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BLOG en SEMI-PAUSE...
En souvenir de Lady Marianne qui demeure, tendrement, dans nos pensées et maintenant, régi par Fardoise et Lilou.
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Sur le blog de LilouSoleil pour les participations. https://lilousol.wordpress.com
Pour ce samedi, le thème est « TOUS EN TRAIN »...
Merci de vos charmants messages, les Amis ! Je suis ravie de vous retrouver, par intermittence avec les pauses dont j'ai nécessairement besoin. J'ai choisi pour ce samedi une œuvre qui me séduit profondément. Elle est emblématique de l'art et de la manière Romantique du peintre et poète allemand Carl Spitzweg (1808-1885).
Un gnome se tient à l'entrée d'une grotte, probablement sous une colline de féerie. Représentant du Petit Peuple et de l'élément Terre, il apparaît, vêtu d'un petit manteau à capuchon, assorti à son environnement, dans un monde de racines et de branches feuillues.
Croisant les bras dans son dos, il contemple le paysage, à l'orée de la lumière d'or que dessine le soleil devant son habitation. Son regard embrasse un magnifique point de vue. Le ciel, d'un bleu rythmé par de fins nuages blancs, un village que l'on devine au loin, une vallée, dans laquelle filent les wagons d'un train à vapeur...
Face à la modernité que représente le train, il est l'émanation de la Magie qui perdure, la force envoûtante de l'univers des légendes, des contes et des récits de folklore. Le cadrage de l’œuvre et sa composition sont particulièrement réussis.
Le talent de l'auteur, Carl Spitzweg s'est exprimé pendant ce que l'on a appelé « Le Style, l'Époque ou la Période Biedermeier ».
Entre 1815 et 1848 environ, naquit, en réaction à des temps politiques « compliqués », une forme d'art fondée sur des bonheurs simples et une manière de se moquer de la bien-pensance des membres de la bourgeoisie contemporaine. « Bieder » veut dire « simple, sans prétention » et « Meier » fait allusion à un nom de famille fort usité dans le monde allemand de l'époque. Il s'agissait en quelque sorte de parodier, avec de beaux effets, l'image idéalement harmonieuse d'une vie bourgeoise « comblée » au cœur d'un foyer répondant aux valeurs morales du patriarcat.
Dans le style Biedermeier, il y eut des pépites, des moments de bonheur et de grâce artistiques. Ainsi sous cette obédience, Carl Spitzweg (1808-1885), issu d'une famille de riches commerçants fruitiers, affûta-t-il ses pinceaux.
Grand voyageur et passionné de sciences, il étudia, de manière approfondie, la pharmacie, la chimie, la botanique. Il exerça pendant un temps le métier de pharmacien mais la passion qu'il nourrissait pour la peinture l'emporta sur ses activités. Il devint officiellement peintre à partir de 1833.
Il peignit de nombreuses saynètes de vie quotidienne, des promenades, des rencontres amoureuses, de belles architectures. Il aimait montrer l'enfance comme un éternel territoire de précieux petits bonheurs...
Je me suis laissée charmer par la vision qu'il nous propose : Ce petit gnome qui regarde passer le train... Deux univers et l'imagination en passerelle !
Sur La Chimère écarlate, j'ai choisi d'illustrer le thème du train avec un tableau du peintre paysagiste américain Jasper Francis Cropsey (1823-1900) : Le Viaduc de Starrucca, 1865.
Très affectée et écœurée au plus haut point par l'assassinat du professeur SAMUEL PATY, je veux lui dédier les billets parus sur mes blogs ce samedi. Je n'oublierai pas de penser à lui et à ses proches...
Merci à tous ceux qui propagent le savoir, avec cœur et intelligence, avec une foi sans faille en notre humanité... Respect pour eux et que vive, contre l'Obscurantisme, la Connaissance, à jamais !
Gros bisous pour vous ! Prenez bien soin de vous...
Espoir dans la Lumière d'Automne...
