas Adam (1705-1778), il est aujourd'hui conservé au Musée Carnavalet.
Apollon et Daphné, vers 1844, par Théodore Chassériau(1819-1856).
La transformation de Daphné est sublimée par les couleurs voluptueuses, la pureté des lignes, la grâce et le romantisme qui émanent de la composition. Le corps lunaire, chrysalide sensuelle sur fond de sylve, et l'attitude suppliante d'Apollon nous offrent un spectacle d'une troublante beauté.
Apollon poursuivant Daphné, 1908, par John William Waterhouse (1849-1917).
Le peintre nous livre une vision intime du mythe, centrée sur les jeux de regards et l'élégance des attitudes. La métamorphose s'opère dans un monde luxuriant où la femme devient prêtresse, échappant aux lois de la réalité et aux désirs de l'homme pour épouser les forces de la Nature. Le tableau de Waterhouse révèle aussi une complexe attirance entre les personnages...
Quittons Vénus Callipyge, Apollon et Daphné pour rejoindre l'exèdre Nord.
Elle est conçue de la même manière que l'exèdre Sud mais le programme iconographique est différent.
Le faune au chevreau, oeuvre de Pierre Le Pautre (1659-1744), réinterprète une statue antique, exhumée en 1675.
Le marbre originel, datant de 1685, fut placé à Marly, dans une « salle verte », aux alentours de 1695 puis déplacé, en 1707, au bosquet du Couchant. Il fut transporté aux Tuileries en 1797.
On aperçoit une flûte de Pan, aérophone attribué au dieu Pan, maître de la fertilité des bois et des troupeaux. Dans les réceptacles où circule le son, circulent aussi la magie et les forces de fécondité.
Pan tomba éperdument amoureux de la nymphe Syrinx mais celle-ci, effrayée par la puissance érotique du dieu, se jeta dans le fleuve Ladon pour lui échapper. Là où elle disparut, jaillirent des roseaux qui bruissèrent, comme une voix, dans le vent. Pan les coupa et en assembla quelques-uns pour fabriquer une flûte qu'il baptisa Syrinx. Ainsi, par la magie du souffle, l'union de Pan et de Syrinx put s'accomplir.
Pan et Syrinx, 1657, par Michel Dorigny (1617-1665).
A l'extrémité du bassin, se dressent deux statues formant un groupe appelé « les coureurs ». Il s'agit d'Hippomène et d'Atalante.
Hippomène fut commandé à Guillaume Coustou pour faire pendant à Atalante, copie d'antique par Pierre Le Pautre. Le groupe illustre un passage des Métamorphoses d'Ovide relatant l'histoire d'une farouche chasseresse qui défiait ses prétendants à la course.
Fille d'un roi qui désirait un fils, Atalante fut abandonnée dans la forêt mais une ourse l'allaita. Elle fut recueillie ensuite par des chasseurs et se révéla dotée de qualités physiques hors du commun. A la fois athlète accomplie, lutteuse redoutable et pouvant courir à une vitesse exceptionnelle, elle participa à l'expédition des Argonautes, conduite par le héros Jason.
Voulant rester vierge, elle résolut de défier à la course les hommes qui souhaitaient l'épouser. Elle gagnait à chaque fois et ses prétendants étaient exécutés mais le jeune Hippomène choisit de relever le défi.
Il sollicita la déesse de l'amour qui lui offrit trois pommes d'or du Jardin des Hespérides, merveilleux jardin où, parmi des sources d'ambroisie, se dressait un arbre enchanté... Pendant la course qui l'opposait à Atalante, Hippomène fit rouler les précieux fruits sur le sol et la chasseresse s'arrêta pour les ramasser. Elle perdit pour la première fois.
La course d'Hippomène et d'Atalante, 1765, par Noël Hallé (1711-1781).
Atalante et Hippomène, 1618-1619, par Guido Reni (1575-1642).
La très sensuelle Toilette d'Atalante, 1850, par James Pradier (1790-1852) dans l'aile Richelieu au Louvre.
