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Par maplumefee le 28 Août 2020 à 06:25
Je veux vous parler, chers Aminautes, d'un livre que j'aime énormément !
En feuilleter les pages, c'est s'installer pour partir en voyage dans un train rempli d'émotions, c'est filer, fenêtre ouverte, à travers un univers de tableaux fascinants...
Entendre vibrer, tout près de soi, la voix du conteur, celui qui souffle les histoires et fait chanter la vie au rythme de son stylo.
Conter la Peinture... Voilà ce que m'inspire ce livre signé Alain Yvars, l'auteur du délicieusement littéraire et intense « Que les blés sont beaux », au rythme duquel nous entrions dans l'intimité de Van Gogh.
https://www.babelio.com/auteur/Alain-Yvars/506341
http://www.httpsilartetaitconte.com/archive/2020/01/08/conter-la-peinture-6203783.html
Conter la Peinture... Alain fait cela avec beaucoup de talent et d'amour pour les œuvres d'art et leurs auteurs ! Il fait vivre les artistes, les personnages des toiles comme des êtres de chair et ceux qui en leur temps contemplaient ces merveilles. En lisant son livre, on semble surprendre des cœurs qui frémissent à travers le papier, on perçoit, telle une friandise, la conscience des couleurs.
On remonte le temps, on imagine ce qui a été, on savoure les mots, les impressions, on butine au fil des formes révélées... Il y a Vermeer, Georges de La Tour, Monet, Whitsler, Winslow Homer... Il y a Degas, Seurat, Toulouse-Lautrec et Modigliani... Il y a les pleins et les déliés de la créativité généreuse !
Pour ceux qui ne connaissent pas encore Alain, sachez que son érudition est également très « abordable ». Alain écrit avec beaucoup de force évocatoire et de douceur passionnée, il cultive à la fois l'élégance et la simplicité.
Je vous conseille ses livres, de tout cœur !
A noter que les bénéfices des écrits d'Alain sont reversés à l'association Rêves qui œuvre pour apporter du bonheur aux enfants malades.
Merci Alain de m'avoir envoyé « Conter la Peinture » et merci d'avoir patienté pour cette publication que j'aurais aimé faire « plus tôt »...
Bien affectueusement,
Cendrine
17 commentaires -
Par maplumefee le 22 Août 2020 à 06:48
En souvenir de Lady Marianne qui demeure, tendrement, dans nos pensées et maintenant, régi par Fardoise et Lilou.
https://lilousol.wordpress.com/category/tableau-du-samedi
http://entretoilesetpapiers.eklablog.com/
Le thème proposé pour le samedi 15 août et le samedi 22 août par Lilou est « Bouquet Champêtre ». Sur le blog de Fardoise, cette semaine, pour les liens vers les publications.
Plaisir de caresser la peau des fleurs, de se lover dans la lumière pour jouir de l'énergie florale et imaginer un monde à soi, enivré par des murmures de Nature. Sentir frémir sous ses doigts des pétales aux tons clairs. Cette œuvre signée Francis Coates Jones (1857-1932) me charme profondément. J'aime la « rencontre » entre la jeune femme, simple et élégante dans sa tenue à l'antique, et la puissance de vie qui jaillit du bouquet. L'instant semble crépiter comme autant d'ailes de papillons...
Francis Coates Jones appréciait l'esthétique des fleurs, perçues comme une quintessence de féminité. Il fut élève, comme tant de peintres à la célébrissime Académie Julian, s'imprégnant du talent des maîtres William-Adolphe Bouguereau (1825–1905) et Jules Joseph Lefebvre (1836–1911). Il voyagea beaucoup. Il sillonna l'Europe et le Maroc, en compagnie de son frère, dans les années 1870-1890 et il travailla à Paris et en Bretagne, parmi les artistes de l'École de Pont-Aven, où il rencontra Paul Gauguin (1848-1903).