26 commentaires -
Belles pensées pour vous, chers Aminautes avec des roses d'automne, « butinées » dans un jardin en septembre.
Après une nouvelle série de crises d'épilepsie survenues mercredi et jeudi, je prends quelques jours de pause nécessaires pour « réparer » souffrances et blessures.
Je vous souhaite d'aller pour le mieux ainsi que vos proches et je vous donne rendez-vous dans un meilleur état.
Pensées pour une amie qui se trouve à l'hôpital en réanimation à cause du Covid 19... J'espère qu'elle va aller de mieux en mieux et je pense aussi à son mari. Courage les Amis...
Gros bisous et bon courage à tous ceux qui souffrent... Merci pour vos attentions d'amitié !
75 commentaires -
Je continue la tradition du Poème du Mardi, un rendez-vous que j'apprécie beaucoup, en souvenir de Lady Marianne, avec des pensées d'amitié...
Promenades mêlées dans un jardin à la fois réel, imaginaire, intime, ouvert à soi dans l'énergie du monde... Un petit bout de Nature qui se love en harmonie au creux de la ville.
J'ai choisi pour ce mardi 6 octobre un poème signé Chloé Douglas, poétesse, chanteuse, danseuse... née à Londres en 1960, passionnée de Nature et désireuse d'exprimer dans ses œuvres la rencontre et la dichotomie entre les forces naturelles et la vie intense des grandes villes.
C'est un poème plein de charme que j'illustre avec des photos du Jardin Naturel, « territoire vert » de Paris.
« Parmi le vert
et la floraison
de toutes les plantes les plus belles
je flâne.
Je délibère ici
Je rêve par là.
L’heure s’arrête
ou plutôt s’étend pleinement,
se déplier et s’amplifier.
Ces tournoiements et ondulations soudaines
de brises d’été,
envoient tous les parfums
dans l’air chaud.
Contempler une feuille
ou le motif sur le mur
créés par des branches les plus près.
Ces têtes-là de fleurs dansantes
exposent délicatement
toute leur gloire.
Quelle simplicité à se perdre.
Et quelle aisance à respirer
doucement.
Et quelle aisance
à avoir des pensées profondes. »
Chloé Douglas, 1995
Au Jardin Naturel, dans le XXe arrondissement de Paris, on chemine tranquillement, on laisse aller ses rêveries...
Depuis 1995, ce square romantique, niché au pied au cimetière du Père Lachaise, préserve une formidable réserve de biodiversité. Il accueille, sur près de 6300 m2, une profusion de végétaux caractéristiques de plusieurs milieux naturels d'Île de France. C'est un lieu unique en son genre où règne une envoûtante palette de vert, une jungle urbaine emplie de chants d'oiseaux où s'épanouissent, autour d'une mare féerique, des massifs ébouriffés de graminées, de roses et de plantes aromatiques.
J'ai souvent aimé écrire dans cette bulle de chlorophylle, ce petit coin de campagne urbaine où la vie rayonne à proximité des grands tombeaux. Mes photos ont été prises au fil des années et au rythme des saisons, d'où les différences de couleurs et d'atmosphères...
A l'abri du bruit incessant de la ville, grâce aux ondulations stratégiques de la colline du cimetière du Père Lachaise et à une terrasse appuyée sur un solide escalier de calcaire, s'épanouit une prairie.
Des arbres « d'eau » comme le saule marsault et l'osier blanc ou saule des vanniers, associés à des plantes d'ombre et de sous-bois : fougères, campanules, clématites, géraniums, hellébores, houblons..., encerclent la mare, émulsion de vert intense au-dessus de laquelle voltigent, à des moments privilégiés, des libellules rouges.
La mare du Jardin Naturel et les différentes mares de Paris font l'objet de conférences et de visites thématiques, par petits groupes, à l'occasion des Journées du Patrimoine.