Observons un moment les sculptures qui décorent les côtés des deux exèdres. Au bord des bassins qui semblent endormis, se dévoilent des sphinges, les femelles des sphinx, créatures fabuleuses au corps mi-léonin mi-humain.
Ces êtres mystérieux sont les gardiens des métamorphoses et des secrets mais chut, je prépare un article sur les sphinx et les sphinges de Paris...
L'exèdre Nord par Pierre-Antoine Mongin (1761-1827).
Ces bassins historiés sont des réceptacles de vie. Une végétation luxuriante s'y épanouit, attirant les insectes et les oiseaux qui viennent s'y reproduire en toute tranquillité.
Les iris en robes satinées se gorgent de soleil.
Les jardiniers ont installé une petite planche pour que demoiselles et damoiseaux à plumes puissent goûter les joies de l'eau.
Par leur conception, les exèdres des Tuileries sont des lieux à part dans l'évolution complexe du jardin. Elles exaltent l'amour, le désir et la beauté et célèbrent, de manière intemporelle, les vertus des philosophies antiques. Elles nous attirent au bord de l'eau, à fleur de rêve, où la lumière tisse ses enchantements...
Bibliographie
Louis-Eustache AUDOT: Traité de la composition et de l'ornement des jardins, avec cent soixante et une planches représentant, en plus de six cents figures, des plans de jardins, des fabriques propres à leur décoration et des machines pour élever les eaux. Paris: Audot, éditeur du Bon Jardinier, 1839.
Yves GIRAUD: La Fable de Daphné: essai sur un type de métamorphose végétale dans la littérature et les arts jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Droz, 1968.
Aubin Louis MILLIN: Description des statues des Tuileries. Paris: Fuchs, 1798.
Claude-Henri WATELET: Dictionnaire de peinture, sculpture et gravure. Paris: Prault, 1792.
La chanson de Brassens : Venus callipyge
Tags : daphne, apollon, exedre, fut, deux
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Commentaires
Bonjour ma douce Cendrine, je passe très vite mais avec la même amitié que chaque jour.
Nous sommes mercredi, ce n'est pas un scoop je sais
lol !
Mais comme c'est le bon jour pour s'évader, alors je te
propose de voyager dans un univers ou le soleil brille et
ou l'on mange Tajine et Couscous.
Notre Hôtesse sera mon adorable Sourour. Elle te
fais des petits plats en un rien de temps et sa maison
prends un air épicé, sucré et doux en un tour de main.
Je t'invite à prendre l'avion avec moi aujourd'hui pour la rejoindre.
Attache ta ceinture, départ pour le Maroc.
http://oumhichamessabil.eklablog.com/tajine-d-agneau-aux-pdt-et-petits-pois-a107097920
Je te souhaite de passer une bonne journée, puis soirée et nuit en
ce troisième jour de cette semaine hi hi !
Merci pour ta présence dans mon petit monde.
Prends bien soin de toi et si tu fais parti de mes petits malades,
je te souhaite une douce convalescence.
Lolli (Pas de café je suis trop pressée lol)86Rose HuanMardi 7 Mai 2013 à 12:34Bonjour Cendrine, je relis avec grand plaisir tes articles et particulièrement celui-là. J'aime beaucoup les Tuileries et ce lieu des exèdres, peu connu, prend vie sous ta plume de fée. Gros bisous, Tina va passer te faire coucou. Rose
85Promeneur75Dimanche 3 Mars 2013 à 03:1084delfyDimanche 3 Mars 2013 à 03:10Les exédres, un mot inconnu pour moi, mais effectivement je me suis déjà assis sur des bancs de cette forme dans les chateaux. Un article trés complet qui néssécite beaucoup de travail. J éprouve beaucoup d admiration pour tous ces artistes qui ont su redonner la vie à des ancétres disparus grace à leur savoir dans la sculpture. Jaime bien l évantail, une vraie oeuvre d art.