Il retrouva ensuite les États-Unis mais il ne put oublier la France, Paris et Pont-Aven. Il fut un peintre apprécié de ses contemporains, représentant, avec subtilité dans le mouvement, des saynètes de vie qui se plaçaient dans la Nature ou qui nourrissaient un lien ardent avec elle.
Il garda de son séjour à Pont-Aven une vision « libre » de ce qui l'entourait, un goût pour la simplicité et les charmants bonheurs ressentis. Il salua dans plusieurs de ses œuvres le style et l'esprit de ce groupe d'artistes qui se réunissaient dans une séduisante localité bretonne autour de la personnalité de Paul Gauguin.
Il honora une dimension, à bien des égards, « spirituelle » de l'art qui refusait désormais de composer avec la manière des Impressionnistes. Il ne peignit pas pour autant complètement dans le style de Pont-Aven. Il s'en imprégna et créa sa propre voie picturale.
Il peignit beaucoup de fleurs, de bouquets, de jeunes femmes, en résonance avec une vision de la vie intimiste, profonde, tissée de forces spirituelles... A ressentir au creux de soi...
Deuxième tableau de Francis Coates Jones pour ce samedi, « Des fleurs à la fenêtre », collection privée.
Sur La Chimère écarlate, j'ai choisi des Bouquets réalisés par un artiste méconnu : Emanuele Bocchieri (1910-1998), qui fut peintre de l'École de Tunis.
Merci de votre fidélité et pour les charmants petits mots reçus...
Belles pensées pour vous
20 commentaires -
Par maplumefee le 15 Août 2020 à 07:42
BLOG EN PAUSE quelques jours... AMITIÉS pour Vous...
Vous êtes nombreux à m'avoir demandé des nouvelles, je vous en remercie. C'est difficile, euphémisme, beaucoup de douleurs et de crises d'épilepsie en canicule. La chaleur se dissipe mais les blessures sont là et j'ai besoin de tout poser et de dormir... Je ne vous oublie pas, vous le savez ! Prenez bien soin de vous...
En souvenir de Lady Marianne qui demeure, tendrement, dans nos pensées et maintenant, régi par Fardoise et Lilou.
https://lilousol.wordpress.com/category/tableau-du-samedi
http://entretoilesetpapiers.eklablog.com/
Le thème proposé pour le samedi 15 août et le samedi 22 août par Lilou est « Bouquet Champêtre ». Sur le blog de Fardoise, cette semaine, pour les liens vers les publications. Merci...
Un tutti frutti de fleurs, des notes de couleurs précieuses qui frémissent à l'orée d'un rivage... J'aime infiniment cette œuvre créée par l'artiste américain Frederick Childe Hassam (1859-1935), de sensibilité Impressionniste.
Ces fleurs me font l'effet d'un monde enchanté qui se dévoile, un athanor de couleurs qui attirent le regard, irrépressiblement. La force vibratoire de ce tableau est magique !
Le Jardin de Celia Thaxter, détail 1
Cette toile représente un moment d'apogée dans le talent et la créativité de son auteur qui adorait passer ses étés dans le magnifique archipel des îles de Shoals, notamment sur l’île Appledore (Maine/New Hampshire), à environ seize kilomètres de Portsmouth. Il nous invite à découvrir un jardin d'une beauté enivrante, conçu par l'une de ses meilleures amies, la poétesse Celia Thaxter (1835-1894). Ce jardin était pour lui un lieu de paix, de réflexion, d'inspiration ardente... Il s'y imprégnait du rouge vif des coquelicots, des nuances de rose poudré des roses trémières, du vert changeant des feuillages d'été avec des touches de blanc et de jaune doré, des frissons de bleu, de gris, de mauve... Un jardin conçu comme un champ de fleurs sauvages !
Le Jardin de Celia Thaxter, détail 2
Au fil de sa vie, Frederick Childe Hassam élabora une œuvre tissée de subtiles atmosphères, de paysages urbains se fondant dans des tons précieux, de vastes étendues conduisant à la mer, de champs fleuris, de silhouettes évoluant dans des lieux gorgés de l'intense magie des éléments... Son univers est d'une impressionnante richesse !