La mare, ce milieu aquatique clos, est devenu un élément incontournable de ce que l'on appelle « la trame verte et bleue de Paris ». Milieu très précieux où se rencontrent d'innombrables espèces le plus souvent protégées, la mare est perçue comme un espace intermédiaire privilégié entre les eaux de la Seine et celles des lacs et des étangs. Elle se nourrit de pluie, recueille les eaux de ruissellement, protège la vie et « rafraîchit » la ville, souvent surchauffée, en favorisant le phénomène de brise.
Comme vous le voyez, les couleurs sont variées, on a toujours l'impression de découvrir un nouvel endroit, je suis sous le charme !
On fait de jolies rencontres et les insectes ne sont pas oubliés, avec ce mignon petit « hôtel » où ils peuvent passer l'hiver...
Pour se rendre au Jardin Naturel :
Métro ligne 2, arrêt Alexandre-Dumas
Accès par le 120 rue de la Réunion, 75020 Paris
Ouvert en semaine entre7h30 et 17h30 (jusqu’à 22H en fonction du coucher du soleil)
Ouvert samedi et dimanche entre 9h00 et 17h30 (jusqu’à 22H également en fonction du coucher du soleil).
Belles pensées pour vous, merci de votre fidélité, je vous envoie de gros bisous !
27 commentaires -
En souvenir de Lady Marianne qui demeure, tendrement, dans nos pensées et maintenant, régi par Fardoise et Lilou.
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Pour le 3 octobre, le tableau du samedi nous invite à suivre notre propre direction thématique. Quel tableau emmènerions-nous sur une île déserte ?
Vous vous doutez bien que j'emporterais volontiers plein de tableaux, si je le pouvais, sourires...
Adorant l'Automne et le Symbolisme, j'ai choisi une œuvre que j'aime beaucoup et depuis longtemps. Elle évoque le monde imaginaire de Lucien Levy-Dhurmer (1865-1953), peintre Symboliste, mystique, énigmatique qui nous offre une « Bourrasque d'Automne » aux tons précieux.
« Se laisser prendre à travers feuilles
Nymphe enlacée par le vent rouge...
Danser, danser comme un esprit de Nature...
Dans un rond d'herbe sous les chênes
Fille de l'air en mouvement, des bois secrets, du temps changeant
De la forêt vers l'océan
Parmi les branches qui palpitent... »
Cendrine
Cette « Bourrasque d'Automne » nous emporte dans de rouges nuances enfiévrées. Cheveux et feuilles sont happés par le vent de tempête, ambivalent et fascinant à souhait ! Nous sommes saisis par cette danse écarlate et carmin rehaussée de garance et de magenta somptueux.
J'adore littéralement ! Les couleurs qui pulsent, la force, l'énergie de l'automne, la vigueur et la fusion entre la femme, les feuilles, la chevelure, les branches, le rouge et les nuances de la peau...
L'auteur de l’œuvre, Lucien Levy-Dhurmer naquit à Alger en 1865. Il fit ses classes à Paris, à partir de 1879, à l'école communale supérieure de dessin et de sculpture du 11e arrondissement et quand il eut 17 ans, il présenta des tableaux lors d'une première exposition. Très talentueux mais peu argenté, il exerça des activités de lithographe puis de céramiste chez un maître en la matière : Clément Massier (1844-1917).
Il fut un peintre et un pastelliste accompli mais également un expert en faïences à reflets métalliques. Il réalisa de nombreux vases et objets variés (coupes, jardinières, vide-poches, pieds de lampes, bibelots...) ornés de fleurs, d'insectes, de chauves-souris, de faune et de flore marine, de coquillages et de rinceaux luxuriants...
Il aima profondément l'esprit Art Nouveau mais il fut par essence un artiste Symboliste. En 1894, il participa à l'exposition « Peintres de l'Âme », ouverte aux artistes les plus marquants du Symbolisme en peinture.
Il se lia d'amitié avec « l'écrivain flamand d'expression française » Georges Rodenbach (1855-1898) qui connut une célébrité immense avec « Bruges la Morte », roman des plus étranges et passionnants. Il réalisa au pastel, en 1895, le portrait du romancier et cette œuvre devint une œuvre de référence.