Bonne soirée Cendrine
Latil
Bonsoir chère Rose,
Je suis tout à fait d'accord avec toi: mais pourquoi n'y a -t-il donc pas de temple dédié aux rondeurs avenantes aujourd'hui?!
Je te remercie pour ton si délicieux message. J'espère que tu as bien eu ma réponse.
Je te souhaite un excellent week-end et je t'embrasse bien affectueusement.
Cendrine
Bonsoir Henri,
Ton enthousiasme me procure une grande joie!
Ce lieu m'a beaucoup inspirée, par sa situation exceptionnelle, comme préservée des affres du temps, par sa végétation luxuriante et les jolis oiseaux qui y nichent.
Merci beaucoup de ta visite. Gros bisous et excellent week-end!
Cendrine
Bonsoir Latil,
J'aime aussi beaucoup l'éventail. Il est d'une telle délicatesse.
Quant au travail des artistes et des maîtres artisans, il ne cesse de nous émerveiller. Heureusement qu'il a traversé le temps!
Merci beaucoup pour ta visite et pour ton message rempli d'amitié.
Très belle nuit
Amicalement
Cendrine
Bonsoir Véronique,
C'est gentil de penser à moi. Difficile période, je dois faire preuve de patience...
Je te souhaite une belle nuit, amitiés
Cendrine
Merci Amel, c'est très gentil, ta visite me fait toujours plaisir!
Gros bisous et bonne soirée
Cendrine
Bonjour Cendrine,
Qiel bonheur la réceptin de tes envois. Des illutrations extraordinaires des textes magnifiques que l'on ne se lasse pas de voir et de lire. Cette chanson de Brassens, "La Vénus Caliphage" est un exemple d'Alexandrins chantant. Un trés grand merci encore. A bientôt, Bises trés amicales.
Henri.
Bonjour Cendrine,
Comment vas-tu ? Tu a vu ce beau temps ? pourvu que ça dure !!
Passe une très bonne journée, amitiés, Véronique.
bonjour cendrine
un de mes tableau préféré est appolon et daphnée,ilest génial
bonne fin de journée
bisous
Bonjour Carole,
Tu me fais un très beau compliment auquel je suis particulièrement sensible. Les exèdres sont lovées dans la végétation. En hiver, on les aperçoit mieux mais dès que les feuilles des grands marronniers surgissent, on ne les voit plus depuis la Grande Allée.
Merci beaucoup pour ton message et ta visite. Je te souhaite une très agréable journée.
Cendrine
Bonjour Françoise,
C'est vraiment très gentil! Je t'en remercie. Il y a tant de belles choses à savourer dans Paris, de lieux magiques à découvrir et à redécouvrir...
Je t'envoie de gros bisous, belle journée!
Cendrine
Bonjour Mansfield,
Je suis enchantée que mes promenades parisiennes te plaisent autant et je te remercie profondément.
Belle journée, bisous
Cendrine
Coucou Gut,
Si la promenade t'a plu, j'en suis ravie... J'adore l'ensemble du jardin mais j'ai un coup de coeur pour les exèdres.
Un doux merci et de gros bisous avec quelques éclats de soleil, souhaitons que ça dure!
Cendrine
Merci Framboise,
Moi aussi je partage à chaque fois...
Bisous avec un joli rayon de soleil!
Cendrine
Coucou Chris,
Oh oui, je sais ce que c'est! Pareil pour Christophe et moi, nous finissons par dormir d'épuisement pour "rattraper" le sommeil en retard mais après on est complètement assommés...
Gros bisous et excellente journée, si le soleil veut bien rester présent!
Cendrine
Coucou Martine,
Ces sculptures sont très belles. La différence entre sphinx et sphinge je l'ai déjà expliquée dans mon article. La sphinge est la femelle du sphinx.
Bisous
Cendrine
Je dors, je dors pas ... Tu sais ce que c'est ! Et quand je dors c'est pour rattraper les nuits où je n'ai pas dormi et je suis assommée. Mais il fait beau !