Celia Thaxter dans son jardin, 1892, Smithsonian American Art Museum.
Frederick Childe Hassam était membre de la confrérie des Ten American Painters, une association de dix peintres américains du XIXe siècle qui démissionnèrent de la Société des Artistes de leur temps afin de protester contre le mercantilisme de l'art. Ils se détachèrent aussi de l'Académie Nationale d'Esthétique sous l'impulsion d'artistes comme Mary Cassatt (1844-1926), James Whistler (1834-1903), Thomas Eakins (1844-1916) ou encore Winslow Homer (1836-1910).
Le groupe des Dix était constitué de Frederick Childe Hassam (1859-1935), Julian Alden Weir (1852-1919), John Henry Twachtman (1853-1902), Robert Lewis Reid (1862-1929), Willard Metcalf (1858-1925), Frank Weston Benson (1862-1951), Edmund Charles Tarbell (1862-1938), Thomas Wilmer Dewing (1851-1938), Joseph DeCamp (1858-1923) et Edward Simmons (1852-1931).
Le Jardin d'Eau, 1909
En hommage à l'art vibratoire de Claude Monet (1840-1926)... Une foule de bouquets qui se respirent et se dégustent avec les yeux !
Le Jardin d'Eau, détail 1
Le Jardin d'Eau, détail 2
Amoureux de la Nature, Frederick Childe Hassam fut aussi un admirateur des villes. Il peignit Paris avec ses contrastes et ses ambivalences et les puissantes villes américaines. Il aima particulièrement Boston où il fit des études de grande qualité.
Il étudia également à Paris, comme nombre d'artistes américains, à l'Académie Julian, de 1886 à 1889, sous l'égide des maîtres Louis Boulanger (1806-1867) et Jules Joseph Lefebvre (1836-1911) et à l'École des Beaux Arts.
Il fit vibrer la Nature, les fleurs, l'Océan, à travers les paysages côtiers magnifiques et gorgés de lumière, de la série « Appledore ». Il fut un expert en représentation de phénomènes météorologiques et notamment à New York, ville tentaculaire et sujet d'études infini ! Il peignit la nuit, la neige, le brouillard, la pluie au rythme des saisons et les effets de lumière troublés.
Envoûté par les œuvres de Claude Monet (1840-1926), il affirma encore sa célébrité en réalisant une série de 22 tableaux de drapeaux (The Flag Series) qui s'inspiraient de l'atmosphère de la Cinquième Avenue et de rues mythiques de New York. Particulièrement prolifique, il conçut plus de trois mille peintures sur toile, aquarelles, gravures et lithographies. Un de ses tableaux a été installé à la Maison Blanche, dans le Bureau Ovale, à l'initiative de Barack Obama dès le début de l'Investiture Présidentielle.
Charme infini des fleurs que l'on butine avec passion...
Sur La Chimère écarlate, j'ai choisi La Cueillette des Coquelicots et des touches de Roses Trémières réalisées par l'artiste John George Todd (1832-1858), peintre de l'École d'Ecouen.
Un vrai Bouquet Champêtre !
Gros bisous et à bientôt, belles pensées pour vous...
32 commentaires -
Par maplumefee le 8 Août 2020 à 06:58
Nu de dos
La Lecture abandonnée
En souvenir de Lady Marianne qui demeure, tendrement, dans nos pensées et maintenant, régi par Fardoise et Lilou.
https://lilousol.wordpress.com/category/tableau-du-samedi
http://entretoilesetpapiers.eklablog.com/
Le thème proposé pour le samedi 1er août et le samedi 8 août par Lilou est « La Vie en Rose ». Sur le blog de Fardoise, cette semaine, pour les liens vers les publications.
Pour explorer la suite de ce thème, j'ai choisi des œuvres, réalisées par l'artiste belge Fernand Toussaint (1873-1956), qui me charment profondément.