Il peignit tout au long de sa vie des toiles mystérieuses, des atmosphères imprégnées de rêve et de magie. Il représenta Venise en ses splendeurs oniriques, les palais fondus dans la brume, les canaux, les ponts qui semblaient dessiner des passages fantômes. Fasciné par la force des éléments et notamment par le vent, il mit en scène de séduisantes héroïnes évoluant parmi les feuilles dansantes. Il donna de bien jolis visages et des courbes avenantes aux tempêtes...
Deuxième tableau pour ce samedi, issu de la série Vent d'Automne.
Apprécié en son temps, Lucien Levy-Dhurmer portraitura de célèbres contemporains comme Pierre Loti (1850-1923) et fut un grand voyageur, un découvreur d'atmosphères en Europe et en Afrique du Nord. Symboliste dans l'âme, il se laissa séduire par les beautés Préraphaélites, les chevelures rousses, les visions fantasmagoriques liées à la féminité (Nymphes, Muses, Gorgones...)
Il réalisa de nombreux pastels consacrés au thème de l'Automne, insufflant à ses créations une énergie sensuelle et aérienne.
Sur La Chimère écarlate, j'ai choisi une œuvre imaginée par l'artiste franco-britannique Sophie Gengembre Anderson (1823-1903).
Gros bisous pour vous, chers Aminautes. Prenez bien soin de vous... Pensées pour les personnes victimes des intempéries et les personnes disparues et leurs familles, je suis bien triste pour elles...
33 commentaires -
Neuf Années de présence sur la toile, en votre compagnie, chers Aminautes !
Neuf petites flammes qui ont dansé et qui inventent, au cœur d'une aventure esthétique que j'aime infiniment, une dixième flamme et, je l'espère, bien d'autres !
Je veux vous dire MERCI, de tout cœur, pour votre fidélité et le soutien apporté en raison de mon état de santé.
Pour fêter cet anniversaire, j'ai eu envie de publier ou de republier des photos que j'aime, tout simplement... Un florilège d'images qui sont autant d'instantanés d'émotions.
Belles pensées pour vous, je vous envoie de gros bisous et je rajoute, en souvenir de notre amie Lady Marianne, un poème en ce mardi. J'ai choisi « L'Artiste », de Maurice Carême (1899-1978).
L'Artiste
« Il voulut peindre une rivière,
Elle coula hors du tableau.
Il peignit une pie grièche,
Elle s’envola aussitôt.
Il dessina une dorade,
D’un bond, elle brisa le cadre.
Il peignit ensuite une étoile,
Elle mit le feu à la toile.
Alors, il peignit une porte
Au milieu même du tableau.
Elle s’ouvrit sur d’autres portes,
Et il entra dans le château. »
Poème issu du recueil « Entre Deux Mondes » paru en 1970.
Album de photos pour célébrer les Neuf ans de mon Jardin sur la Toile...
J'ai pris plaisir à retourner dans les publications de mon blog. Plaisir de marcher le long de la Seine et de contempler La Conciergerie, de présenter des lieux secrets dans Paris et de revenir, au fil du temps, me lover dans l'écrin du Jardin des Tuileries, du Luxembourg, du Parc de Bercy, du Parc Monceau... Plaisir de plonger dans mes rêveries entre les boiseries de la Maison Eymonaud ou parmi les rhododendrons de la rue du Trésor, dans le maillage fascinant des rues du Marais...
En cliquant sur les liens présents dans mon article, vous pouvez retrouver l'historique des lieux évoqués à travers les photos.
Conciergerie... Ce vestige de l'ancien Palais de la Cité a des allures de château féerique mais l'Histoire y a semé son lot de tragédies.
Des tours en poivrière rythment la majestueuse façade. La Tour de l'Horloge se dresse à l'angle nord-est du palais, tour de guet rectangulaire au clocheton fin et scintillant. Je vous conterai bientôt son histoire et celle de la magnifique horloge qu'elle abrite...