Prends-bien soin de toi !
Bises et belle journée !
c'est captivant raconté de cette façon ... on regarde mille fois mieux et on comprend mieux tous ces tableaux ou statues ..
j'ai pris un grand plaisir à lire toute cette jolie mythologie
je partage ...
Une très jolie promenade encore aujourd'hui dans ce magnifique jardin où l'on peut qu'admirer ces magnifiques statues. Merci Cendrine pour cette jolie promenade pleine de grâce. Bisous
coucou , ici déja chaud ce matin 23° mais gris de gris pas un rayon de soleil pffff
passe une belle journée ...bisous d'été ....
Sensation
Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue:
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai à rien:
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la nature, - heureux comme avec une femmeArthur Rimbaud
J'aime beaucoup la femmes au corps de félin à la queue de cou de cygne et à la tête de sphynx. Quelle différence entre sphynx et sphinge. J'attends ton article pour le savoir. Bises
Coucou Cendrinette :-)
Quelles sculptures fabuleuses! Faut avouer aussi qu'il y a de belles fesses (Rires!!!). Bon, mais l'oeil du maître doit rester professionnel LOL Par contre, je ne comprends pas pourquoi il n'y a pas de temple dédié aux belle fesses de nos jours :-)))
Trêve de plaisanteries, c'est un très bel article comme toujours!
Comment vas-tu ces derniers temps?
Gros bisous tout doux pour toi et douce nuit chère Cendrine
Amitiés,
Rose
Chère May,
Je suis particulièrement touchée!
Ce sont des lieux enchanteurs où l'imagination s'affole pour notre plus grand bonheur!
Merci pour très beau commentaire!
Gros bisous et excellente soirée
Cendrine
Coucou les amis,
Les déesses et les fleurs font bon ménage et les oiseaux se réjouissent de ce bel environnement niché au coeur de la ville. Ils y sont bien et on peut ainsi saisir de jolies saynètes.
Comme le Jardin des Tuileries est immense, je le décris en une série d'articles. J'ai commencé par les exèdres car j'ai eu un coup de coeur pour ces endroits cachés, enveloppés par des marronniers géants.
Un profond merci pour votre visite très sympathique et enthousiasmée. Je vous envoie de gros bisous. Que votre soirée soit douce...
Cendrine
Cher Claude,
Et bien je ne résiste pas non plus au plaisir de lire tes mots poétiques et gorgés d'amitié.
Merci beaucoup!
Gros bisous et très belle soirée
Cendrine
Bonsoir Corinne,
A chaque fois que je contemple où que je place dans un article un tableau de Waterhouse ou une sculpture mythologique, je pense à toi... La passion nous unit! C'est ainsi et c'est délicieux...
Je te remercie pour ces doux et flamboyants messages que tu m'envoies, des pépites de beauté et d'amitié.
Je suis désolée pour ces tempêtes successives qui modifient profondément la vie des gens et le paysage. L'Homme a tellement d'incidence sur son milieu... Toutes ces haies arrachées, ces chemins de terre ou de pierre couverts d'asphalte, ces grands arbres dévastés par l'humain avant de l'être par la colère des cieux... ont précipité ces catastrophes! J'espère que certaines choses sont réversibles...
Toi aussi, chère Corinne, prends-bien soin de toi! Avec mon amitié, je t'embrasse bien fort!
Cendrine
Bonsoir Henri,
Sais-tu que je suis très touchée de découvrir ton si gentil message...
La passion pour l'art coule dans mes veines. C'est une joie immense de la partager et un grand secours pour supporter mes soucis!
Un profond merci pour ta visite fort sympathique.
Je te souhaite une excellente soirée.
Avec mon amitié
Cendrine
Merci beaucoup Plume, c'est une joie de savoir que tu apprécies mes articles.