Le Nu de dos, tout en élégance et en volupté, décrit une jeune femme à la chevelure de feu, installée devant l'ovale de son miroir. Émanant d'une émulsion de tissu rose, elle se reflète dans l'eau secrète du miroir, à côté d'un bouquet de roses.
Nu de dos, détail 1
Nu de dos, détail 2
Nu de dos, détail 3
La Lecture abandonnée, détail 1
Dans La Lecture abandonnée, l'alanguissement, le sommeil, la sensualité du personnage sont de toute beauté et la robe rose, telle un nuage de matières douces, semble palpiter. La lectrice vogue sur l'océan régi par Morphée, enivrée par la magie du livre qu'elle a tenu. De méchantes langues diraient peut-être/sûrement qu'elle s'est endormie parce qu'elle s'est ennuyée. Personnellement, je ne le crois pas. Le sommeil est un voyage peuplé de rêves qui sont autant de récits et le livre, gardien d'histoires enracinées dans le monde réel ou au creux de contrées imaginaires, ouvre les voies secrètes... Le livre a suscité l'état d'abandon dans lequel se trouve l'héroïne du tableau, « disposée » d'une manière qui apparaît pleine de volupté.
(Une Liseuse que je veux offrir à mon Amie VANESSA, passionnée de lecture et de représentations de lectrices, avec de gros bisous pour abolir la distance géographique qui existe entre nous...)
La Lecture abandonnée, détail 2
Artiste né à Bruxelles, Fernand Toussaint (1873-1956) fut apprécié en son temps pour la qualité et la délicatesse de ses portraits mondains. Au fil de sa carrière, il mit en scène « la femme » en son intimité séduisante. Il aima particulièrement montrer des lectrices et des jeunes femmes vues de dos. Il représenta des bouquets aux douces nuances (dont plusieurs Natures Mortes au vase de roses), des espaces fleuris, des paysages et des scènes de marines.
Je n'ai pu m'empêcher d'ajouter cette « Élégante cueillant des fleurs », une huile sur panneau.
Fernand Toussaint fit ses classes, à l'âge de 15 ans, chez Jean-François Portaels (1818-1895), le directeur de l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles et quand il eut 18 ans, il se rendit à Paris où il fut intégré dans l'atelier du maître Alfred Stevens (1823-1906). Fasciné par les œuvres de maîtres anglais comme Thomas Gainsborough (1727-1788) et George Romney (1734-1802), il apprit à maîtriser de nombreuses techniques artistiques. Il fut affichiste, lithographe, aquarelliste, dessinateur de grand talent, croquant ses sujets sur le vif.
Élégante cueillant des fleurs, détail 1
Il exerça son art au sein de La Libre Esthétique, cercle artistique belge spécialisé dans les Arts Graphiques et les Arts Plastiques et il conçut, à maintes reprises, de superbes affiches dans le style Art Nouveau. Il connut le succès de manière mondiale et fut qualifié de « maître du portrait féminin ».
En 1929, le Salon de Paris lui décerna une médaille d'or et les commandes affluèrent. Ses toiles et ses panneaux parent depuis lors les murs de grands musées et sont également nombreuses dans de prestigieuses collections privées.
Élégante cueillant des fleurs, détail 2
Sur La Chimère écarlate, j'ai choisi « La Protectrice de la Forêt », imaginée par l'illustrateur et peintre anglais Warwick Goble (1862-1943)...
Je termine cet article en n'oubliant surtout pas les victimes de la terrible tragédie qui a eu lieu au Liban. Je pense fort aux victimes, à leur famille, à la souffrance d'un peuple épuisé par des mois et des mois de frustration, de manque, de sentiment d'abandon. Puissent ces personnes retrouver une vie normale et décente dès que ce sera possible...