Les tours jumelles que vous apercevez sur cette vue plus rapprochée datent du règne de Philippe le Bel (1268-1314) qui fit remodeler et agrandir le palais. La Tour de César, à gauche, fait référence à la présence romaine dans l'Île de la Cité et la Tour d'Argent, à droite, garde le souvenir du trésor royal.
La tour isolée ou Tour Bonbec, un petit peu plus loin, est la plus ancienne de l'édifice. Ses soubassements datent du règne de Saint-Louis (1214-1270) mais elle fut surhaussée au XVIe siècle et coiffée de sa tourelle conique. Elle abritait la sinistre salle où était pratiquée la question.
Grâce à l'ouverture des voies sur berge dans la capitale, on peut bénéficier d'un panorama exceptionnel sur l'Île de la Cité. J'aime savourer la subtile palette des couleurs, la beauté porcelainée du ciel ou les tons d'orage qui hantent le paysage.
J'ai une quantité impressionnante de photos prises à l'intérieur et à l'extérieur de la Conciergerie et que je n'ai pas encore publiées alors je compte bien préparer, à ce sujet, une série d'articles. Ainsi nous reparlerons de ce superbe monument.
Pour célébrer les neuf ans de mon blog, je poursuis ma promenade à travers les beautés de Paris. Je feuillette les pages d'un livre à la fois réel et imaginaire...
Je contemple heurtoirs et boiseries d'apparat de l'Hôtel de Béhague, appelé « la Byzance du VIIe arrondissement » et perçu comme l'une des plus prestigieuses demeures « Belle-Époque » de Paris.
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/les-splendeurs-de-l-hotel-de-behague-a129273782
Le lien permet de retrouver l'histoire de ce splendide édifice devenu Ambassade de Roumanie.
Des boiseries ornées de motifs d'inspiration rocaille : coquilles, entrelacs, oves, masques, palmettes, rinceaux, grappes de raisin, trophées de musique et d'art...
Des trésors à explorer...
Je redécouvre aussi les visages poupins et les ombellifères qui ornent l'élégante façade du Café Roussillon, rue Cler, dans le 7e arrondissement de Paris.
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/les-ombelliferes-du-cafe-roussillon-a148957698
Je maraude comme un chat vers la Maison Eymonaud, ancien Hôtel de l'Escalopier, demeure située dans le Montmartre secret, au fond d'une impasse appelée Marie-Blanche.
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/la-maison-eymonaud-ancien-hotel-de-l-escalopier-a131491706
Je suis accueillie par une myriade de personnages sculptés qui chuchotent des histoires et m'invitent à emprunter un fascinant escalier...
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/la-maison-eymonaud-ancien-hotel-de-l-escalopier-a131491706
Je promène mes rêveries dans la Rue du Trésor, charmante impasse ombragée, située au cœur du Marais, où l'on chemine à des années lumière de l'agitation des grandes voies parisiennes et où il y eut réellement un trésor...
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/la-rue-du-tresor-a145660678
La rue se pare d'une infinité de fleurs, des rhododendrons de plusieurs couleurs, à la saison propice...
Je salue ensuite les Ondines de la Fontaine de la Porte d'Auteuil...
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/la-fontaine-de-la-porte-d-auteuil-a132270854
… Et le chimérique bestiaire marin de la Fontaine Gaillon, dans le 2e arrondissement de Paris.
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/le-bestiaire-marin-de-la-fontaine-gaillon-a142702846
L'enfant au dauphin, les poissons fantastiques...
A proximité, je suis observée par un visage avenant...
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/les-belles-demeures-de-la-rue-gaillon-a143850798
En attendant de vous retrouver pour d'autres promenades à travers Paris et ses alentours, je vais lover mes pensées dans le vert et les alcôves parfumées qui rythment la trame romantique de la Roseraie de Bercy... En pensant bien à vous...
http://maplumefeedansparis.eklablog.com/la-roseraie-et-les-parterres-de-bercy-a100974845
Gros bisous et merci de votre fidélité !
Prenez bien soin de vous...
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