Je te souhaite une excellente soirée
Bisous
Cendrine
Bonsoir Cendrine,
Merci pour tes venues, et tes commentaires, qui m'ont touché, et oui... on en apprends beaucoup sur l'origine de nos prénoms mon amie ! Je suis heureuse de te connaître aussi, chère poétesse, mais surtout chère artiste de l'Art ! j'aime beaucoup ton travail. Je connais bien l'ésotérisme, et je me passionne pour tout mystère et leur signification, perpétuel quête... que je sonde... (dans tous les sens du terme... rires) j'y côtoie ce diable... (rires) mais qui est pour nous, source de plaisirs divins et exquis (rires) en nos formes voluptueuses, sensuelles, telle ses sublimes sculptures divines, dont cette mythologie, nous présente, sous leurs formes afriolantes...(rires) Je crois que le soleil a chauffé aujourd'hui ! (rires) je pense à toi, car je mange un carré de chocolat ! Comment ? oui tu as raison, bientôt la tablette ! (rires) Ah... le pouvoir du chocolat ! Il y a eu plus de dégâts, parmi les forêts, nos arbres ont été déracinés, dans cette région, chère à mon coeur... tout est rentré dans l'ordre, mais le problème actuel, sur ma région de Nancy, c'est que les bassins, censés stockés l'eau qui tombe, n'arrive plus à absorber, cette eau de pluie.... problème qui risque de s'aggraver, encore plus, aux prochaines tempêtes, et pluies qui tomberont, de plus l'homme force de construire, de couper les arbres, de changer notre paysages urbains sans arrêt, et bien, détruit en même temps, ce qui peut retenir ses eaux... il faudrait plusieurs bassins de rétention, autours de agglomération, trouver des solutions, qui permettrait d'enrayer, ce problème sérieux... des équipes d'architectes y travaillent, mais comme partout, il faut des moyens ! On en peut, retenir, les intempéries, du ciel... les colères de la terre mon amie... et cela va s'amplifier de plus en plus... Reposes toi, prends soin de toi, ne t'inquiète pas, si tu ne réponds pas aux commentaires, l'important, est ta santé, ta petite famille....je te remercie d'être quand même venue, malgré ta fièvre, et tes névralgies... mais promets moi, d'être prudente, je pense bien à toi, te fais des gros bisous. A bientôt Cendrine, je suis allée voir Plume... et lui ai transmis ton bonjour... belle et douce soirée. Corinne (Cronin) ma rose.
Un très très bel article. Je n'avais jamais remarqué ces exèdres dans les Jardins des Tuileries où je suis pourtant déjà allée.
Ce que j'aime beaucoup, dans tes articles, ce sont les "tiroirs" profonds et chargés de précieux aperçus sur la mythologie et sur l'histoire de l'art. Cela permet de donner tout son sens à chaque oeuvre, replacée dans un vaste contexte.
je ne résiste pas au bonheur de revoir tes images formidables....le bonheur de contempler ces fleurs et ces statues dans une ambiance pleine de fraîcheur...c'est une balade enchanté....dans le jardin de ma fée...celle de paris ...qui me porte au paradis..........bisesssssssssssssssss
claudeEncore un fabuleux article Cendrine, ton Paris, très riche devient plus que jamais le mien! Bise à toi et merci encore.
Encore un magnifique article foisonnant de découvertes, de poésie et de beautés. Un lieu propice à la contemplation, aux confidences et à la réflexion, alliant philosophie et romantisme, et on croirait voir surgir Chateaubriand au détour d'un chemin. Je trouve cet endroit empreint d'une délicatesse tout féminine. Je voyage dans le temps et j'imagine le frôlement des satins et étoffes, les sourires et chuchotements. Merci pour ce merveilleux moment de paix et de découverte, et le choix de tes illustrations est parfait! Gros bisous Cendrine!
hello Cendrine , merci pour cet article, j'ai lu bien plus ce soir, car j'ai eu un peu de temps !