Pensées également pour les victimes des incendies en France qui ont tout perdu, pour les personnes malades et ceux qui souffrent, en silence ou en hurlant, au quotidien... Je pensais aussi au 75e anniversaire des atrocités d'Hiroshima et de Nagasaki. J'ai vu un reportage profondément émouvant au sujet des survivants.
On ne peut espérer voir la Vie en Rose sans penser aux autres, sans ouvrir son cœur et partager... Je le crois profondément !
MERCI à vous, pour votre gentillesse, je vous adresse mes meilleures pensées... Protégez-vous bien avec cette canicule. Nous venons, dans mon Val d'Oise, de passer en alerte rouge et il y a plusieurs autres départements concernés de la même manière. Bon courage à nous tous...
©Mila Marquis
22 commentaires -
Par maplumefee le 1 Août 2020 à 07:07
En souvenir de Lady Marianne à qui nous pensons bien fort et désormais sous l'égide de Fardoise et de Lilou.
https://lilousol.wordpress.com/category/tableau-du-samedi
http://entretoilesetpapiers.eklablog.com/
Le thème proposé pour le samedi 1er août et le samedi 8 août par Lilou est « La Vie en Rose ».
J'ai choisi, à ce propos, une petite frimousse, joyeuse et cabotine... Celle d'une fillette lovée parmi les fleurs, dans une harmonie tissée de rosé, de blanc rosé et de nuances de rose, un symbole fort en des temps troublés où nos visages se couvrent face au danger. L’œuvre s'appelle « Summer ». J'aime beaucoup les sonorités de ce mot qui désigne l'Été et qui forme aussi un ravissant prénom.
Petit bout de femme, héroïne d'un tableau signé Franz Dvorak (1862-1927). Enfant de la lumière et âme du peintre qui quitta ce monde peu de temps après avoir « immortalisé » son visage plein de charme.
Célèbre à son époque, Franz Dvorak, artiste d'origine hongroise est, de nos jours, davantage connu aux États-Unis et dans le monde anglo-saxon. Il étudia à l'Académie des Beaux-Arts de Prague et à Vienne avec les maîtres Carl Wurzinger et Christian Griepenkerl, spécialistes de la peinture d'histoire. En 1883, il poursuivit son apprentissage à l'Académie des Beaux-Arts de Munich et se fit connaître en exposant des portraits et des scènes de genre dans des galeries de Berlin et de Vienne.
En 1888, Franz Dvorak découvrit la France avec Alfons Mucha avant de se rendre en Italie où il rencontra de riches amateurs d'art américains qui l'invitèrent à accomplir une tournée artistique à travers les États-Unis. En pleine vogue de l'Art Nouveau, passant par Philadelphie, New York, Chicago, Détroit... il peignit des portraits qui furent très appréciés des collectionneurs.
Il retrouva sa chère Prague en 1905 et il y ouvrit un atelier dans lequel il vécut jusqu'à sa mort.
« Entre roses et pivoines », deuxième tableau illustrant avec élégance et poésie le thème de la vie en rose.
Nous disposons de peu de renseignements biographiques le concernant mais nous savons qu'il fréquenta des milieux dits « ésotériques », des fraternités où l'art se nourrissait d'une forme de spiritualité panthéiste. Il y forgea un art très personnel et intensément poétique à travers lequel la réalité devint indissociable de mondes imaginaires. Ses héroïnes se lovent souvent parmi les fleurs comme c'est le cas dans l'Art Nouveau mais sa « manière » ne s'inspire d'aucune autre et ses œuvres se parent d'une énergie mystérieuse et mystique, sans pour autant négliger les images de son temps.
Sur La Chimère écarlate, j'ai choisi des œuvres du peintre russe contemporain Igor Levashov, né en 1964. Pour voir La Vie en Rose...
http://chimereecarlate.over-blog.com/2020/07/le-tableau-du-samedi-igor-levashov-roses.html
En vous souhaitant de belles journées d'été, je vous remercie pour vos petits mots qui m'accompagnent avec bonheur ! Prenez bien soin de vous...
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