bisous et tres belle fin de soirée
Coucou Cendrine Douce Fée.... Oh, que vois-je, de magnifiques statues pour commencer cet article. Que de beauté, que de belles et gracieuses formes....Statues magiques où on voit l'argent associé au corail... Puis, un festivale de fleurs : iris, ancolies... et nos amis à 'plumes' que les jardiniers bichonnent!. Je vais humblement avouer que le mot : exèdre est une découverte... Honte à moi.. mais que veux-tu! C'est un peu le 'portique' des philosophes! Ces espaces sont des lieux d'échanges, de détente, de calme... qui me conviennent à merveille. Je suis contente de découvrir les Tuileries à travers tes mots! je sens que là, encore, nous allons vadrouiller à la rencontre de la culture! Merci Douce Cendrine, de mettre l'art à notre portée! On t'embrasse très très fort.... passe une douce et belle nuit.
Beauté du parc, sensualité des Vénus, un peu de l'ami Georges et de La Fontaine... et toujours ce talent au service de l'histoire, de la poésie et du romantisme et de leur partage .
Je suis tellement heureuse de puiser des connaissances dans tes articles, merci Cendrine .
Bisous, Plume .
Suivons la guide sur le chemin de tant de beautés. Je ne sais ce qui m'épate le plus, ton érudition ou ta puissance de travail. On sent ton amour infini pour l'art et sa symbolique. Merci pour ton com qui me permet de mieux te connaître. Question Q.I., c'est tellement évident. Ta passion doit être un puissant dérivatif pour oublier tes problèmes de santé. Bien chaleureusement. dinosaure80.
coucou cendrine
trop mimi les oiseaux qui monte sur la planche
tu nous fait rever a chaque fois
tu vis a paris même ou au alentour
je suis contente que ton cou vas mieux
je connait c'est douloureux la j'ai une grosseur
du a une contracture depuis un mois et c'est genant
je vois mon toubib le 11 on verra bien
je te souhaite une bonne soirée de gros bisous mon amie
et pour les vacances je dois juste rever depuis 30ans
et oui bisous ♥
Bonsoir Cendrine,
Je suis émmerveillée par tant de beauté, de ce jardin si splendide à contempler, de la magnificence de cette sculpture Vénus aux formes callipyges...et de la sensuelle toilette d'Atalante... je connais bien la légende mythique de Daphnée et Apollon...ton article est une oeuvre d'art, et j'aime la beauté de ses décors enchanteurs ! J'y resterais des heures dans ton jardin Cendrine.... car j'ai du mal à y en repartir... la beauté des Iris ! Plein de lumière poétique, sur tes jolies photographies, moi qui aime tant Waterhouse, tu me combles de bonheur, avec son magnifique tableau exposé ! Il y a des lieux ainsi, dont on ne voudrait point quitter... Merci pour ton travail, ciselé avec des doigts de fée, sensuelles et féminines, sont ces sculptures divines... J'espère que tu vas bien Cendrine, ici, sur ma terre de Lorraine, une tempête près de ma région, a sévèrement touché sa population, et sa flore, des grêlons, de la taille du poing de la main, sont tombés, avec des pluies abondante, ma terre de Lorraine, est sévèrement touché, en cette année 2012 ! Et je crois, que cela n'est point fini... car l'eau n'est point absorbée comme elle devrait être... l'homme détruit la nature, alors comment arrêter l'eau qui s'écoule à flots ? Prends soin de toi, mon amie. Gros bisous, à bientôt. Corinne (Cronin). Ma rose d'amitié.
Tu m'éblouis encore une fois ma bele, je te remercie mile fois pour cette balade cultrelle.... Gros bisous et bonne soirée....
Magnifique ton article! Je viens de télèphoner à maman qui habite Paris et comment n'y ai je pas pensé plus tôt! je viens de lui donner le lien de ton blog ,elle va se régaler!!! merci à toi! j'ai beaucoup apprécié ta ballade !!toujours très interresssant et complet!! vraiment c est superbe! que de bons moments grâce à toi!
Je me suis régalée à te lire !
Toujours de belles découvertes chez toi chère Cendrine !
Amitiés d'Isa-Marie
Bonjour Gérard,
C'est moi qui vous remercie! Je suis ravie que mon article vous ait fait plaisir. Nous retrouvons toujours l'ami Georges avec bonheur!
Amitiés
Cendrine
Bonjour Véronique,
C'est une joie de lire ton message! Tu as dû te régaler samedi!
J'adore les Tuileries et j'ai commencé une série d'articles sur le sujet. Il y a tant de sculptures magnifiques et de points de vue romantiques...
Merci pour tes mots qui me touchent profondément.
Excellente journée, amitiés.
Cendrine
Bonjour Aimée,
Je te remercie pour ton si gentil message, c'est du bonheur à lire!
Les petites poules avaient peur de moi quand je les photographiais alors j'ai été la plus discrète possible. J'ai adoré les canards sur leur ilôt verdoyant au milieu du bassin: un emplacement stratégique!
C'est un endroit magique en plein coeur de la ville, on y rêve avec plaisir!
Merci et gros bisous. Excellente journée.
Cendrine
Coucou Linda,
Merci de ta visite. Le soleil est là depuis ce matin mais il paraît que ça ne va pas durer... La semaine dernière a été si grise et pluvieuse...
Gros bisous et bon lundi!
Cendrine
Cher Claude,
Je suis très touchée par ton commentaire et je t'avoue que j'ai pensé à toi en photographiant ces fleurs bleues. Les beautés de marbre sont les personnages d'un univers romantique à souhait. J'ai pris plaisir à conter ces histoires sensuelles et à contempler ces jolies courbes offertes au regard.
Merci de ta visite si charmante et gros bisous! Que ta journée soit douce...
Cendrine
que c'est beau!!!vela me fait rêver et en prime des petits canards!!!!encore de la pluie
bonne fin de journée
bisousBonjour Jill,
En effet, tous ces corps à corps m'ont étourdie!
Vénus belle-fesse m'a bien fait sourire et réécouter le grand Georges est un bonheur!
Merci beaucoup pour ta délicieuse visite.
Gros bisous et excellente semaine, ensoleillée j'espère!
Cendrine
Bonjour Cendrine,
J'y étais samedi aux Tuileries, les grands esprits se rencontrent !
Tu a une manière de parler de ces sculptures qui m'enchantent, tes articles sont superbes, comme d'habitude !
Passe une bonne journée, amitiés, Véronique.
héhé un coin de paradis pour les volatiles!
et très belles les iris !
ici avec une météo grise mais sans pluie ...j'aurais pas vu longtemps le soleil :(
du coup pas terrible les fleurs :(
passe une belle semaine
voilà une visite que l'on a pas envie de terminer.....je suis sous le charme des rêves que tes photos ont provoquées...comment ne pas l'être...frissonner de tout son être...en admirant daphné ..atalante..nipoméde....dans toutes leurs beautés et leurs sensualités érotiques...mais aussi que de romantisme...dans ce parc d'exédres dans la verdurre et les fleurs (bleues) c'est divin....j'avais bien envie de remonter le temps..;ah ! si il y avait la machine dans ton jardin....elle aurait un franc succés....ptdr.....merci pour cette balade de rêves......il y manquait que la fée de paris...pour s'envoler au paradis....bisesssssssssssssssssssssssss
claudeChère Annick,
Je reçois ton message avec un grand plaisir. J'aime beaucoup ces exèdres et contempler l'eau et les canards qui se promènent. J'ai eu l'idée d'écrire au sujet de ces statues que je contemple depuis des années.
Un immense merci pour ta visite pleine de charme et d'enthousiasme!
Je t'envoie de gros bisous.
Cendrine
Coucou Chris
En effet, nos modes de vie se sont modifiés et nous nous approprions l'espace autrement. C'est ce qui m'a inspirée dans ces exèdres, elles étaient très modernes à l'époque même si elles se référaient à l'antique. Il y a avait une nouvelle écriture de l'espace urbain après l'époque des rois.
Et le thème de la poursuite amoureuse est alléchant aussi!
Merci pour ta charmante visite.
Bisous et excellente journée!
Cendrine
Bonjour Cendrine
Un très bel article où j'ai appris plein de choses.J'aime beaucoup ces statues de Vénus sensuelles a souhaits et j'apprécie aussi toute la documentation.Les ancolies,les iris,les poules d'eau,les canards et même les sansonnets font de ce lieu un endroit propice a la rêverie.Merci beaucoup.Bonne journée.Bisous.Aimée
Cher Papy,
Il y a de bien belles choses à savourer aux Tuileries, n'est-ce-pas?!
En écrivant cet article, j'ai pensé à certaines personnes qui se reconnaîtront sûrement...
Pourquoi ne pas créer la confrérie des admirateurs de Vénus Callipyge, à moins qu'elle existe déjà!
Papy en carrosse, la classe! Merci beaucoup pour ce très gentil message!
Bisous ensoleillés et pensées affectueuses.
Cendrine
Bonjour Albiréo,
La plume fée en rougit!!! Merci...
Je te souhaite une délicieuse journée.
Gros bisous
Cendrine
Encore un beau billet. Les exèdres, un mot, une construction et une façon de discuter qui n'existe plus guère. On préfère maintenant, s'asseoir dans l'herbe ou même sur un trottoir, s'allonger même.
Les "meubles" changent d'aspect selon nos us.
Cette belle présentation des charmes des Tuileries m'a, encore une fois, remplie d'aise.
Bises et belle journée !
Chere Cendrine
Quelle merveille,les Tuileries vues ainsi,les descriptions sensuello-historico-cendrino m'incite a prendre le premier carosse pour monter a la capitale!Fouette cocher
Bises ravies plein de soleil de papy aux anges
Que de sensualité et de beauté féminine dans ton article ! bon oui, les Apollons aussi sont très beaux ! et comme tes commentaires sont intéressants à lire. Tout est parfaitement expliqué et je quitte ton blog avec beaucoup plus de connaissances ... (oui, au pluriel !)
On admire la beauté des corps mais j'ai aussi apprécié la beauté de tes fleurs, cette famille canard sur sa p'tite île d'herbes !
Superbes photos pour un très très bon article comme toi seule sait en faire ...
Merci Cendrine et belle journée du lundi
Bisous
Bonjour Cendrine,
Merci infiniment pour cette merveilleuse promenade. Découvrir Paris à travers ta plume de fée est un véritable bonheur !!
Gros bisous, belle journée à toi
Albiréo
Bonjour Cendrine,
comme toujours votre nouvel article est d'une richesse foisonnante mais également très poétique. J'ai grand plaisir à y retrouver l'oncle Georges car je suis depuis toujours un aficionados de son oeuvre.
merci beaucoup
gérard
Bonjour Cendrine ! Ah que de corps que de corps qui ne laissent pas de marbre, merci pour les deux poésies.... La une je découvre... Venus belle-fesse et merci pour Georges que j'adore ! Merci à toi bon guide ! Belle semaine de la part de jill, bizzzzzzzzzz
J'ai appris l'existence de l'exèdre. Je crois bien qu'il y en a au château d'Amblainville, j'irai voir sur mes photos. Bisous
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bonjour ou bonsoir,
je reviens du jardin des tuileries où suis allé voir l'expo consacrée à Guillaume Apollinaire à l'Orangerie.
petite pause à la buvette près de l'éxèdre sud - la halte de Pomone-
revenu chez moi je cherche en vain des explications précises sur ces petits bassins facilement ignorés, et pourtant jolis havres de quiétude.
ouf, je trouve votre site.
félicitation pour toutes ces infos et photos.
sûr...j'y reviendrai
cordialement
marco
Merci beaucoup, votre message me touche...
Ces bassins sont des lieux propices à la rêverie, des espaces où s'estompe la "fureur" de la ville.
Je vous souhaite un joli mois de mai
Cendrine